Obscurité

taudis, soucis, funèbres, ténèbres, triste a 60). On y retrouve obsession du temps (indication de midi, référence à la pendule) et une atmosphère qui renvoie aux plus terribles manifestations du spleen (impression d'ensevelissement et d'étouffement, obscurité, poids du temps). B. La situation de je: L'utilisation du possessif mon dans mon taudis rappelle que cet univers-la est précisément celui du poète. [...] [...] Pour ce qui est des couleurs on peut remarquer l'or, 1'argent, la lumière, le vert et

seuil et quel seuil, Le seuil me permettant de franchir cette porte, la porte du Temple, cette même porte qui sépare le monde profane du monde Maçonnique. La Porte de l’occident, c’est à son seuil que le soleil se couche, la lumière devient obscurité, cette pénombre qui nous plongé à nouveau dans le monde profane. La porte du temple, cette limite à partir de laquelle n’ont plus leur place ni les passions ni, ni les intérêts, les rancœurs et autres sentiments impures. L’homme n’est plus homme

pas une idée de ce qui ce passe derrière eux ni dans le monde extérieur, mais Platon veut les aider à sortir de là. Une fois qu’on est habitué à vivre dans un endroit clos et obscure, cela ne te tente plus à sortir de là. Une fois sortir de cette obscurité, ca serait difficile pour toi d’y retourner. Etre dans la caverne peut être un endroit de sécurité, mais pas un endroit pour mener une bonne vie, parce que mener une bonne vie, c’est de connaitre la réalité des choses dans le monde extérieur, et

encourus dans le monde nocturne, il faudrait plus de prévention. Capital social : Le fait est que plus les filles vont en soirée, plus il y a de dangers : car en soirée le danger est le plus grand, car le lieu et les conditions (obscurité, foule) y sont propices pour les agresseurs, car les gens ne surveillent pas leur verre. Cela n’arriverai pas au milieu de la rue, par exemple. C’est une drogue de soirée, et c’est là qu’elle y circule surtout. Capital culturel : Le

pas ce que vous croyez être faux, n’affirmez pas ce pour quoi vous manquez de preuves. La maxime de relation affirme qu’il faut parler à propos. Les maximes de modalité dit au locuteur qu’il doit être clair, qu’il doit éviter de s’exprimer avec obscurité ou être ambigu et en même temps être bref et ordonné. La caractéristique du dialogue de théâtre est de transgresser ces lois et au théâtre ces écarts et viols sont faits pour être vus, par exemple les mensonges, viols de la loi de qualité ont pour

subjectives (« montagne » = « masse d’obscurité ») -Lexique sensoriel : perceptions sont celles de Hugo (« clarté », vapeur ») II Un pays mythique A paysage cauchemardesque -Lexique (« obscurité », « horrible ») -Allitérations en sifflantes* (« édifice ») et dentales* (« fantastique ») -Assonances* en « i » (« cri », « bruit », « si ») B solitude -Beaucoup de personnifications*

figaro : longue tirade ou il se confit sur les malheurs de sa vie de son enfance jusqu’à la prétendue trahison de Suzanne puis il finit par défier le Comte. Suivi des échanges de vêtements entre Suzanne et la Comtesse. A partir de la scène 6 semi obscurité qui explique les nombreux quiproquos à venir. Chérubin arrive face à la Comtesse qu’il prend pour Suzanne, il veut lui donner un baiser pour prix de sa discrétion mais le Comte arrive et reçoit le baiser à sa place. Chérubin s’enfuit. On constante

ombre ». Cette obscurité s'oppose à celle du « building » de dehors qui lui est lumineux. On en vient donc au deuxième contraste entre l'intérieur et l'extérieur. A l'extérieur, il y a du bruit, du « vacarme », causé par « quatre ou cinq klaxons ». A l'intérieur au contraire tout est calme, le « silence » règne, et « le temps n'existait plus ». Ces deux contrastes représente le contraste entre le monde des vivants, « le monde des hommes » et le monde des morts, où règne silence et obscurité. La temps

une terre qui est amenée a disparaitre. Est-ce ça la vie ? Contempler le mal qui s’abat sur nous et donc nous sommes les principaux fautifs ? A chaque minute, chaque seconde, chaque instant, des innocents ferment les yeux et sont plongés dans une obscurité sans limite, alors que des pêcheurs restent debout, veillant, droit comme la justice, observant avec un orgueil méprisant ce monde irrationnel.. Ne dit on pas que la vie est faite de haut et de bas ? Je commence a en douter, j’ai trop creusé pour

observez Car nous sommes là. Derrière vous, devant vous, à côté de vous. Nous avons toujours été là. Nous serons toujours là. Nous sommes une ombre. La même ombre qui vous suit. Nous n’agissons que pour l’obscurité. Cette même obscurité qui compose l’espace. Et comme l’espace, nous sommes éternels. Nous n’aspirons qu’à une seule chose, la destruction. Nos armées ne sont que des fantômes. Des fantômes qui apportent la désolation sur leur passage. Un passage que nous