Obéir Aux Lois Est Ce être Esclave

FAIRE SON DEVOIR, EST-CE UN CHOIX ? La notion de devoir nous renvoie à l’action, de ne jamais être « libre » cependant ici ; il y a contradiction. Elle joue aussi le rôle d’obligation envers un Etat ou un pouvoir. Il y a une part de paternalisme et de déterminisme. Alors que la notion de liberté renvoie au cas où nous ne sommes soumis à aucune loi. Nous avons une liberté d’action, une autonomie absolue. L’individu fait son propre choix, que se soit des idées ou des positions. D’où cette forte

Depuis longtemps, l’homme s’est interrogé sur le bien fondé de l’éducation qu’il donne à ses enfants. Montesquieu auteur du siècle des lumières, en son temps, s’est intéressé au sujet, dans son ouvrage L’Esprit des lois en 1748 : il décrit trois éducations différentes, celle des pères, celle des maîtres et celle du monde. Pour lui, l’éducation du monde est contraire à tous les principes qu’ont pu enseigner les parents ou les professeurs. A notre époque, cette réflexion de Montesquieu s’applique-t-elle

épicurienne des désirs, ni la suppression bouddhiste de tout désir n’ont paru être des sagesses satisfaisantes, capables de donner effectivement le bonheur. Il faut donc se mettre en quête d’une autre sagesse. Nous pouvons reprendre l’analyse, en partant de trois affirmations de base peu contestables : le bonheur, ce serait d’avoir tout ce que je désire ; la liberté, ce serait de faire tout ce que je veux ; l’homme, esclave de ses désirs, n’a ni bonheur, ni liberté. Cette dernière thèse a été suffisamment

- Les différentes catégories de personnes (libres / esclaves) Chapitre 4 - Le droit de propriété (les choses) Chapitre 5 - La famille (le mariage) Chapitre 6 - Les contrats, accords de volonté, obligations Chapitre 1 - Les sources du droit Cette époque du moyen-âge se caractérise du point de vue juridique par l’application d’un système: La personnalité des lois par opposition à un autre système. Le système de la territorialité du droit (lois qui sont différentes selon les personnes, leur vies

Dans un premier moment nous développerons l'idée selon laquelle l'autorité extérieure aux individus est illégitime d'exercer son pouvoir sur eux. Nous démontrerons dans un second temps que dans certains cas l'autorité extérieure aux individus peut-être légitime. Cela nous amènera à expliquer que la Morale peut représenter un élément d'autorité inhérent à l'individu. Dans ce premier chemin de pensée nous détaillerons l'idée selon laquelle l'autorité extérieure aux individus est illégitime, en abordant

doit convaincre. . Aux côtés de Grégoire, Duport, Robespierre déploie ses arguments au moment de la première discussion sur les propositions du comité de législation quant aux conditions d'éligibilité ; Contre Dupont de Nemours qui soutient que pour être électeur il faut avoir une propriété. Alors Robespierre se pose une question finalement lors de la première séance de l’assemblée constituante, à savoir, comment celles et ceux qui sont exclus de fait de la représentation politique pourraient

confiant l’éducation de son fils Critobule, Criton s’intéresse personnellement à la philosophie de son ami et assiste à son procès. Selon Diogène Laërce, il n’hésite pas à dépenser sa fortune pour aider ses amis et offre de payer l’amende qui pourrait être infligée à Socrate. Généreux, il se déclare prêt à donner de l’argent à Archédèmos pour se protéger contre les attaques des sycophantes, ces dénonciateurs professionnels qui assignaient en justice des citoyens riches afin d'obtenir une part de leurs

serait-il pas légitime de vouloir sauver Socrate ? Comme nous allons le voir, Socrate, malgré les différents arguments de son ami, va refuser de s’évader et va justifier philosophiquement sa position. Le Criton pose donc la question de l’obéissance aux lois : est-il parfois légitime de transgresser le droit ? La réponse socratique sera négative et la conclusion est que Socrate doit rester en prison et se soumettre au jugement des athéniens même s’il lui en coûte la vie. C’est donc la question du rapport

représentants à qui ils délègueront ce pouvoir. L’option retenue est alors celle choisie par le plus grand nombre de suffrages exprimés, la majorité, qui acquiert ainsi une autorité morale, une faculté d’accomplir ou non quelque chose en vertu des lois ou d’une constitution, donc un droit. Toutefois, parce qu’il paraît difficile qu’une majorité exprime d’une seule voix la même intention, mais surtout parce qu’elle induit l’existence d’une minorité ou plusieurs en désaccord avec elle, ce mode opératoire

individualiste, mais une liberté à l’intérieur de la cité = le sort de chacun est lié à celui de la cité.   Les Grecs ont affirmé les premiers la dignité de la personne humaine, en inventant la notion du droit naturel (lois inscrites dans csce au nom desquelles on peut faire objection de csce = lois non écrites) que l’on retrouve dans Antigone.   Inversement, les Grecs ont connu l’attitude du respect de la loi, allant jusqu’au sacrifice de la vie, mm si la loi est injuste (cf. Socrate).   Les Grecs sont