Obéir Est Un Acte Libre

Préjugé fort commun, être libre, c'est ne rien devoir à quiconque, n'obéir qu'à soi-même et ne dépendre de personne. « Libre comme l'air », donc sans attache ni contrainte dans un imaginaire monde sauvage où l'animalité apparaît comme un modèle de vie idéal. Toutes ces images du monde du vivant ou de celui des choses inanimées s'associent dans une même idée : être libre, c'est ne connaître aucune limite, aucune contrainte… Mais est-ce là être vraiment libre ? Être libre, est-ce n'obéir à personne

l’obéissance aux lois. Est-il possible de donner naissance au pouvoir d’un Etat auquel il faudra obéir sans en même perdre sa liberté ? Il faudra pour cela inventer un système politique qui réussisse à concilier autorité et liberté collective : « Il s’agit de trouver, écrit Rousseau, une forme d’association par laquelle chacun s’unissant à tous n’obéisse pourtant qu’à lui-même est reste aussi libre qu’auparavant ». Autrement dit comment concilier égalité et liberté ? Le pacte démocratique Si un

de Socrate -Le fait de justice ou d’injustice -rendre le mal pour le mal -un acte d’injustice en agissant ainsi -en partant d’ici, faisons-nous du tord à des gens, et précisément à des gens à qui il faudrait le moins en faire oui ou non ? 3. Faut-il toujours obéir à une loi même si elle est injuste? -oui, je ne crois qu’il faut toujours obéir a une lois même si elle est injuste. Parce que dans n’importe quelle ville du monde entier , partout des

accepter la nécessité ? L’acte libre est-il un acte imprévisible ? Liberté et politique Obéir, est-ce renoncer à sa liberté ? Promettre, est-ce limiter sa liberté ? L’Etat est-il l’ennemi de la liberté ? L’Etat restreint-il la liberté individuelle ? Peut-on être libres à plusieurs ? La loi constitue-t-elle, pour la liberté, un obstacle ou une condition ? Est-ce par le renversement des lois que s’exprime la liberté ? Y a-t-il contradiction entre être libre et être soumis aux lois ? Peut-on

fort est une loi de la nature. Ainsi le plus fort l’emporte sur le plus faible. Par conséquent, l’obéissance à la force est incontournable, « céder à la force est un acte de nécessité, non de volonté ». Si l’homme accepte de se soumettre, ce n’est pas par choix, mais par obligation. A partir de ce moment, l’homme n’est plus libre. Si Rousseau parle d’une nécessité, il veut souligner que la force n’est qu’un moyen de causse à effet, c'est-à-dire que l’homme sera d’autant plus contraint à s’incliner

elle-même qui autorise la désobéissance, et par définition la loi ne peut pas permettre qu’on lui désobéisse (le principe même de la loi, c’est précisément qu’on renonce à être juge, ce que traduit Pascal - Pensée n°62, Le Guern - quand il dit qu’on doit obéir à la loi parce qu’elle est loi, non parce qu’elle est juste). • Ou bien c’est une instance supérieure qui autorise la désobéissance et cela revient à supprimer toute loi (puisque le principe même de la loi, c’est encore qu’on renonce à être juge.

La Liberté. 1. Sagesse et liberté 2. Le libre-arbitre 3. Loi et liberté 4. La liberté civile Définition la plus commune de la liberté : être libre c'est faire ce qui nous plaît. C'est accomplir nos désirs sans obstacles ni contrainte. Chez les anciens « l'homme libre » s’opposait à l'esclave. L'homme libre chez les Grecs c'était appartenir à soi même. L'homme libre est un homme qui n’obéit qu'à lui même. Dans la définition antique la liberté est une définition sociale et juridique. Quand

Etre libre est-ce n’avoir aucune obligation ? A première vue être libre, c'est faire ce qu'on veut, ce qui nous plaît quand ça nous plaît; c'est n'être pas obligé, contraint à quoi que ce soit. Ainsi notre liberté semble pouvoir se déployer tous azimuts sans entraves. Toutefois, quand je regarde autour de moi, quand je considère l'environnement social, les circonstances les lois civiles ou les règles qui autorisent l'exercice de ma liberté en même temps qu'elles la délimitent, il apparaît que

pas fondée, c’est qu’elle est variable, « comme la mode suit l’agrément, aussi fait-elle la justice » (fr. 57). Par conséquent, il faut obéir aux lois non parce qu’elles émaneraient d’un ordre dicté par Dieu, mais parce qu’elles sont lois : « … [le peuple] n’y obéit qu’à cause qu’il les croit justes. C’est pourquoi il lui faut dire en même tps qu’il y fait obéir parce qu’elles sont lois. » (fr. 62). Et dans ce cadre, justice et injustice se valent : toutes deux visent à satisfaire la concupiscence

devoir s’adresse a un etre libre, L obligation est differente de la contrainte car la contrainte nos oblige on a pas le choix ; le devoir c est l expression de la liberté alors que la contrainte on m’oblige L acte moral c est pas seulement penser a soi mais également penser à ce qui est bon pour l’humanité. Mais ce n’est pas seulement les actes mais aussi les intentions si par ex mon voisin fait du bruit et que je ne le tue parce que j’ai peur d’aller en prison mon acte n’est pas moral car j agis