Ode Secrete Valery

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 118 ÉVALUATION Tester ses connaissances sur les réécritures . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 120 VERS LE BAC Question sur un corpus : Hugo, Baudelaire, Rimbaud, Valéry . . . . . . . . . . . . . 122 Commentaire • Dissertation • Écriture d’invention . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 124-127 ISBN : 978-2-01-135600-0 © Hachette Livre 2013, 43 quai de Grenelle, 75905 Paris Cedex 15 www.hachette-education.com Tous

« Mignonne, allons voir si la rose Qui ce matin avait déclose Sa robe de pourpre au soleil A point perdu cette vêprée, Les plis de sa robe pourprée Et son teint au vôtre pareil. » Citations littéraires expliquées Pierre de Ronsard, Odes, « Ode à Cassandre », 1556 Chef de fil de la « Pléiade », le poète Pierre de Ronsard dédie à Cassandre Salviati, fille d’un banquier italien, un poème qui figurera dans le recueil des Amours avant de trouver sa place dans les Odes. Dès les premiers vers, la

Par la suite, les poètes français ne s’inspirent plus directement de l’exemple anglais mais se basent sur le travail de Mallarmé. Les deux premiers à imiter l’auteur de Prose pour des Esseintes sont ses disciples, Léopold Dauphin et Paul Valéry, le premier avec des sonnets tels que Fais dodo (1895) et le second avec des poèmes comme Vue (1896). En dehors de Stéphane Mallarmé et de ses disciples, le sonnet français « à l’anglaise » n’a cependant pas une grande postérité, même s’il

Pauca Meae) de la fille adorée : exil affectif, exil politique : Hugo part à la découverte solitaire du moi et de l'univers. Le poète, tout comme dans les Châtiments, se fait même prophète, voix de l'au-delà, voyant des secrets de la vie après la mort et qui tente de percer les secrets des desseins divins. Mais, dans le même temps, les Contemplations, au lyrisme amoureux et sensuel, contient certains des plus célèbres poèmes inspirés par Juliette Drouet. Les Contemplations : œuvre multiforme donc comme

Pauca Meae) de la fille adorée : exil affectif, exil politique : Hugo part à la découverte solitaire du moi et de l'univers. Le poète, tout comme dans les Châtiments, se fait même prophète, voix de l'au-delà, voyant des secrets de la vie après la mort et qui tente de percer les secrets des desseins divins. Mais, dans le même temps, les Contemplations, au lyrisme amoureux et sensuel, contient certains des plus célèbres poèmes inspirés par Juliette Drouet. Les Contemplations : œuvre multiforme donc comme

dévoué, le plus respectueux, le plus jaloux des disciples. / Charles Baudelaire." Dans sa critique littéraire, Baudelaire s'est plusieurs fois exprimé sur l'oeuvre de Gautier (Pl. II, p. 103 à 128; 149 à 152, notamment), et insiste sur un Gautier plus secret que le feuilletoniste, et méconnu, car poète et styliste, et voué, par la "perfection" même de son art, à l'isole[ment]" de l'"aristocratie". Voir aussi un jugement plus réservé sur Gautier, dans une lettre à Hugo de septembre 1859. 120. Le titre

dévorant et après les avoir bien digérés, les convertissant en sang et en nourriture. » La révélation des clefs de l’univers est attendue du retour à l’antiquité. Travail d’assimilation des modèles antiques. Retour à certains genres de l’antiquité ; ex : Ode, et différents tours vont venir enrichir le style de la langue française ; figure de rhétorique, épopée, tragédie. Cet élargissement n’est pas lié uniquement aux modèles antiques, la langue s’enrichit aussi au niveau du lexique ; mots des métiers

traduction[29] : il dit se situer entre les traducteurs qui tentent de faire oublier la traduction au profit d'un beau poème français (comme Valéry l'a fait en traduisant les Bucoliques) et ceux qui violentent le français pour y faire résonner l'étrangeté de l'original (il prend justement l'exemple de la traduction de L'Enéide de Klossowski). Plus docile à l'original que Valéry ou P.-L. Matthey, il ne s'attache pas systématiquement à une fidélité absolue. La traduction est pour lui une écoute de chaque poète

prend de gde richesse, mais ne doit pas s’étonner d’être assassiné. Solon dit qu’ « il ne faut pas agir en tyran, mais promouvoir des changements, les faire adopter par persuasion, ou dans certains cas imposer la force d’une autorité morale ». Le secret de son pvoir c’est selon lui d’unir la force à la justice. Solon est un bon orateur. Une astuce a été d’inventer des nouveaux mots en politique plus adoucissants. Par exemple impôt supprimé = remplacé par contribution.   Sa 1ère ordonnance a été

d’invention et de diversification de ces formes (la Renaissance au xvie siècle, le classicisme et le baroque au xviie) par une extrapolation allant jusqu’au xixe (Le Parnasse) et au xxe siècles. Ceci afin de porter une attention particulière aux œuvres (Valéry, Aragon, Bosquet par exemple) qui, en dépit des bouleversements initiés par les romantiques et surtout par les modernes (voir Séquence 3, consacrée au « poème moderne, p. 208 du manuel), ont manifesté un attachement à la tradition du vers rimé. Bien