Œdème

TRIATEC : Toux sèche. Maux de tête, fatigue, étourdissement, malaise. Baisse excessive de la tension artérielle, hypotension orthostatique. Nausées, vomissements, diarrhée, douleurs digestives, modification du goût. Éruption cutanée, démangeaisons, œdème de Quincke. - LASILIX (furosemide) 20mg, 1 fois par jour : Antihypertenseur. C'est un diurétique dont l'action est puissante et rapide. Effets indésirables possibles du LASILIX : Baisse de la kaliémie, associée éventuellement à des crampes. Déshydratation

Histologie: la muqueuse est de type respiratoire adhérente à la face post de l’épiglotte et des CV, alors qu’elle se laisse facilement décoller au niveau de la face antérieur de l’épiglotte, des replis aryépiglottique et de la sous glotte (topographie des œdèmes) III- ÉPIDEMIOLOGIE : A- FACTEURS FAVORISANTS : Le tabagisme Le malmenage vocal L’alcool Le reflux gastro-oesophagien L’environnement: la pollution atmosphérique, l’exposition aux vapeurs irritantes, les temps humides et froids

Traitement : Amlor® 5mg, inhibiteur calcique Posologie et voie d'administration : Per os, 1 gélule le matin Indication pour le patient : HTA Effets indésirables : Rougeurs, tachycardie, œdème, céphalées. Eléments de surveillance et réajustement : surveillance de la pression artérielle, du poids, des oedèmes. Normalisation et stabilisation des parametres vitaux. Problème médical : Risque thromboembolique Traitement : Calciparine®0.5 ml, héparine calcique Posologie et voie d'administration :

thé n’est finalement que du thé à 50% car le reste est composé d’un ensemble de plantes parfaitement adaptées pour favoriser la digestion et lutter contre ce que la médecine asiatique appelle : stagnation alimentaire, excès d’humidité, mucosités, oedèmes, etc. Son goût est particulièrement agréable et ses effets “ asséchant “ et drainant se ressentent assez vite. Sans être un produit miracle, il n’en constitue pas moins selon nous une excellente boisson à consommer régulièrement en phase d’amaigrissment

interne : le processus inflammatoire qui se déroule en 3 étapes : l'étape locale → actions des globules blancs (phagocytose) à l'endroit de la pénétration des microbes Ceci amène une réaction inflammatoire qui en entraîne → rougeur, chaleur, douleur, œdème l'étape lymphatique → induration et douleur des ganglions qui stoppent les microbes suite à leur passage dans les vaisseaux lymphatiques l'étape sanguine → pénétration des microbes dans le sang d'où l'infection généralisée du sang (septicémie)

-maladie génétique. Incidence de 25000 TC primitives pour 100000 habitants. Elles touchent plus les enfants (20%) que les adultes (2%). IV/ signes : -généraux : HIC= associe des céphalées, vomissements, troubles visuels lié a un oedeme papillaire visible au fond d’œil, somnolence, voire des troubles de la conscience. En cas extrême il y a un risque d’engagement cérébral (pronostic vital mis en jeu). Crise d’épilepsie := généralisé ou partielle. Déficit neurologique= déficit moteur

d'accident est rare, mais très grave. -le risque viral( ex: hépatite) qui n'entraîne qu' exceptionnellement aujourd'hui des contaminations en raison des moyens de préventions qui sont pris. -La surcharge transfusionnelle qui peut entraîner un oedéme aigu du poumon. Le délais entre les dons et aussi important et est à vérifier. Avant le don le donneur a un entretien avec un médecin qui le renseigne sur les risques qu'encoure le receveur si son sang est contaminé, il lui donne aussi des

hernies discale L5-S1, arthrite de hancheRisque d’immobilisation partielle ou totaleRisque de douleurs persistantePassage du kinésithérapeute tous les jours, exercices de mobilitéDiabète insulino dépendant compliqué de rétinopathie diabétique et œdème musculaireRisque d’instabilité du diabèteRisque de perte de la visionRisque de perte ou de baisse de la mobilité sévèreVérification post prandiale de la glycémieInjection d’insuline si besoinAdaptation des repasRéévaluation des besoins oculaires et

troponine), ionogramme, NFS, hémostase, rhésus. Echocardiographie. Monitoring permanent Complications Trouble du rythme : extrasystole ventriculaire. Insuffisance cardiaque. Extension de la nécrose : douleur thoracique. Phlébite : douleur, chaleur, œdème, dissociation pouls/température, diminution du ballottement du mollet. Embolie pulmonaire : douleur thoracique, dyspnée, toux sèche, tachycardie, angoisse. Mort subite. Traitements Limiter l'extension de la nécrose : traitement thrombolytique dans

victime peut faire un œdème pulmonaire ou un œdème cérébral ce qui peut aboutir enfin à la mort en l’absence de traitement approprié (descente, oxygène, pharmacologie). On peut mourir d'hypoxie seulement en haute altitude (les sommets au dessus de 4000m). Conclusion: l'altitude aide le corps à étre plus endurant avec la polyglobulie et purifie avec son air propre,mais elle peut aussi créer des hypothermie et gelures si l'on se pert, hypoxie, MAM, oedèmes cérébraux et pulmonaires