Oenone Est Elle Coupable Ou Innocente

par Jean Racine et publié en 1677. On peut tout de suite constater qu’ils portent sur le même sujet, en l’occurrence : l’amour de Phèdre pour son beau-fils, Hippolyte. C’est dans ces deux passages qu’elle avouera sa flamme, dans un premier temps à Oenone, sa confidente, et dans un second temps à Hippolyte lui-même. De quelle façon l’amour de Phèdre pour son beau-fils est-il déclaré dans ces deux aveux ? On relève tout d’abord qu’Oenone est à l’origine de ces deux aveux. En effet dans le premier

Phèdre, coupable ou innocente ? Phèdre, personnage tragique Nul n'échappe à son destin : voilà une pensée qui nous traverse souvent l'esprit après la lecture d'une tragédie racinienne. Phèdre ne manque pas à cette règle, bien au contraire. Les critiques n'ont eu de cesse de répéter que c'était la tragédie la plus réussie de Racine, et l'auteur lui-même exprime ce sentiment dans la préface. Qu'est-ce qui justifie un tel jugement? La tragédie, au xviiième siècle, s'appuie sur les théories d'Aristote

la passion comme une force fatale qui détruit celui qui en est possédé. Le théâtre racinien présente une action simple, claire, dont les rebondissement naissent de la passion même des personnages. Ses tragédies présentent un couple de jeunes gens innocents, à la fois unis et séparés par un amour impossible parce que la femme est dominée par le roi ou parce qu'elle appartient à un clan rival. Cette rivalité se double souvent d'une rivalité politique. Dans ce cadre aristocratique qui devient un lieu

pas mutuelle et tente donc de provoquer en lui des émotions fortes, telles que la haine. I./1. L’aveu a Oenone La tirade de Phèdre devoile l’amour cachée qu’elle à pour Hippolyte. Elle confie ce terrible secret à Oenone. Cet aveu peut être comparé à celui de Hippolyte à Theramene quelque scène plus tot. « Je respirais , Oenone »(v. 297), Phedre annonce cet amour directement à Oenone. Oenone permet au spectateur de comprendre le mal qui a pris Phèdre. Elle permet aussi a Phèdre de se libérer de

inévitables d' Oenone, d'Hippolyte, et pour finir de Phèdre III/ Synthèse 1: La mort de ces trois personnages est bien due à une malédiction divine 2: Les dieux ne sont pas les seulsà être coupables 3: Cette phrase rend compte de la tragédie Phèdre, mais pas entièrement. Passionnée et divisée, Phèdre est un personnage qui se trouve dans une situation compliquée. Ce personnage eponyme est fascinant dans sa complexité. Racine a dit dans l’introduction : "Phèdre n’est ni tout à fait coupable, ni tout

Introduction I°) Etudes des personnages principaux dans Phèdre 1. Phèdre 2. Thésée 3. Hyppolyte 4. Aricie 5. Œnone II°) Etudes des personnages secondaires 1. Théramène 2. Ismène 3. Panope Conclusion Noms des exposants : * Khadizatou Ba * Babacar Diop * Dicko Diaw * Ndeye Awa Ndao * Korka Mamel Sarr * Moussa Sadio Diop INTRODUCTION Au XVIIe siècle apparait un grand mouvement de la

l'évocation successive de sa mère et de sa soeur provient d'Euripide (v. 337-341), ainsi que d'Ovide (Héroïdes, X, v. 55-62), ce dernier vers est repris d'Antigone de Sophocle (v. 891). 27. Ce refus de prononcer le nom, dont la seule évocation rend Phèdre coupable, figurait déjà chez Euripide ("C'est de ta bouche, non de la mienne que ce nom est sorti": v. 350-352), mais l'hémistiche lui-même -"c'est toi qui l'as nommé"- est directement emprunté à Gabriel Gilbert (Hippolyte, I, 2, v. 131). 28. Cette description

tard dans la pièce il refusera même de lui parler. Quand son père l’accuse il se défend dignement mais ne dénonce pas la coupable car elle est la femme de son père. Son obéissance et sa noblesse d’âme ne lui évitent pas un destin affreux. Il demeure l’exemple du héros calomnié, faisant trop confiance aux divinités car il pensait que les dieux ne permettraient pas la mort d’un innocent. [...] [...] Mais au retour de Thésée, Phèdre est épouvantée à l’idée que son mari puisse découvrir la vérité. Elle

17 à 46 :« l’œil humide de pleurs » v.22 /« le cœur gros de soupirs » v.21« flamme adultère » v.19« l’ardeur dont je suis embrasée » v.24ParallélismeMétaphores de l’amourSouffrance de PhèdreL’expression d’un amour coupable : une passion (du latin patior = souffrir )« juste ciel ; qu’ai-je fais aujourd’hui ? » v.17Émotions tragiquesPonctuation forteExpression d’une résolution tragique« trahir » v.25, « horreur » v.26 « perfidies » v.27, « crime » v.29, « fureurs » v

l’inquietude de sa famille . Son fils hypollyte s’apprete a aller le cherche losrsqu’une rumeur annonce la mort de thesee . C’est alors que se libere toute les ambitions et toutes les passions etouffes du vivant de thesee . Encouragee en cela par oenone sa confidente , phedre declare sa flamme a hypollyte son beau-fils lequel en fait de meme avec aricie jeune otage et seule rescapee du maassacre de sa famille par thesee .Par la suite coup de theatre , thesee n’est point mort et revient .L’embarras