Oenone Est Elle Coupable Ou Innocente

Hippolyte prit la décision de quitter Trézène (I, 1, v.1) pour chercher son père (I, 1, v.27) (I, 2, v.138) et pour prendre congé de Phèdre. Œnone est certaine que sa maîtresse va bientôt mourir (I, 2, v.144), elle était malade depuis trois jours, ne dormait plus, ne mangeait plus (I, 3, v.154 à 156) (I, 3, v.161) (I, 3, v.194) (I, 3, v.226).  Phèdre, annonça à Œnone la passion qu’elle ressentait pour son beau-fils (I, 3, v.272 à 277), celle-ci fut horrifiée (I, 3, v.265 à 268).  Hippolyte apprit le

et qu'il ait encore si bien réussi dans notre siècle, puisqu'il a toutes les qualités qu'Aristote demande dans le héros de la tragédie, et qui sont propres à exciter la compassion et la terreur. En effet, Phèdre n'est ni tout à fait coupable, ni tout à fait innocente. Elle est engagée, par sa destinée et par la colère des dieux, dans une passion illégitime, dont elle a horreur toute la première. Elle fait tous ses efforts pour la surmonter. Elle aime mieux se laisser mourir que de la déclarer à personne

Pensez vous que Phedre est coupable ou au contraire innoncente ? introduction: Racine dramaturge du 17 eme siècle: siècle du classicisme écrivit de nombreuses tragédies dont Phedre. Racine dit de Phedre qu'elle 'n'est niç tout a fait coupable, ni tout à fait innocente". Croyez vous en la culpabilité de Phedre ou contraire à son innocence? Tout d'abord nous verrons que Phedre est coupable puis nous essayerons de prouver son innocence. arguments en faveur de la culpabilité de Phedre :

pour indiffrent lamour, veut aussi fuir Aricie, seule survivante des Pallantides, branche de la famille de Thse que celui-ci a fait massacrer, tandis quil a fait de la jeune fille une esclave. Scne 2 La seconde pouse de Thse, Phdre, va paratre. Oenone, sa nourrice et confidente, fait fuir tout le monde. Scne 3 Phdre, triste, lasse, puise, est accable dun mal mystrieux qui lui fait ce point oublier ses devoirs que, refusant toute nourriture, elle se laisse glisser lentement vers la mort. Elle

la préface de cette pièce, il écrira que « Phèdre n’est « ni tout à fait coupable, ni tout à fait innocente. » En jugeant son personnage dès la Préface de son œuvre, Racine le fait immédiatement apparaître dans sa dualité. Comment cette apparente contradiction entre noirceur et innocence s’explique-t-elle à la lecture de la pièce ? Pour reprendre l’ordre de la citation racinienne, Phèdre n’est « [pas] tout à fait coupable » : petite-fille du Soleil par sa mère Pasiphaé, elle subit la vengeance

Dès le début de la pièce, Phèdre détient le secret d’un amour scandaleux pour Hippolyte qu’elle avouera, à Oenone et Hippolyte, se trahissant, elle conduira les autres personnages de la pièce, vers une chute dans la tragédie. C’est cet amour impossible qui domine cette tragédie. La mort d’une Phèdre à la fois coupable d’un amour inadmissible et innocente puisqu’ irresponsable de celui-ci qui lui est infligé par Vénus, donne à cette scène une véritable dimension tragique. La présence du champ lexical

la véritable cause de son départ, qui est son amour interdit pour Aricie, une princesse du sang royal d‘Athènes, sœur des Pallantides, ennemis de Thésée.Phèdre, belle-mère d’Hippolyte et femme de Thésée, apparaît alors, accompagnée de sa nourrice Oenone. Elle lui confesse sa passion pour son beau-fils. La mort de Thésée est alors annoncée (Scène 4) Acte II Aricie confie à sa suivante Ismène qu'elle aime Hippolyte (Scène 1); celui-ci survient alors et elle lui avoue son amour. Hippolyte lui déclare

indifférent à l’amour, veut aussi fuir Aricie, seule survivante des Pallantides, branche de la famille de Thésée que celui-ci a fait massacrer, tandis qu’il a fait de la jeune fille une esclave. Scène 2 : La seconde épouse de Thésée, Phèdre, va paraître. Oenone, sa nourrice et confidente, fait fuir tout le monde. Scène 3 : Phèdre, triste, lasse, épuisée, est accablée d’un mal mystérieux qui lui fait à ce point oublier ses devoirs que, refusant toute nourriture, elle se laisse glisser lentement vers la mort

la sœur des pallantides, ennemis jurés de Thésée, son père. Phèdre avoue ensuite à Oenone qu'elle aime Hippolyte. On apprend que Thésée est mort.
 II : Les deux déclarations.
 Hippolyte vient proposer le trône laissé vaquant par Thésée à Aricie puis lui clame son amour. Phèdre arrive ensuite et déclare sa flamme à Hippolyte. Quand elle comprend son erreur, elle prend l'épée d'Hippolyte pour mourir mais Oenone l'en empêche. Une rumeur comme quoi Thésée n'est pas mort survient à la fin de l'acte

complet, il faut que le sort de tous les personnages majeurs de la pièce soit fixé et qu’aucun des problèmes posés par la pièce ne reste sans solution. En ce sens, on peut dire que cette scène clôt parfaitement la pièce : Hippolyte est déjà mort, Oenone aussi ; ne restent comme personnages que Phèdre, Thésée et Aricie. Or, ces trois personnages voient leur sort ici réglé : Phèdre meurt et Thésée décide de continuer à vivre. Ce qui est plus remarquable est la réapparition, in extremis d’Aricie qui