Oh Je Fus Comme Un Fou Dans Le Premier Moment

La stripteaseuse ~¢нαριтяє 1 : ∂αηѕєя ρσυя νινяє~ POV Bella Mes mains glissaient sur la barre. Mon corps ondulait au rythme de la musique. L'atmosphère était lourde comme toujours. J'essayai d'en faire abstraction tout comme les regards de tous ces hommes sur moi. Je m'appelle Isabella Mary Swan, étudiante en droit et stripteaseuse. Ce n'est pas à un choix de vie. Le choix, je ne l'ai pas eu. Ma bourse d'étude ne me suffisant pas, j'avais trouvé ce job que je détestais mais qui me permettait de vivre

bien vite en pièces votre pièce. LE POÈTE Quels que soient du public la menace ou l'accueil, Un semblable métier répugne à mon orgueil ; A ce que je puis voir, l'ennuyeux barbouillage De nos auteurs du jour obtient votre suffrage. LE DIRECTEUR Oh ! la postérité ! c'est un mot bien sublime ! Mais le siècle présent a droit à quelque estime, Et, si pour l'avenir je travaillais aussi, Il faudrait plaindre enfin les gens de ce temps-ci: Ils montrent seulement cette honnête exigence De vouloir s'amuser

 Texte A : Honoré de Balzac, La Duchesse de Langeais, chapitre III, 1834.< [Antoinette de Langeais a, pour satisfaire son orgueil, séduit Armand de Montriveau, héroïque généra! de l'armée de Bonaparte. Elle est parvenue à se l'attacher en le rendant fou d'amour pour elle. Mais parce qu'elle veut « posséder sans être possédée », elfe refuse de s'offrir à lui. Un soir, le général se rend chez elle, décidé à fa faire cédera son désir.] - Si tu disais vrai hier, sois à moi, ma chère Antoinette, s'écria-t-il

entièrement vide de sens, car le visage souriant de cet enfant ne manquait pas d’une certaine gentillesse. Toutefois je ne sais si une personne un peu exercée à juger de la beauté et de la laideur n’aurait pas dit au premier coup d’œil : « Oh ! Cet enfant est déplaisant ! » d’un air maussade et en faisant voler au loin la photo du geste dont on chasse une chenille. C’est vrai, plus on regardait ce sourire d’enfant, plus on éprouvait un certain sentiment désagréable. Au fond, ce

WILLIAM SHAKESPEARE La mégère apprivoisée ACTE PREMIER - SCÈNE I Padoue.-Place publique. LUCENTIO ET TRANIO. LUCENTIO.-Tranio, conduit par le violent désir que j'avais de voir la superbe Padoue, berceau des arts, me voici arrivé dans la fertile Lombardie, le riant jardin de la grande Italie ; grâce à l'affection et à la complaisance de mon père, je suis armé de son bon vouloir et de ta bonne compagnie, ô mon loyal serviteur dont l'honnêteté est à toute épreuve ; respirons donc ici, et commençons

peut-être ? Golaud se met à épier Pelléas et Mélisande : il recommande d’abord à son demi-frère d’éviter son épouse, puis ne tarde pas à menacer fermement, dévoré peu à peu par la jalousie. Pelléas et Mélisande finissent par s’avouer leur amour : au moment où ils s’embrassent, Golaud sort son épée et tue Pelléas, laissant Mélisande s’enfuir. En présence d’Arkel et d’un Golaud rongé par les remords, la mystérieuse Mélisande s’éteindra lentement, sans que son mal soit clairement identifié et que Golaud

coups de foudre cessent bientôt, l'orage s'éloigne et l'obscurité n'est plus dérangée. On perçoit au loin deux rires dont les éclats s'amplifient peu à peu. Un rayon de lune permet de distinguer deux hommes, un guerrier et un rameur, secoués par un fou rire inextinguible. LE GUERRIER (hoquetant de rire). Attends, ce n'est pas tout... Alors le vieux dit : « C’est peut-être le cheval du brandisseur de foudre, le sien doit être de cette taille. » LE RAMEUR (riant aussi). Un cheval en bois pour Zeus

aussi vous montrez à quel point être princesse c’est imparfait. Suite au décès de ma nourrice j’ai beaucoup souffert j’ai du rangé mes rêves de petite fille, je me suis dis qu’elle est mieux au ciel. C’était elle ma source d’espoir, au fond c’était comme ma mère. Vous savez quand on est une fille d’Emyr on a pas toujours la liberté d’expression. Mon père cet Emyr , ce roi que l’on voit partout , il se cache derrière cette richesse , il m’a donné une éducation stricte mais n’a jamais prit le temps de

découvra un monde entourait de plusieurs personnes. Les clignotement des lumières me donnait mal à la tête, je découvris un garçon, il devait être dans mon année. Grand brun. Il m'observa comme le derniers extraterrestre qu'il pu voir. Inconnu : Tu es dans le train, le prochain arrêt ne va pas tarder et comme tu t’étais endormie. Moi : Ah, oui juste ! Merci de m’avoir réveillée. Sinon le prochain arrêt c’est quoi ? Inconnu : C’est Arlinghton D’ailleurs c’est ici que je dois descendre. Moi :

textuellement. LUI […] Et regarde quelle saloperie c'est, le téléphone. (il montre) Là je viens de parler, de faire des signes de tête, de gesticuler... Ou quand on explique à quelqu'un au téléphone comment aller quelque part, on fait obligatoirement comme ça. (il imite une conversation au téléphone) Donc en sortant du métro vous prenez tout de suite à gauche (il indique avec les mains), vous marchez un peu et vous allez voir une grande maison en briques rouges, là vous tournez à droite, dans une cour