Oiseau vermillon

LE PETIT CHAPERON NOIR Il était une fois une sombre et mauvaise petite fille, au teint blanc comme neige mais à l’esprit noir comme la nuit. Tous disaient qu’elle était impertinente, égoïste, certains même que son corps était possédé par le diable. Elle inspirait méfiance et quelque chose en elle faisait qu’elle effrayait tous ceux qui croisaient son chemin. Une seule personne n’éprouvait pas cette peur à son approche, il s’agissait de sa grand-mère. La vieille femme et la petite fille possédaient

« La ferme des animaux » George Orwell I) Fiche d’identité du livre Le livre « La ferme des animaux » est un apologue écrit par Georges Orwell, il a été publié en 1945 (en anglais) et a été traduit en français par Jean Quéval. Le contexte historique de cette histoire est la fin de la seconde guerre mondiale et le communisme en URSS. Ce livre est un roman allégorique qui critique l’URSS. II) Résumé du récit par chapitre Chapitre I : Un cochon, Sage l'ancien, très respecté parmi les animaux

petits souliers marron glacé cirés à la salive. Visage veule assez disgracieux quoique expression déterminée. Bras croisés, ses doigts dépassant de manches un peu trop longues pianotent sur ses coudes ». * César : « de son nom de peigne, grand oiseau pensif à lunettes de fer et crâne rasé d’atomiste ». * Personnettaz : « sujet maigre et farouche, austère quoique bizarrement déguisé en assureur de fantaisie, costume sable et chemise tête-de-nègre avec cravate vert clair. Cheveux cuivrés, presque

Égypte, il exprime le froid, la nuit, et également la mort. Mais paradoxalement, le hibou est aussi un grand symbole de sagesse et de connaissance. « J'ai parcouru la moitié de la terre et je me suis enrichie de plus d'expérience que tout autre oiseau », dit le hibou à l'hirondelle. « Comment est-il possible que l'on vénère ta sagesse, alors que tu vis la nuit et ne quittes pas tes falaises ? » « C'est les yeux fermés que je vois le mieux et mes pensées voyagent bien plus loin que tes ailes

loin que l’homme. © FONDATION NATURE ET HOMME / LES EXPLOITS DE LA NATURE © FONDATION POUR LA NATURE ET L’HOMME 2010 - BIODIV’PARTY - les exploits de la nature Je suis le plus petit mammifère connu et je vis en Thaïlande. Qui suis-je ? Oiseau des bois, chacun de mes yeux voit à 180°. Qui suis-je ? Dans les savanes d’Afrique, je peux courir à 100 km/h. Qui suis-je ? Animal terrestre, je peux vivre entre 150 et 200 ans. Qui suis-je ? Bien que petite, je peux traîner 70 fois mon

Corazón ! ¡ Mi pollito ! ¡ Mi amor ! ¡ Mi tesoro ! ¡ Mi hijo querido ! Mon petit trésor ! Pupuce ! Ma jolie toute ronde ! Mon petit ange ! Je t'aime beaucoup ! Petite chose précieuse ! Mon beau roi ! Mon beau petit gros ! Chéri ! Pitchounet Petit oiseau ! Petite chose ! Mon coeur ! Mon poulet ! Mon amour ! Mon trésor ! Mon garçon adoré ! ¡ Bebito ! ¡ Mi chiquito bonito ! ¡ Amorcito ! ¡ Belleza ! ¡ Reina ! ¡ Cielo ! ¡ Chiquitina ! ¡ Mi principe azul! ¡ Mi tesorito ! ¡ Mi pequeño conejito ! ¡ Corazón

manger ! - je ne l’ai pas tuée car j’aime les animaux quand ils sont vivants. Alors, ses parents furieux contre lui, lui interdirent de sortir de la maison. Pendant la nuit, Kotaro s’enfuit de chez lui pour aller dans la forêt retrouver le bel oiseau. Quand il le découvrit, il y en avait une autre grue, un mâle, qui semblait protéger le volatile blessé. Le jeune homme s’assura que tout allait bien et décida de rentrer chez lui car le jour se levait. Heureusement, quand il arriva chez lui, ses

fatal fardeau. Il est méconnu par la foule, bafoué et critiqué par elle. L’albatros, oiseau aux vastes ailes ; « prince des nuées », est comparé au poète, qui par l’imagination s’élève lui aussi par-dessus de la terre. L’albatros déposé sur les planches de la navire, marche péniblement et gauchement, gêné par ses grandes ailes ; remarquons les expressions s’appliquant à l’albatros en plein vol : « vaste oiseau des mers, rois de l’azur, voyageurs ailés, prince des nués… » et les épithètes contrastantes : »maladroit

Les figures de style (2nde) 1) Les figures par analogie : - La comparaison : La comparaison établit un rapprochement entre deux termes, le comparé et le comparant, à partir d’un élément commun et grâce à un outil de comparaison : Ex : « comme, pareil à, ressembler à, tel, semblable à, … » - La métaphore : La métaphore assimile complètement deux idées ou réalités (sans outil de comparaison). Lorsqu’une métaphore est développée par plusieurs termes, on parle de métaphore filée. Quand

concerné par l’œuvre. Par ailleurs, un bon roman doit laisser une marque durable à son lecteur, il ouvre des pistes de réflexions sur différents sujets et doit le pousser à y réfléchir. Dans le roman d’Anne Calife, Et, le mail s’envole comme un oiseau, le lecteur réfléchit aux addictions auxquelles l’utilisation trop fréquente d’un ordinateur peuvent conduire. Un bon roman vise donc à faire réfléchir le lecteur, à l’instruire et à lui proposer un certain genre d’écriture littéraire. Pour conclure