Oléoduc

extraire : ainsi, les gisements ne sont jamais exploités en totalité. Comment utilise-t-on le pétrole ? Le pétrole brut n’est pas utilisé tel quel. Il est transporté depuis les lieux de forage jusqu’aux raffineries par pétroliers ou grâce à des oléoducs (ou pipelines). On extrait : -le naphta, qui est la matière première de la chimie du pétrole (ou pétrochimie), grâce auquel on produit notamment tous les plastiques ; -le butane et le propane, qui sont deux gaz servant à alimenter les appareils de

ports maritimes. Rotterdam enregistre un trafic annuel de 400 millions de tonnes ! Ces ports sont aussi reliés au reste de l’Europe rhénane par des canaux (dont le canal Albert qui part d’Anvers). De plus, des autoroutes, des voies ferrées et des oléoducs pénètrent jusque dans ces ports. • Le dynamisme de ces ports – et c’est le cas de Rotterdam – est perceptible par l’extension des installations portuaires. Car navire de plus en plus gros. Originellement, le port était installé au centre de la ville

En effet l'Ukraine joue à la fois le rôle de consommateur de gaz russe mais aussi de partenaire économique pour l'exporter vers l'UE. La Russie cherche donc à diminuer le poids géopolitique de ce pont entre Asie et Europe par la création de deux oléoducs qui contourneraient la Biélorussie par le nord, en passant sous la mer Baltique (north stream), et par le sud pour contourner l'Ukraine, en passant par la mer Noire (soft stream). A l'inverse, selon Thomas Klau, l'Ukraine est aussi la cible

économique mondiale et a dû emprunter près de 13 milliards d’euros au Fond Monétaire International. Enfin, la Roumanie possède sur son sol d’intéressantes ressources naturelles (gaz, pétrole, cuivre, fer...) et bénéficie également du passage de plusieurs oléoducs et gazoducs sur son territoire.

l'expansion économique, le volume des échanges mondiaux quintuple de 1950 à 1973. La révolution des transports De nouvelles technologies permettent des échanges plus rapides, plus volumineux (superpétroliers), plus souples (conteneurs) et moins chers (oléoducs). La libération des échanges En 1947, 25 états signent l'Accord général sur les tarifs (douaniers) et le commerce (GATT) et s'engagent à favoriser le libre-échange par réduction des taxes douanières et des contingentements. La stablité du système

un avantage réelpour un pays pauvre, mais ces ressources provoquent des convoitises. • Le transport de matières premières énergétiques participe à l'augmentation des flux de marchandises dans le monde. Il implique des aménagements particuliers comme les oléoducs(canalisation transportant du pétrole), et les gazoducs (canalisation transportant du gaz), les terminaux pétroliers et méthaniers dans les ports, la construction de tankers (navires spécialisés). • Les routes des matières premières énergétiques

Sibérie). Ainsi, le territoire russe est très hétérogène : les inégalités territoriales sont flagrantes car en plus, les infrastructures de transport et d'accessibilité sont inégales, malgré des travaux et des projets de maintenance. Les gazoducs et les oléoducs permettent, mais de manière assez faible, d'intégrer les régions riches en hydrocarbures dans la mondialisation. On remarque en effet que les régions qui contiennent du pétrole et du gaz sont alimentées, pour la plupart, en voies ferrées car ces

poursuit par la jonction des forces de débarquement et l'établissement d'une tête de pont sur la côte normande puis l'acheminement d'hommes et de matériels supplémentaires. Les jours suivants voient la mise en place des structures logistiques (ports, oléoduc (PLUTO)) pour le ravitaillement du front et le débarquement de troupes supplémentaires. L'opération cesse officiellement le 30 juin 1944. Bien qu'il soit quelquefois affirmé que l'opération Neptune ne fut que la partie navale de l'opération Overlord

bananes » s’est transformé en république pétrolière. Cette ressource représente 45% des exploitations. Les industries pétrolières utilisent des gisements situés au pied des versants orientaux des Andes. Le pétrole est alors acheminé par un gigantesque oléoduc jusqu'à la ville d’Esmeraldas sur la côte. Hélas ces industries ne font absolument pas attentions aux problèmes écologiques et déversent une partie de pétrole dans la rivière : Texaco, premier exploitant pétrolier (américains) en Equateur, a déversé

d’en arriver là, la rivalité, malgré des associations de sociétés pour la recherche et la production en Russie, se manifeste de plusieurs manières. Nous donnerons en exemple d’une part la « guerre des oléoducs » en Asie centrale, d’autre part, la « guerre des gazoducs » en Europe. La Guerre des oléoducs en Asie centrale Ce problème déjà fait l’objet d’une étude dans le numéro 12 (Avril 2006) de « Géostratégiques » auquel on pourra se reporter. Depuis lors la question est toujours posée de la même