Oligopoles Monopoles Et Regulation De La Concurrence

Nationalisme . Dans sa thèse , Charles-Albert # s'oppose à thèse de F. Fukuyama → Globalisation # n'est pas corrélée à la "fin de l'histoire" .→ Dimension financière = Maillon faible de la globalisation .Finalité de la thèse = Trouver une nouvelle régulation à la mondialisation actuelle → Passage d'une configuration à une autre . Chapitre 1 : Une nouvelle approche de la mondialisation I- Une approche nouvelle de la Mondialisation Définition Mondialisation → Jamais donnée de façon claire → Multidimensionnelle

------------------------------------------------- Chapitre 5- Marchés et formation des prix Rappel de la définition d’un marché Citez des exemples de marchés Loi de l’offre et de la demande I - LES MECANISMES DU MARCHE EN CONCURRENCE PURE ET PARFAITE ------------------------------------------------- A- LES HYPOTHÈSES DU MODÈLE NEO-CLASSIQUE        1 - Une conception individualiste et rationaliste de la société La microéconomie est née aux environs des années 1870 et a pris sa forme

les défaillances du marché : les externalités, les biens collectifs, les monopoles naturels, une politique de redistribution, régulation de l’activité Externalités, biens collectifs et le monopole naturel sont liés à des défaillances du marché( économie du bien être : Welfare Economics (Pigou, Samuelson, Musgrave…) : pense qu’il y a des endroits où la loi du marché n’est pas efficace. La redistribution et la régulation de l’activité I. DEFAILLANCE DU MARCHE A- Externalités Phénomènes

collectives sur les salaires intégrant le maintien du pouvoir d’achat (ex : existence d’un salaire minimum en France le SMIC) - économiques quand de grandes entreprises publiques sont dans une situation de monopole ou oligopole qui s’affranchissent alors de la concurrence pour fixer leurs prix (ex : EDF qui souhaite augmenter ses tarifs de 30% sur 5 ans) Comme nous l’avons vu, l’inflation connaît diverses origines que la mise en œuvre de politiques adaptées peut contrer. 2/

disfonctionnement du marché : exemple : le marché ne prend pas le social en compte, ni les problèmes de concurrence, les externalités et les asymétries d’information. Mais il est important de vérifier par modèle avant si l’intervention est désirée ou non. • Il peut agir en taxant, en redistribuant, en produisant des biens publics, en interdisant certaines actions. Chapitre 2 : Concurrence et efficacité : 2.1 L’économie d’échange : • Il ne se fera que s’il y a un avantage mutuel à échanger •

A quoi sert la concurrence ? 1. Comment se forment les prix ? Le prix d'un produit dépend du niveau de l'offre et de la demande pour ce produit. Mais ces derniers dépendent de facteurs multiples. Ainsi la demande d'un produit dépend : • du prix de ce produit : selon ce que l'on appelle la loi de la demande, "toutes choses étant égales par ailleurs, quand le prix d'un bien augmente, la quantité demandée diminue". La sensibilité de la variation de la demande consécutive à une variation du prix

CHAPITRE 3 Abus de position dominante Situation dans laquelle une entreprise profite de son poids sur le marché pour imposer à ses concurrents ou à ses clients des conditions d’achats ou de ventes qui remettent en question les conditions de la concurrence. Aléa moral Situation dans laquelle un agent économique possède une information que l’autre n’a pas , qui ne porte pas sur une caractéristique donnée à l’avance, mais sur une action que l’agent économique peut –ou non- commettre. Par exemple

difficulté est coordonner ces choix pour obtenir un système stable. En principe le marché est le mécanisme de coordination de ces décisions. Il fonctionne grâce a une loi fondamentale : l’offre et la demande. Il est efficace dans une situation : la concurrence pure et parfaite La CPP : atomicité : pas d’acteurs plus fort que les autres l’homogénéité : tout les produits échangés sont identiques la fluidité : libre entrée des acteurs sur les marchés la transparence : aucun secrets la mobilité des facteurs

institutionnel face à l’insuffisance d’information ? A. Les marchés de concurrence pure et parfaite La concurrence pure et parfaite est un modèle théorique idéal du marché, qui repose sur les conditions suivantes : – atomicité de l’offre et de la demande ; – homogénéité des produits échangés ; – information parfaite ; – libres entrées et libres sorties du marché ; – parfaite mobilité des facteurs de production. La concurrence est qualifiée d’imparfaite chaque fois que l’une de ces conditions n’est

d'une entreprise, diminution du chiffre d'affaires) • le lien de causalité (clause de non-concurrence, débauchage illicite) Cependant, certaines juridictions ont sanctionné des pratiques déloyales en recourant à la notion de trouble commercial, créant une présomption simple de préjudice dès lors que le comportement déloyal était avéré (D. 1994, somm. 250, note Serra). Le domaine de l'action en concurrence déloyale s'est considérablement étendu au fil du temps : visant à l'origine les abus pratiqués