Oligopoles Monopoles Et Regulation De La Concurrence

service, marché du travail, marché des capitaux). Pour le bon fonctionnement du marché, il existe : * Conditions institutionnelles * Conditions économiques  Au niveau économique on parle de concurrence pure et parfaite * Atomicité : ( bp d’offreurs/Bp de demandeurs) Monopole : 1 offreur Oligopole : qq offreur * Homogénéité : les produits doivent être substituables et semblables. * Libre entrée sur le marché : fluidité n’importe qui peut entrer sur le marché * Transparence

recette marginale Rm est inférieure à la recette moyenne RM  profit max si Q est telle que Rm = Cm GRAPHIQUE MAX PROFIT : Rm = Cm En concurrence parfaite : L’entreprise est PRICE TAKER, càd elle prend le P fixe du marché  Rm = P = RM Équilibre (efficacité économique, profit max) si Cm = P L’E augmente Q aussi lgts que le Cm reste inférieur au P En monopole : L’entreprise est PRICE MAKER, mais en réalité, elle ne choisit pas le P, puisqu’elle augmente Q aussi longtemps que Rm reste supérieure

institutionnel face à l’insuffisance d’information ? A. Les marchés de concurrence pure et parfaite La concurrence pure et parfaite est un modèle théorique idéal du marché, qui repose sur les conditions suivantes : – atomicité de l’offre et de la demande ; – homogénéité des produits échangés ; – information parfaite ; – libres entrées et libres sorties du marché ; – parfaite mobilité des facteurs de production. La concurrence est qualifiée d’imparfaite chaque fois que l’une de ces conditions n’est

demande | * Concurrence pure et parfaite * Atomicité du marché Offreurs et demandeurs très nombreux sur le marché, aucun assez puissant pour agir sur le prix La modification d’un particulier n’entraine pas la modification globale * Homogénéité sur le marché Produits identiques * Transparence des informations Sur les prix du marché * Fluidité du marché Libre entrée sur le marché et mobilité des facteurs de production Marché en situation de concurrence imparfaite, types

raisons ne manquent pas. Les services publics sont devenus un des éléments déterminants des politiques économiques. Autour d’eux se concrétisent les affrontements sur l’efficacité et l’égalité, le marché et les droits, les entreprises publiques et la concurrence. Ils sont présents à toutes les échelles d’intervention, au niveau local dans les politiques municipales, au niveau national avec les péréquations et l’aménagement du territoire, au niveau européen avec l’avalanche de directives pour ouvrir le marché

occupés par ces services et entreprises publiques. On entend, par libéralisation, le processus par lequel L’Etat va déréglementer le marché contrôlé par un service ou une entreprise publique afin de le soumettre à la concurrence. Ce fut le cas notamment du secteur de l’énergie et du secteur postal. Accélérés par l’Union Européenne vont conduire à des libéralisations et des privatisations, ce qui induira fatalement des transformations dans des services publics tels que

En se lançant sur le marché de la téléphonie mobile en janvier 2012, Free Mobile à lancer un pavé dans la marre de ce marché, en proposant des offres défiant toutes concurrences. La concurrence c’est l’ensemble des acteurs proposant des produits ou services répondant au même besoin que celui à laquelle cherche à répondre l’autre entreprise. « Le marché de la téléphonie mobile est oligopolistique et donc peu efficient, quelles sont donc les conséquences de l’entrée de Free sur ce marché ? » Dans

saut qualitatif. La première de ces transformations concerne le degré de centralisation du capital dans ses segments dominants. Celui-ci est sans commune mesure avec ce qu’il était il y a seulement une quarantaine d’années. Certes les monopoles et les oligopoles ne sont pas une réalité nouvelle dans l’histoire du capitalisme, depuis l’époque mercantiliste jusqu’à l’émergence des cartels et trusts de la fin du XIXe siècle (analysés par Hilferding, Hobson et Lénine). Mais aujourd’hui on doit parler

l’offre et la demandeUne relation horizontale entra agents égauxUne autorégulation sans intervention extérieure | Une institution qui résulte d’interactions sociales et économiques (marchands, entreprises)Coexistence entre relations horizontales (concurrence) et relations verticales (rapport salarial, domination des grandes firmes)Des déséquilibres qui peuvent se propager de marché en marché, des crises récurrentes | Liens entre les diverses sphères de la société | Déconnexion de la sphère économique

Puis, l’arrivée de moyen (téléphone,..) l’a transformé en un élément abstrait qui regroupe l’ensemble des producteurs et des consommateurs d’un bien ou d’un service. Principes de l’économie de marché (XVIII, XIX) * Liberté individuelle * Concurrence * Formation des prix par le jeu de l’offre et de la demande * Existence du profit C’est l’initiative personnelle qui est l’élément moteur du système, les entrepreneurs privés jouent un rôle essentiel. L’Etat n’intervient pas dans l’économie