Oliver Sykes

des liens occ // par Angleterre Une convoitise ac essor auto. Casi contrôle du petrole en 1909 de l'iran ac « anglo-persion company » et en 1912 ¾ du petrole ac « turkish petroleum company ». renforcé par 1GM Mossoul malgré promis a fr ac accords Sykes-picot 1916. turquie proteste cette annex0 mais SDN confirme act bri en 25 par EU compagnies occ ac importance d'influence à travers le % de particip au capital. Influence politique en 53 car 1er mini iran Mossadegh renversé car opposait aux compagnies

dans la province arabe de l’Empire ottoman. En effet, ils possèdent dans cette province de nombreux intérêts économiques, culturels et religieux, et souhaitent transformer leurs zones d’influences en possessions territoriales.En 1916, les accords Sykes-Picot sont signés, découpant ainsi la province arabe de l’Empire ottoman entre les Britanniques et les Français. Le 7 octobre 1918 une division navale française débarque à Beyrouth. b) Le mandat français

hypocrisie de la part de la France et de l’Angleterre, les territoires arabes récemment libérés de la domination ottomane sont également autorisés à envoyer des délégués pour présenter leurs doléances. Pour sa part, déterminé à ne pas voir les accords Sykes-Picot appliqués, le chérif Hussein, désormais roi du Hedjaz, choisit son fils Fayçal pour représenter les Arabes à la conférence de Paris et plaider leur cause, c’est-à-dire concrétiser leur rêve d’indépendance. De son côté, le représentant britannique

forte influence anglaise : les revendications arabes correspondent aux ambitions Britanniques exprimées lors des accords Sykes-Picot de 1916. Une piste d’explication réside dans l’amitié entretenue par Faysal et l’officier Britannique T.E Lawrence, dit « Lawrence d’Arabie ». Enfin, on note que Faysal ne tient aucun compte des volontés françaises exprimées dans les accords Sykes-Picot. En effet, la France voulait un contrôle en Syrie, or, Faysal déclare : « nous croyons que la Syrie […] est suffisamment

compensations coloniales en cas de partage de l’Empire Ottoman. - accord de Saint-Jean de Maurienne (1917) : sans valeur juridique, il précisait la nature de ces compensations et évoquait la possibilité d’un démembrement de l’Allemagne. - accords Sykes-Picot (1916) : prévoient le partage du Proche-Orient dans lequel la France obtient le Liban et le nord de la Syrie, la Grande-Bretagne reçoit la Mésopotamie et le reste de la Syrie et la Palestine doit passer sous administration internationale. Ces

du haut-commissaire britannique Henry McMahon au chérif Hussein de La Mecque leur promettant la création d’un royaume unifié, les Arabes assisteront, impuissants, à la trahison de ces engagements. Lesquels seront bafoués aussi bien par les accords Sykes-Picot (1916) partageant la région entre la France et le Royaume-Uni que par la déclaration Balfour (1917) annonçant la création d’un « foyer national juif » en Palestine. Sous mandat français, la Syrie fut d’abord morcelée en quatre Etats, avant d’accéder

un enjeu pour l’Empire Britannique qui convoitait déjà une partie du Moyen Orient et c’est ainsi que suite à l’alignement de l’empire Ottoman du côté Allemand son démentiellement fut décidé au sein de deux accords successif : -Les accords secrets Sykes-Picot, signés le 16 mai 1916, entre la France et la Grande-Bretagne prévoyant le partage du Moyen-Orient à la fin de la guerre en zones d'influence entre ces puissances, dans le but de contrer des revendications ottomanes. -Le traité de Sèvres, conclu

grandes puissance coloniales. Sans surprise, la France revendique la Syrie ainsi que la Jordanie et la Cilicie, et la Grande-Bretagne de son côté veut s’installer dans la région de Bassora. 3) La nécessité d’un compromis C’est avec les accords Sykes-Picot de 1915-1916 entre la France et la Grande-Bretagne que l’on détermine deux natures de zone différentes : celles de contrôle direct, et celles dites d’influence. L’Angleterre occupera ainsi la basse Mésopotamie, et la France, les littoraux syriens

Grande-Bretagne avait déjà pris à l’époque. D’abord la promesse faite en 1916 au chérif Hussein, comme à Ibn Saoud, en échange de leur participation à la guerre contre les Turcs, de« reconnaître et soutenir l’indépendance des Arabes ». Ensuite, les accords Sykes-Picot passés la même année avec les Français, qui partagent entre les deux pays le grand royaume soi-disant destiné aux Arabes et qui internationalisent la Palestine, sans y prévoir d’ailleurs de Foyer national juif. Arthur Koestler a résumé d’une

Le 30 septembre 1916, Fayçal entre dans Damas, et proclame l’indépendance de l’Etat arabe au nom du roi Hussein. Les accords Sykes-Picot Parallèlement aux promesses faites à Hussein, la Grande Bretagne cherche à statuer avec la France sur l’avenir de ces régions. Les accords Sykes-Picot font office de compromis entre les prétentions des deux puissances. Sykes a pour cadre de réflexion le rapport de la commission Bunsen. Picot suit les revendications des partisans de la Grande Syrie (Syrie