Olympe De Gouges

deux sexes. Nombreux auteurs pensent la différence féminine mais à l'aune du masculin, mise à part Olympe de Gouges. Ils sont sensibles à l'injustice de leur sort comme Voltaire, ils sollicitent pour elles plus d'équité et réclament une éducation égale comme Laclos. Les auteurs des Lumières ont le mérite de soulever la question de la place de la femme dans la vie de la cité, mais seule Olympe de Gouges, à la fin du siècle, revendiquera l'égalité des deux sexes. Il semble que l'esprit des Lumières,

Dissertation Ce corpus est composé de trois textes et un document de 1768 à 1963. Tout d’abord un texte de Voltaire « soyer soumises à vos maris »paru en 1768. De plus nous avons Olympe de Gouges qui a écrit « Préambule de la déclaration des droits de la femme et de la citoyenne » en 1791. Par ailleurs le texte C est un extrait de «Le deuxième Sexe » écrit par Simone de Beauvoir publié en 1949. Pour finir nous avons un rétrospective des

Olympe de Gouges (1748-1792) Introduction Fille naturelle d’un aristocrate et d’une roturière, auteur de la « Déclaration des Droits de la femme et de la citoyenne » et de nombreux écrits en faveur des droits civils et politiques des femmes et de l’abolition de l’esclavage des noirs, Olympe de Gouges n’a pas reçu de l’histoire la reconnaissance qu’elle mérite : Le XIXe siècle l’a dénigrée, la tournant même en ridicule : Il avait oublié l’esprit des lumières et le code Napoléon allait inscrire

différentes stratégies argumentatives : Tout d’abord on remarque que les textes de Voltaire, Olympe de Gouges et Simone de Beauvoir sont des discours argumentatifs alors que le dessin de Plantuest une caricature. Voltaire, Olympe de Gouges et Plantu sont impliqués et font de leur argumentation l’expression de leur avis personnel. De nombreux modalisateurs sont utilisés dans les textes deVoltaire et de Olympe de Gouges qui montrent leur indignation face à la condition de la femme (« pour comble » l6 TA,

Mostel Lyza 1G08Dissertation Olympe de Gouges En 1791, Olympe de Gouges propose une réécriture de la déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen , adoptée en août 1789 par l’Assemblée Nationale. Dans son texte, la déclaration Des Droit de la Femme et de la Citoyenne , l’autrice évoque donc les droits et les devoirs des femmes, et fait un appel à l’égalité entre les sexes. Par conséquent, nous pouvons nous interroger si cet écrit peut

l'homme». Alors que la France avait été l'un des premiers pays à instaurer le suffrage universel masculin, il faudra un long moment pour que ce droit soit aussi mis en place pour les femmes. Olympe de Gouges: Héroïne révolutionnaire considérée comme l’une des premières féministes françaises, Olympe de Gouges s’est distinguée par son célèbre texte intitulé Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne. Elle publie des ouvrages pour l’égalité des droits, jusqu’à sa fameuse Déclaration des

Cet article est disponible en ligne à l’adresse : http://www.cairn.info/article.php?ID_REVUE=ANSO&ID_NUMPUBLIE=ANSO_031&ID_ARTICLE=ANSO_031_0197 Construction normative et féminité. Olympe de gouges, ou la portée du modèle déclaratif par | Presses Universitaires de France | L'Année sociologique 2003/1 - Vol. 51 ISSN en cours | ISBN 2130545068 | pages 197 à 210 Distribution électronique Cairn pour Presses Universitaires de France . © Presses Universitaires de France . Tous droits réservés

droits de la femme et de la citoyenne est un texte juridique rédigé par Olympe de Gouges en 1791. Nous pouvons dire que ce texte s'inscrit dans le registre didactique et polémique car il cherche à revaloriser l'importance de la femme dans la société. Le but de Madame de Gouges est d'intervenir contre cette injustice et souhaite alors vaincre à travers des propos clairs et moralisateurs. Dès le début de l'extrait, Olympe de Gouges apostrophe l'homme ligne 1 à travers une question rhétorique « Homme

Olympe de Gouges - ICONO/SIPA Olympe de Gouges - ICONO/SIPA Un siècle et demi avant l'écriture du Deuxième Sexe par Simone de Beauvoir, une femme, Olympe de Gouges, avait voulu trancher l'hydre de la misogynie, ce frein entravant l'évolution des sociétés. Malheureusement, c'est sa tête à elle qui roula sur l'échafaud de la Terreur en 1793. Victime de son sexe, victime de ses idées trop humanistes, trop révolutionnaires pour la Révolution elle-même, victime aussi de son origine de classe. Son corps

révoltées contre la misère, l'insolence et les privilèges. Paradoxalement, peu d'entres-elles combattaient pour le droit de leur sexe. Seules quelques marginales, vite persécutées, donnèrent à leurs actes une dimensions proprement féministe, comme Olympe de Gouges par exemple.        Parmi les révolutionnaires se présentaient les partisans de l'égalité politique, mais ils étaient très peu nombreux. Leurs but était de passer de la nature à la société pour comprendre la femme (notamment Poulain de la