On Peut être Heureux Sans Croire En Dieu

CROIRE AU PROGRES Victor Hugo croit au progrès: le progrès est le passage de l’Hydre à l’Ange, e la nuit à la lumière, de l’appétit à la conscience, de la matière à l’âme, du néant à Dieu, de l’injuste au juste, du faux au vrai, du laid au beau, du mal au bien, de la survie à la sur-vie. Le progrès est donc pluridisciplinaire: scientifique et technique, économique et social, culturel et moral voire religieux. Le progrès est l’évolution de l’humanité vers un état supérieur, l’affranchissement

pour convaincre. C’est en faisant croire aux autres qu’ils savent alors que lui ne sait rien qu’il tente d’amener le dialogue. Il nous fait comprendre que Dieu est objet de foi et non de science. De siècle en siècle, on a enseigné les connaissances acquises au fils des ans mais même le plus grand des savants ne peut pas tout prouver par la science et ne peut être sur lui-même de ses dires. Il y a toujours une partie qui reste, qui peut venir du surnaturel car on ne peut tout expliquer. Même si plusieurs

suis une élève sérieuse de seconde ayant pu nourrir et baser mon questionnement sur des écrits de prestigieux auteurs et philosophe tels que Voltaire, Alain ou encore Aristote. Je vais donc essayer de vous montrer ma vision du bonheur. On aurait pu croire que le bonheur réside dans le travail ou dans la difficulté. En effet, avoir un rêve, un objectif, nous permet de toujours regarder vers l’avant, d’avoir de l’adrénaline et de l’espoir. Quand enfin on atteint son but, le bonheur est immense. Un athlète

La genèse des Pensées I ] Présentation de l'œuvre. Une œuvre inachevée Œuvre inachevée. Son vrai titre aurait du être "l'apologie de la religion chrétienne". Dans ses écrits, il veut amener les incroyants à croire en Dieu. 800 fragments = Montre l'écrivain au travail Sa famille, témoin de cela, a voulu réunir tout ses écrits ( = fragments) et les a rassemblé en liasses dans une même œuvre. D'où le nom "pensées". Alors qu'on croit ouvrir une œuvre, on aborde une

d'esprit on s'aperçoit qu'il y a plus d'hommes originaux. Blaise Pascal Nous ne nous contentons pas de la vie que nous avons en nous et en notre propre être. Nous voulons vivre dans l'idée des autres d'une vie imaginaire. Nous serions de bon coeur poltrons pour en acquérir la réputation d'être vaillants. Grande marque du néant de notre propre être ! Blaise Pascal Pensées Notre âme est indifférente à l'état de batelier, comme à celui de duc. Blaise Pascal Discours sur la condition des

MOI – Cependant ils considèrent le plaisir au même titre que le bonheur. Ceux-ci se confondent dans leur esprit et deviennent semblables. LUI – Mais je ne vois pas la nécessité de connaître la subtile différence puisque l’ignorance de celle-ci peut rendre le bonheur si facilement accessible. MOI – Et bien, la différence n’est pas subtile. Elle est immense, gigantesque, elle est le fondement même du bonheur. Savoir. Savoir est un bonheur. Connaître, comprendre, réfléchir. Le bien n’a pas de valeur

parviennent pas à être heureux. Sous-entendu que ce n’est pas la seule méthode possible, même si elle lui semble la plus efficace. Elle repose, comme il l’indique en préambule, sur l’activité philosophique, au sens à la fois de réflexion sur soi-même et de connaissance du monde qui nous entoure. Et elle est très simple : il s’agit dêtre heureux le plus rapidement possible. -c’est une méthode qui s’appuie sur un présupposé original : elle suppose que l’homme est naturellemet heureux. Le malheur est

Noms de Dieu Explication du titre Le titre « Noms de Dieu » me semble assez représentatif quant à mes convictions religieuses. Le choix d’utiliser un pluriel pour le mot « nom » représente le fait que dans les trois grandes religions monothéistes, qui sont l’Islam, le Judaïsme et le Christianisme, des nominations différentes sont employées pour représenter Un Seul et Unique Dieu. Ces trois religions possèdent chacune un livre sacré, le Coran pour les Musulmans, la Torah pour les Juifs et la Bible

(1756-1763) menée par Frédéric II de Prusse déchire l’Europe et cause, à son tour, des milliers de morts. Elle oppose la France à la Grande- Bretagne et la Prusse à l’Autriche et à la Hongrie. Voltaire, désespéré devant tant d’horreurs, ne peut plus croire en l’optimisme ni en l’homme. Il décide alors d’écrire pour la paix, espérant changer les mentalités de son siècle. Dans Candide, l’auteur poursuit cette ambition- là et fournit un véritable appel à la tolérance et à la raison. L’esprit des

que l’on désire donc toucher les cinq sens. Cette force consolante venue du ciel, c’est-à-dire de Dieu, est sans doute infinie, ce qui explique son adaptabilité à tous nos états intérieurs : notre «passion » (L. 13) est changeante don si elle est changeante, notre capacité à concevoir ce qui est absent va s’adapter à notre nouvelle passion. On voit à ce propos combien l’homme selon Rousseau est un être dépendant de ce qui le passionne et de la nature. Or nous nous demandions tout à l’heure si l’homme