Opposition Belle Et Bête

v .2 , « déployant » v14« jour affaibli »v15 , l'auteur veut nous montrer la magnificence de cet instant et de l'environnement qu'observe le "crapaud" v.6 avec émerveillement : " éblouie" v.6 , "contemplait la splendeur" v.7 . Apparait alors une opposition entre la beauté du milieu et de l'animal qui symbolise généralement la disgrace physique idée appuyée par le champs lexical de la monstruosité : " l'horreur"v.7 , " laideur" v.8 , "pustules"v.10 , "peut etre maudit " v.10 , remettant ainsi en question

conventionnelle Périphrases pour la charogne  dégouter le lecteur Description de la décomposition de la charogne  odeur désagréable « putride » « exhalaisons »…. Evocation du corps Charogne pas entière  évocation de la chienne qui lâche un morceau Opposition entre « beau matin » et « charogne » a. Une description effroyable Adjectifs suscitants l’effroi  « horrible » « infâme » Registre épique  hyperboles ; images guerrière (métaphore) Verbes de mouvements impression de vie pour la charogne Apparition

retrouve confronté à ses détracteurs qui le tue. Par amour, la mort se sacrifie en effaçant toute trace de son passage et rend Orphée et Eurydice à la vie et le poète à l'immortalité. Ce film fait suite, quatre après à son interprétation de « La belle et la bête » et reprend les éléments de l'univers surréaliste et fantastique de Cocteau. Analyse : Cocteau reprend la trame du mythe : le couple Orphée -Eurydice, la mort d'Eurydice, Orphée va la chercher, il se retourne, Eurydice meurt une deuxième

pour la base seize, selon lui) qui lie les mathématiques et l’écriture poétique. Boby vit les dernières années de sa vie à toute vitesse, il veut tout accomplir. Il se sait condamné par un cancer, mais n’en parle que peu. Il l’appelle la « petite bête qui le ronge »1. Une femme qu’il affectionne, Léone, veille sur lui.Sa dernière apparition sur scène a lieu à « Bobino », à Paris, en décembre 1971. Il est alors en première partie de Pierre Perret. Boby Lapointe retourne à Pézenas en avril 1972

égard “ taciturne ” . Pourtant, la distance qui sépare Baudelaire de la femme reste proportionnelle à l'amour du poète pour elle “ Et t'aime d'autant plus, belle, que tu me fuis (v.3) “ “ Plus ironiquement accumuler les lieues (= Ancienne mesure de distance ) (v.5) ” “ Qui séparent mes bras des immensités

Vénus Anadyomène Comme d'un cercueil vert en fer blanc, une tête De femme à cheveux bruns fortement pommadés D'une vieille baignoire émerge, lente et bête, Avec des déficits assez mal ravaudés ; Puis le col gras et gris, les larges omoplates Qui saillent ; le dos court qui rentre et qui ressort ; Puis les rondeurs des reins semblent prendre l'essor ; La graisse sous la peau paraît en feuilles plates ; L'échine est un peu rouge, et le tout sent un goût Horrible étrangement

l'idéal étant que chaque maître "puisse créer ses propres poèmes et formulettes". Opposition sourde-sonore p b k g t d f v s z ch j se distinguent des autres sifflantes par une poussée des lèvres vers l'avant pain paix pan, paon pas peau, pot peigne peignoir pelle perte peur poire pou poule pull paisse Paul passe pêche pu port, porc pois, poids pont Bain baie ban, banc bas beau baigne baignoire belle Berthe beurre boire boue, bout boule bulle baisse bol basse bêche bu, but bord bois

« dormes » (l1à5) = champs lex lié à l’absence de sommeil et à la fatigue, persos tragiques qui parlent de banalités, sous-entendu de la tragédie qu’elles sont en train de vivre. II- Apparition de chaque personnalité - « Tu serais moins belle demain » (l5) = cond pst, ironie, attaque d’Antigone, personnage insolent et piquant - « Ne te moque pas » (l6) = négation, ordre, apparaît comme la plus sérieuse - « Quand j’étais petite » (l7,8) = PS Circonstancielle à valeur de

l’inquiétude du poète suite à son emploi. Apres être entre dans la pension le narrateur constate que la salle est plutôt étrange. Le texte est caractérisé par un vocabulaire de peur et de violence L5 « violemment », L1 « sang », L6 « fuyant » « La bête », L7 « rude » L6 « la nuit » L8 « effroi » L3 « coup » L8 « affronter » L21 « arme » L24 « mourant » rappelant la mort et la peur, imposant une lourde atmosphère dans la pièce. Le renard empaille mentionne à la L5 ne fait qu’accentuer cette peur puisque

Anadyomène » est un sonnet écrit par Arthur Rimbaud en 1870 et publié dans le recueil « Cahier de Douai ». Rimbaud s’est servit de la naissance de Vénus (Déesse de la beauté et de l’amour) comme modèle pour écrire ce poème, ce qui montre une très forte opposition à sa description dégradante et dévalorisante qu’il fait du corps de la femme. C’est à travers cette description et de la composition du poème que nous montrerons en quoi il peut être considéré comme parodique. I. Une description péjorative