Oraison Du Soir

au plus vite.Notre défunt était en carrosse porté,Bien et dûment empaqueté,Et vêtu d'une robe, hélas ! qu'on nomme bière,Robe d'hiver, robe d'été,Que les morts ne dépouillent guère.Le Pasteur était à côté,Et récitait à l'ordinaireMaintes dévotes oraisons,Et des psaumes et des leçons,Et des versets et des répons :Monsieur le Mort, laissez-nous faire,On vous en donnera de toutes les façons ;Il ne s'agit que du salaire.Messire Jean Chouart couvait des yeux son mort,Comme si l'on eût dû lui ravir ce

.....................................52 Tête de faune.....................................................................................54 Les douaniers.....................................................................................55 Oraison du soir ...................................................................................56 Chant de guerre Parisien....................................................................57 i Table des matières Poèmes Mes petites amoureuses.....

COLLE HISTOIRE 2SUJET : la mort d’Henri IV et ses conséquences sur le royaume de France Introduction : En 1858, le peintre Charles Gustave Housez peint un des premiers tableaux représentant le célèbre assassinat d’Henri IV du 14 mai 1610. Il choisit de rompre avec ses prédécesseurs, car il peint le régicide dans toute sa violence et exprime le caractère tragique de l’évènement. Ce tableau avait été commandé par Napoléon III à une période trouble pour l’empereur. Il vient juste

et tant, entre le révérend dom Balaguère, ancien prieur des Barnabites, présentement chapelain gagé des sires de Trinquelage, et son petit clerc Garrigou, ou du moins ce qu'il croyait être le petit clerc Garrigou, car vous saurez que le diable, ce soir-là, avait pris la face ronde et les traits indécis du jeune sacristain pour mieux induire le révérend père en tentation et lui faire commettre un épouvantable péché de gourmandise. Donc, pendant que le soi-disant Garrigou (hum ! hum !) faisait à tour

par un chat. Fatigué , le petit enfant ne va pas au m'sid et nous décrit les matinées à la maison tout en évoquant l'origine de ses parents, et le souvenir de Driss le teigneux, l'apprenti de son père. Le narrateur raconte sa journée au Msid . le soir, remarquant que Fatima Bziouiya s'éclaire avec une lampe à pétrole, Lalla Zoubida insiste pour que son mari lui en achete une, ce qui est fait le lendemain. Ensuite, Il évoque le souvenir de la disparition de zineb, et comment sa mère réussit à la

avait un pénitent habituel très méritant, un jeune père de famille qui se réveillait un quart d’heure plus tôt tous les matins pour pouvoir faire oraison. Et quelques semaines ou mois plus tôt, le pénitent l’avait appelé au téléphone en lui demandant conseil parce qu’il était un peu déboussolé. Il lui expliqua ainsi sa situation : « Lorsque je me mets en oraison, au bout d’un moment plus ou moins court, le bon Dieu se manifeste d’une façon étrange. C’est comme s’Il me téléphonait, je décroche, je sais

métier il était un aigle. Il savait par cœur plus de cent oraisons qu’il disait d’un ton bas, posé et très sonore, en sorte qu’il faisait résonner l’église où il les récitait ; puis il affectait un maintien et un visage très humbles et dévots, sans faire, comme d’autres font, des mouvements et contorsions avec la bouche et les yeux. En outre, il avait mille autres façons et manières pour soutirer de l’argent. Il disait connaître des oraisons pour toutes sortes de cas, pour les femmes stériles, pour

TROISIEME PARTIE Moyens d’avancer dans la piété Chapitre XXII. La prière 1. Importance de la prière 2. Qualités de la prière 3. Préparation à la prière • Distractions Chapitre XXIII. La prière vocale Chapitre XXIV. Prière mentale et oraison • Nature et importance de l’oraison • Les parties de l’oraison • Sujets, lieu, durée • Les degrés d’oraison • Chemin de la croix Chapitre XXV. La confession • Les fruits de la confession • Comment il faut se préparer à la confession

ARGAN.- Il m’ordonne du potage. 45TOINETTE.- Ignorant. ARGAN.- De la volaille. TOINETTE.- Ignorant. ARGAN.- Du veau. TOINETTE.- Ignorant. 50ARGAN.- Des bouillons. TOINETTE.- Ignorant. ARGAN.- Des œufs frais. TOINETTE.- Ignorant. ARGAN.- Et le soir de petits pruneaux pour lâcher le ventre. 55TOINETTE.- Ignorant. ARGAN.- Et surtout de boire mon vin fort trempé. TOINETTE.- Ignorantus, ignoranta, ignorantum. Il faut boire votre vin pur ; et pour épaissir votre sang qui est trop subtil, il faut

retour, leur regard filtre ce venin noirQui charge l’oeil souffrant de la chienne battue,Et vous suez, pris dans un atroce entonnoir. Rassis, les poings noyés dans des manchettes sales,Ils songent à ceux-là qui les ont fait leverEt, de l’aurore au soir, des grappes d’amygdalesSous leurs mentons chétifs s’agitent à crever. Quand l’austère sommeil a baissé leurs visières,Ils rêvent sur leur bras de sièges fécondés,De vrais petits amours de chaises en lisièrePar lesquelles de fiers bureaux seront bordés