Oreste Et Electre

et par son amant Égyste, pour venger le sacrifice de sa fille Iphigénie, perpétré pour faciliter le départ de la flotte du roi son père. La deuxième pièce, les Choéphores, nous montre Oreste, exilé tout jeune après l'assassinat du roi son père, qui, une fois adulte, revient et, avec la complicité de sa sœur Électre et l'appui de son ami Pylade, venge son père en tuant Égisthe et Clytemnestre, sa propre mère, puis s'enfuit, aussitôt poursuivi par les Érinyes, divinités de la vengeance. La troisième

message politique. (cf préface avec interprétation politique) ouverture : dénoncer ou art pour art ? Giraudoux, scène d’expo 1. Un décors surréaliste ( fete+symbolisme du palais) 2. Une présence tragique (souvenirs+electre+destin) A la fin de l’année 1936, Giraudoux écrit sa pièce Electre, représentée pour la première fois àparis au printemps 1937. A cette époque, de nombreux écrivains, comme Cocteau ou Anouilh, s’inspirent des grands mythes antiques et perpétuent ainsi la tradition. Giraudoux, lui

membre de la famille, reproche aussi de ses « lettres elliptiques » alors que le métier de Louis est d’écrire, il n’a pas partagé ce don avec les siens, elle se sent méprisée (admiration et frustration) inverse de la scène de retrouvailles entre Oreste et Electre1 / 2-entre les deux frères : 1ère partie : répliques colériques et méchantes d’Antoine qui assimile son frère à un épagneul, ironie mordante (Antoine ironique « Il est passionné, c’est un homme passionné par cette description de notre

de Sophocle, 7 tragédies aussi (Ajax, Antigone, Les Trachidiennes, OEdipe-roi, Électre, Philoctète, OEdipe à Colone), plus des fragments d'une huitième (Les Limiers) ; d'Euripide, 19 tragédies plus des fragments de quelques autres (Alceste, Médée, Les Enfants d'Héraclès, Hippolyte, Andromaque, Hécube, Les Suppliantes, Électre, Les Troyennes, La Folie d'Héraclès, Iphigénie, en Tauride, Ion, Hélène, Les Phéniciennes, Oreste, Les Bacchantes, Iphigénie à Aulis, Rhésos, Le Cyclope). * Dans la collection

l'expression "mort du héros" : toutes les morts théâtrales ne sont pas des morts de "héros", on châtie des lâches et des coupables. Au théâtre, la mort n'est pas l'apanage du héros. Un exemple emprunté à la tragédie grecque : dans Electre de Sophocle (495-406 avant J.C.), Oreste tue sa mère Clytemnestre et son amant Egisthe. Le héros, c'est le meurtrier. 2 Le héros est-il celui qui sait mourir ou n'est-ce pas plutôt la mort qui fait de lui un héros ?  Prenons encore un exemple dans Sophocle et la tragédie

l'expression "mort du héros" : toutes les morts théâtrales ne sont pas des morts de "héros", on châtie des lâches et des coupables. Au théâtre, la mort n'est pas l'apanage du héros. Un exemple emprunté à la tragédie grecque : dans Electre de Sophocle (495-406 avant J.C.), Oreste tue sa mère Clytemnestre et son amant Egisthe. Le héros, c'est le meurtrier. 2 Le héros est-il celui qui sait mourir ou n'est-ce pas plutôt la mort qui fait de lui un héros ?  Prenons encore un exemple dans Sophocle et la tragédie

Celle-ci sera sauvée par Artémis. Cassandre deviens l'amante d'Agamemnon. Clytemnestre, sa femme, prend Egisthe pour amant et ensemble ils tuent Agamemnon, Cassandre et leurs enfants. Oreste, le fils d’Agamemnon et Électre sa sœur tuent Clytemnestre et Egisthe. Les dieux horrifiés par ces meurtres punissent Oreste mais il se purifia de ses crimes grâce a Athéna. La malédiction les Macquart est marqué par le signe de l’addiction condamnant les personnages, pour la plupart, a mourir. Dans la famille

contre ce dernier). c) Scènes « classiques » : Certaines scènes sont des passages obligés d'une tragédie, et sont attendues du public : l'agôn (scène d'affrontement rhétorique entre deux personnages), la scène de reconnaissance (entre Oreste et Electre par exemple), la supplication, le récit du messager. V- Les principaux auteurs : a) Eschyle : (526-456) Premier des tragiques grecs classiques, son théâtre est centré sur la religion et la morale, avec un message fort : les Dieux punissent

qui, lent à s'exprimer, De ce qu'il veut, d'abord, ne sait pas m'informer, Et qui, débrouillant mal une pénible intrigue, D'un divertissement me fait une fatigue. J'aimerais mieux encor qu'il déclinât son nom, Et dît : « Je suis Oreste[1], ou bien Agamemnon », Que d'aller, par un tas de confuses merveilles, Sans rien dire à l'esprit, étourdir les oreilles. Le sujet n'est jamais assez tôt expliqué. Que le lieu de la Scène y soit fixe et marqué. Un rimeur,

novembre 04 Analyse multicritère 34 MÉTHODES AVEC AGRÉGATION PARTIELLE novembre 04 Analyse multicritère 35 ELECTRE • Famille de méthodes dites de surclassement conçues par Bernard Roy et basées sur la comparaison d’actions Première méthode de la famille, Electre I, publiée en 1968 • novembre 04 Analyse multicritère 36 ELECTRE I • Cette méthode repose sur le principe de Condorat (1785): – Une action en surclasse une autre si elle est au moins aussi bonne