Oreste Et Electre

|Pascal |Steinbeck | | |Souci de l’orthos[1] chez |Fgts 105/529, 110/73, 111/55, 112/54, 113/17. |Casy, lors de la première | | |Electre : « Que dire pour dire |Faiblesse et précarité du jugement humain : fgts 366/48, 367/22,|« traque »  : « Il serait temps de | | |juste ?» Ch. 418, toute la p. 13,|373/532, 374/33, 375/520 376/34 ; force de l’imagination fgts |réfléchir à ce

meilleur plutôt que pire. A preuve ce qui se passe en réalité : au début, les poètes enregistraient n’importe quelles histoires, mais aujourd’hui on compose les plus belles tragédies sur un petit nombre de maisons, par exemple celles d’Alcméon, Œdipe, Oreste, Méléagre, Thyeste, Télèphe et tous les autres héros qui ont subi ou causé de terribles événements. Ainsi la tragédie la plus belle du point de vue de l’art ressortit à cette structure-là. Aussi commet-on la même faute en reprochant à Euripide

années de guerre, un Agamemnon victorieux reprit le chemin du retour qui s'averra très long. Entre temps, la vie à la cité avait en partie évoluée, Clytemnestre avait chassé leur seconde fille du palais; mais dans son banissement, Electre réuissit à éloigner son frère Oreste ainsi que son fidèle Pylade. Agamemnon quand à lui, fut assasinée par Egisthe et Clytemnestre qui le poignardèrent pendant son bain. Plus tard, la légende raconte qu'Oreste se serait mis en route pour Mycènes et aurait rencontré

un autre. La parrhèsie dans les tragédies d’Euripide Pour ce qui concerne Euripide, Foucault prend en considération six tragédies dans lesquelles la parrhèsia a des fonctions différentes : Les phéniciennes, Hyppolite, Les bacchantes, Electre, Ion, Oreste. Ce sont les deux dernières où la parrhèsia a une fonction centrale, surtout dans le Ion où elle touche la délicate question des discours vrais entre les dieux et les hommes. Dans Les phéniciennes, la parrhèsia apparaît comme la liberté la

 et l'on sait à quel point Shakespeare était féru de tragédie grecque, on y voit une ascendance très nette en la personne d'Oreste. Lui aussi est fils d'un roi qui s'est fait trucider et dont la mère s'est remariée au nouveau souverain usurpateur. (Oreste, fils d'Agamemnon et de Clytemnestre, frère d'Électre ne supporte pas l'assassinat de son père et décide de devenir le meurtrier de sa mère qui a fomenté le régicide.) Le thème de la trahison, du doublage par un frère (le vieil Hamlet est assassiné par son frère

retour du tragique et une reprise de sujets antiques, comme Anouilh avec Antigone de Sophocle, Gide et Cocteau ont repris le mythe de l'oedipe de Sophocle, Giraudoux avec la Guerre de Troie n'aura pas lieu, Electre en 1937 de Sophocle et Euripide, et Sartre dans les Mouches en 1934, avec Oreste, personnage d'Euripide. Grands auteurs du théâtre antique : En Grèce : Eschyle, Sophocle et Euripide avec 32 tragédies et Aristophane, auteur de comédies. En Rome antique : Plaute et Terence pour

d'Agamemnon, Oreste et Electre tuent leur mère (Clytemnestre) pour venger leur père. Oreste devient fou et est poursuivit par des furies, les Euménides dans la troisième pièce, elle explique la façon dont il a pu être libéré de son crime, c'est là qu'apparait la notion de politique. Dans les deux premières on est dans un système de vendetta, de vengeance, un acte d'hubris entraine un acte d'hubris. Mais Eschyle invente dans la troisième pièce un moyen constitutionnel qui fait comparaitre Oreste devant

XXe siècle (1882-1944), revisite la mythologie grecque de manière originale comme ici dans sa comédie Amphitryon 38 (1929) ou encore dans la perspective plus tragique de l’atmosphère de l’avant-guerre La guerre de Troie n’aura pas lieu (1935) ou Électre (1937). Ce texte B met ici en scène la même situation que le texte A ; Giraudoux renouvelle cependant, avec humour, les éléments traditionnels du mythe en représentant un Jupiter bien « humain » et en renforçant la figure d’Alcmène. Éditions GRASSET

Dindon de Feydeau...) ; extraits de tragédie (pistes multiples dans la tragédie antique et dans la tragédie classique : l'aveu de Phèdre, Phèdre, II,5 ; les deux dernières tirades d'Oreste dans Andromaque, V,5 de Racine, tirade d’Electre à Oreste dans Electre I,8 de Giraudoux ), poèmes lyriques (cf. Chansons de Charles d'Orléans, les Sonnets de Louise Labé, Les Regrets de Du Bellay, « La mort du loup » Alfred de Vigny, « L'amour qui n'est pas un mot » in Le Roman inachevé de Louis Aragon, « Femme

.........................................................  39   JEAN  GIRAUDOUX,  AMPHITRYON  38  (1929)  .............................................................................................  41   JEAN  GIRAUDOUX,  ELECTRE  (1937)  ............................................................................................................  43   JEAN  COCTEAU,  LA  MACHINE  INFERNALE,  (1934)  .....................................................