Oreste Poursuivi Par

troisième volet du cycle des Euménides, illustre parfaitement la thèse de René Girard. Au début de la pièce Oreste, qui a tué sa mère Clytemnestre et l’amant de celle-ci pour venger le meurtre de son père Agamemnon, est poursuivi par les Erinyes. Les Erinyes représentent la logique d’une vengeance enfermée dans le cycle infernal des représailles, où le sang appelle le sang. Oreste, ne pouvant trouver le repos, supplie Athéna de lui venir en aide. Cette dernière va alors fonder le premier tribunal

L’Orestie, troisième volet du cycle des Euménides, illustre parfaitement la thèse de René Girard. Au début de la pièce Oreste, qui a tué sa mère Clytemnestre et l’amant de celle-ci pour venger le meurtre de son père Agamemnon, est poursuivi par les Erinyes. Les Erinyes représentent la logique d’une vengeance enfermée dans le cycle infernal des représailles, où le sang appelle le sang. Oreste, ne pouvant trouver le repos, supplie Athéna de lui venir en aide. Cette dernière va alors fonder le premier tribunal

l'action tragique. Dans de nombreuses tragédies, Racine campe des héros condamnés d'avance parce qu'ils sont haïs des Dieux. Ainsi, dans Andromaque, Oreste sait dès la scène un de l'acte un qu'il est vaincu, impuissant malgré toutes ses tentatives pour oublier Hermione: «"Puisqu'après tant d'efforts ma résistance est vaine». Quant à Phèdre, celle-ci est poursuivie par la vengeance de Vénus. Dès les premiers instants de sa passion, elle comprend qu'elle lui est dictée par la déesse de l'amour : "C'est Vénus

sa femme Clytemnestre à pris un amant Egisthe ( vont essayer de tué le mari) , cassandre l’avertie de ne pas rentrer dans le tuer, l’ubris le pousse à y aller quand même et il est egorgé dans sa baignoire) , oreste et electre assassine les deux ( vengence,) il devient fou car il est poursuivis par les erynies qui sont les déesses de la vengence. La volonté humaine s’oppose à une volonté des dieux et ce combat et perdu d’avance. Les dieux sont extrêmement présent dans les textes d’Eschyle, il montre

(matricide, patricide, fratricide etc), l’inceste et le viol . Parmi les personnages principaux il y a Agamemnon, fils d’Atrée, roi de Mycènes et héros de la guerre de Troie. Il est marié à Clytemnestre avec qui il a 4 enfants dont Oreste qui a donné le nom à cette trilogie. D’autre part il y a Egisthe, cousin d’Agamemnon. AGAMEMNON : Après la chute de Troyes, Cassandre et Agamemnon rentre et sont assassinés par Egisthe et Clytemnestre devenus entre temps amants

pièce, L'orphelin de Chine, tirée d'une histoire ancienne chinoise, le conflit entre l'amour parental et un devoir patriotique prend tournure inhabituelle. Si une histoire d'amour ne sont pas présents, il a presque toujours emprunté ou inventé une, Oreste est le seul drame dans lequel il est absent. Dans le meilleur de son œuvre l'action est menée avec l'esprit et la vigueur, et si la parcelle d'origine n'ont pas été assez frappante, il a créé quelque chose à faire en sorte. Voltaire a été grandement

_____________________ “Andromaque” (1667) Tragédie en cinq actes et en vers Acte I Scène 1 : Séparés par une tempête, Oreste et Pylade se retrouvent en Épire, à la cour de Pyrrhus, fils d'Achille : au nom des Grecs, Oreste vient lui réclamer Astyanax, fils d'Hector et d'Andromaque, elle-même captive du roi d'Épire. Épris d'Andromaque, celui-ci délaisse sa fiancée, Hermione. Oreste, qui aime la princesse, espère en secret que Pyrrhus va refuser de livrer Astyanax et de laisser partir Hermione. Scène

temple, où il la violenta. Pélopia réussit cependant à s'emparer de l'épée de son agresseur, qu'elle déposa dans le sanctuaire d'Athéna. S'apercevant que son arme avait disparu, et craignant d'être reconnu, Thyeste pris la fuite. Atrée, quant à lui, poursuivi par le remords d'avoir tué les enfants de son frère, alla également consulter l'oracle de Delphes, qui lui ordonna de faire revenir son frère d'exil. Mais lorsqu'il arriva à Sicyone, Thyeste avait quitté la ville. Il demeura donc quelques temps à

a quelque gloire à n’être pas compris, ou à ne l’être que très peu, je peux dire sans vanterie que, par ce petit livre, je l’ai acquise et méritée d’un seul coup. Offert plusieurs fois de suite à divers éditeurs qui le repoussaient avec horreur, poursuivi et mutilé, en 1857, par suite d’un malentendu fort bizarre, lentement rajeuni, accru et fortifié pendant quelques années de silence, disparu de nouveau, grâce à mon insouciance, ce produit discordant de la Muse des derniers jours, encore avivé par

(l4) ou encore" je passe le fleuve à la nage" (l13) - comme de nombreux autres tel que celui de Titus dans Bérénice, tragédie de Racine. Aussi, on retrouve plusieurs champs lexicaux typiques d'une tragédie dont ceux de la course avec : " fuite", " poursuivie" (l11) , "course" (l2 et l17); de la torture avec : "lapidée", "enragés" (l5), "fureur" ( l12 et l16) et "acharnée" ( l16); et l'opposition entre celui de la mort -"mourir" ( l11), " périt", "étouffée" (l15) ou bien encore " morte" (l20)- et celui