Origine Calligramme

en associant dessin et poésie, et en prouvant de cette façon que la poésie est un genre qui allie peinture et écriture. L’art poétique se mêle ainsi à l’art du dessin ; c’est d’ailleurs ce que Guillaume Apollinaire illustre clairement avec ses Calligrammes mais aussi lorsqu’il affirme être un peintre en même temps qu’il est poète: « moi aussi je suis peintre » a-t-il dit à Picasso. Rappelant d’ailleurs qu’Horace disait que la poésie est comme la peinture (Ut pictura poesis). En dépassant ses frontières

signe, à rendre nécessaire le rapport entre mot et sens. La poésie tend donc à accorder le sens des mots aux valeurs expressives de leurs sonorités et à imposer la forme visible du mot sur la page. La poésie est un monde mis en images. Antiquité : Origine de la poésie dans une tradition orale de peuples qui ne connaissent pas l'écriture, elle est liée au chant et à la danse. Mais c'est l'Antiquité Grecque qui lui donne ses lettres de noblesse avec Homère (l'Iliade et l'Odyssée) La poésie latine s'inspire

Séquence 5 – L’Esprit nouveau du lyrisme (OI : Alcools) - FICHE AUTEUR - APOLLINAIRE (1880 – 1918) Identité I. Quel est le vrai nom de Guillaume Apollinaire ? Quelles sont ses origines ? Né le 25 août 1880 à Rome, Guillaume Albert Vladimir Alexandre Apollinaire de Kostrowitzky, non reconnu par son père (probablement un noble officier italien du nom de Flugi d’Aspermont), prend le patronyme de sa mère, Angelika, fille d’une grande famille de la noblesse

Née dans les salons, veut doter les mœurs et la langue du plus grand raffinement possible. Les questions sentimentales sont centrales, souvent ridicules (précieuses ridicules de Molière) * Le XIX * Le Romantisme Le « Sturm und Dang » origine allemande (= orage et tourmente) Précurseur : rousseau début de l’expansion du moi : Madame de Staël : De L’Allemagne Châteaubriand : René, Atala mais poète aussi Désenchantement après la révolution : « le mal du siècle », « le vague à l’âme »

d'humour (l'Enchanteur pourrissant, 1909 ; l'Hérésiarque et Cie, 1910 ; le Poète assassiné, 1916), ses recueils poétiques, d'inspiration autobiographique où le mystère est une constante (le Bestiaire ou Cortège d'Orphée, 1911) ; Alcools (1913) ; Calligrammes (1918), constituent une quête constante de la beauté et une tentative d'association immédiate entre l'image et son expression verbale. Porte-parole de la modernité et de la «surprise» (l'Esprit nouveau et les poètes, 1917), il annonça le surréalisme

de V. Voiture Le pantoum : genre d’origine malaise, écrit en quatrains ; le deuxième et le quatrième vers de chaque strophe se répètent au premier et au troisième vers de la strophe suivante. Ex : « Harmonie du soir » de Baudelaire. Le calligramme : poème dont les mots, par leur répartition sur la page, forment un dessin ; sa lecture peut suivre plusieurs itinéraires. Ex : « La tour Eiffel » de G. Apollinaire. 4) Rythme poétique. Le rythme est le retour à intervalle régulier des

finement » de V. Voiture Le pantoum : genre d’origine malaise, écrit en quatrains ; le deuxième et le quatrième vers de chaque strophe se répètent au premier et au troisième vers de la strophe suivante. Ex : « Harmonie du soir » de Baudelaire. Le calligramme : poème dont les mots, par leur répartition sur la page, forment un dessin ; sa lecture peut suivre plusieurs itinéraires. Ex : « La tour Eiffel » de G. Apollinaire. 4) Rythme poétique. Le rythme est le retour à intervalle régulier des accents.

elle est blanche symbole de pureté, d'innocence. Il voyage seul, ce que confirme l'emploi d'encore accolé au mot murmure. Sa jeune fiancée est absente mais il en garde le souvenir visuel et auditif. Son Nom avec une majuscule nous indique sa noble origine. Déjà dans le poème I, il comparait Mathilde Mauté de Fleurville à «la blanche apparition qui chante et qui scintille», «l'âme que son âme depuis toujours pleure et réclame», lui donnant l'image d'une fiancée rédemptrice. La blancheur est par métaphore

et le Parnasse Le symbolisme Le symbolisme est un mouvement litteraire et artistique apparu en France et en Belgique vers 1895, en reaction au naturalisme et au mouvement parnassien. En litterature, le mouvement du symbolisme trouve ses origines dans “Les fleurs du mal”(1857) de Charles Baudelaire. L’esthetique symboliste fut developee par Stephane Mallarme et Paul Verlaine durant les annees 1860 et 1870. Dans les annees 1880, l’esthetique symboliste, s’etayant a travers une serie de manifestes

statut du poète, c’est un créateur comme l’indique l’étymologie du mot, il est assimilé à un dieu démiurge, il recréé le monde, il a l’image d’un être mal compris, marginalisé, maudit ainsi que l’ont traduit Verlaine, Rimbaud et Baudelaire. Son origine est essentiellement religieuse ainsi qu’en témoigne les célébrations des dieux par les hymnes antiques, par ses liens avec la tragédie qui était en vers ou l’épopée. Les thèmes traités en la matière sont donc humains pour la plupart, il s’agit de