Ornement

Le secrétaire de Louis XV à Versailles ● Bureau du rois Le secrétaire à cylindre de Louis XV, plus connu sous le nom de bureau du Roi, est un bureau cylindre richement ornementé fabriqué pour Louis XV dans les années 1760. Ce bureau est une des plus célèbres réalisations de l'histoire du mobilier français. Il se trouve dans le cabinet intérieur, une des pièces du Petit appartement du Roi au château de Versailles. Le meuble a été vendu à l'époque 62 985 livres. La confidentialité que permettait

de fabrique la plus évidente de l’Art Déco en est sa géométrie, largement héritée du cubisme. Les formes simples et puissantes se prêtent aux couleurs primaires et aux contrastes accentués. Les architectes dépouillèrent leurs constructions de tout ornement, il n’en reste qu’un squelette géométrique. Plans verticaux, plans horizontaux et courbes clairement définies deviennent structure et décoration qui ne faisaient plus q’un. L’évolution du goût s’était manifestée dès 1910, mais les bouleversements

à faire oublier. Jusqu’à la fin du 20ème siècle, l’homme privé des ses apparats s’est concentré sur la matière, la coupe, le tombé du vêtement. Il a intériorisé la mode et ses codes. A l’heure actuelle, l’homme vit une époque de changements. Les ornements et les parures sont de plus en plus présents, comme l’atteste la multiplication de la presse masculine (ex : Edelweiss Men, etc.). L’aspect utilitaire, pratique et sérieux tend à s’estomper au fil du temps au profit d’une mode masculine plus riche

exemplaire.Voltaire vient chercher une « instruction ». - Superlatifs : l.8 apparence engageante et noble (implicite : noblesse morale + importante que noblesse de naissance) - Avait su mettre des bornes… : sagesse - Maison : petite et ss ornement mais propre( modestie ; reflète la sagesse - Physique : frais, jamais malade ( à l’abri des passions - Habits : simplicité Rencontre avec l’auteur : pas de formules de politesse, pas de révérence, mais apparence de politesse « naturelle »

fait du vers 48 une chute renforcée par la rime antithétique) + « tu vas lorgnant en dessous » (idée de vices) + « maigre nudité » - Mais un changement : l’absence d’ornement ne la rend pas moins belle → elle a ses propres ornements à savoir sa nudité (« sans autre ornement […] que ta maigre nudité ») → il termine sur l’apostrophe « ô ma beauté » => le poète s’est appropriée la mendiante rousse (déterminant possessif « ma ») et par ses mots l’a transformée Evocation de l’impuissance du poète

point connu. Cela me fit résoudre à quitter l'habit persan, et à en endosser un à l'européenne, pour voir s'il resterait encore dans ma physionomie quelque chose d'admirable. Cet essai me fit connaître ce que je valais réellement. Libre de tous les ornements étrangers, je me vis apprécié au plus juste. J'eus sujet de me plaindre de mon tailleur, qui m'avait fait perdre en un instant l'attention et l'estime publique; car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans

C’est un plan à caractère basilical unique, doté sur les deux cotés latéraux d’une série de chapelles-contreforts. Le transept peu saillant en plan, reste marqué en volumétrie par une importante coupole • Cours magistrale C’est un ornement sculpté de frise dorique et représente la fin de la solive. Les trois caractères sont rectangulaires, légèrement saillants et allongés dans le sens vertical, avec deux rainures longitudinales et deux demi- rainures creusées de part et d'autre

émotions des personnages) et externe (débat sur la véracité des songes). Dans sa Dramaturgie classique en France au XVIIe siècle, Jacques Scherer ne consacre pas de section particulière au songe tragique. Il repère simplement les « oracles » comme ornements poétiques, au même titre que les « lettres » insérées, et traite des « ombres » et des « apparitions » dans une subdivision consacrée au « merveilleux » et à la « passion du spectacle ». Dans un article sur les « songes tristaniens », Jacques Morel

la foi catholique plus attrayante que la pratique austère des disciples de Luther, le Saint-Siège utilisa sa richesse à la construction d'églises de monuments et de fontaines dans un style caractérisé par la liberté des formes et la profusion des ornements. Les architectes qui illustrèrent ce nouveau style avec le plus d'éclat furent Le Bernin et Francesco Borromini. Pour les peintres (Annibale Carrache, Le Caravage…), l'image a pour fonction d'enseigner la foi aux chrétiens, de se substituer à l'écriture

qu’elle n’ait pas de véritable sens alors finalement tout ce qui serait “ornamental” pourrait être une oeuvre d’art. L’art perdrait en quelque sorte sa crédibilité et n’aurait aucun but que d’embellir le monde. Il prend l’exemple des “tapis” et des “ornements.” Ces objets décoratifs ont été peut-être que produit afin de décorer une salle et n’ont pas spécialement d’autre fonction selon l’artisan mais cela n’empêche pas qu’elles peuvent être reinterpréter. Il y a un paradoxe ici car Adorno dit qu’un objet