Orphée aux Enfers

incarne le Dieu des Morts et des Enfers - Corne d'abondance, le trône, le sceptre à deux fourches, mais également Cerbère qui est un monstre à trois têtes ressemblant à un chien - Hadès n'est pas très présent dans la mythologie. Il est assez souvent lié à des histoires impliquant des Héros Perséphone - Fille de Zeus et de Déméter ou selon d'autres sources la fille de Zeus et de la nymphe Styx - Elle épousa Hadès contre son gré et devint la reine des Enfers - D'une grande beauté, Perséphone

s'assimile à Orphée. Domaine de la mythologie. Image suggérée dans ce très beau dernier vers. Evocation des deux femmes : 2 types de femmes, inaccessibles, la sainte, la fée, et modulant les soupirs et les cris. Sainte = Adrienne fée = Sylvie, medusine, l'actrice aurélie gennicolon. Femmes inaccessibles. Une plus terrestre et l'autre plus céleste. Harmonie des deux vers 13 et 14 : assonances en « o » vers 13 et « i » vers 14 ; liaison avec le pouvoir magique des champs d' Orphée. Représente l'art

déplacements, il prend conscience que c'était presque une maison ce livre. Fable des confins, maison de pain d'épices, maison en papier, le conte s'invite dans le réel. Brodeck est aussi une voix qui tisse des légendes du fond des temps : il est Orphée revenu des Enfers, guidée par Emélia, sa muette Eurydice. Comme dans les récits initiatiques, Claudel met les femmes au centre dans la mesure où ce sont elles qui étoilent les hommes, qui les guident. L'auteur le revendique, [s]a littérature est tragique,

tempête ou ds le son d’un pinceau sur la toile (chp XI et XII). Il semble tel Orphée, communiquer avec la nature et le monde, comme il communique avec les ombres. →un nouvel Orphée : SC // Orphée : ajoute une 7ème corde à la viole// invente la lyre ; SC voit réapparaître sa femme qd il joue, sa musique la guide vers lui// Orphée obtient la sortie des Enfers d’Eurydice et son retour à la vie grâce à sa musique. Tel Orphée, SC il doit se résoudre à vivre seul (sa femme n’est qu’une ombre qu’il ne peut

transforment en arbres. Orphée et Eurydice Eurydice et Orphée se mari le dieux des mariage arrive les mari mais la flamme s’eteint c’était une mauvaise chose qui allait se passait . Un jour dans les champs une vipère mort Eurydice et elle meurt, Orphée va voir au enfer fait une prière pour qu’elle revienne le dieux des enfers lui dit ok mais avant qu’ils arrive à l’Averne Eurydice ne doit pas regarder Orphée. Mais elle le fait alors elle retourne en enfer. Orphée n’accepte plus aucune femme

mourir signifie jusqu’à m’éveiller. *Le mythe d’Orphée et d’Eurydice l.2à « J’ai cru que je la ramènerais au jour », le poète ressemble à Orphée, poète qui joue de la lyre. Orphée descend aux enfers dans l’espoir de ramener au jour sa bien aimée Eurydice. Le poète explore le monde nocturne du rêve et espère ramener au jour la jeune fille dont il a rêvé ; Orphée se retourne et perd Eurydice pour toujours, le poète se réveille et perd la jeune fille du rêve. Eluard s’écarte du mythe d’Orphée, nullement

l’instrument de musique. Le poète Orphée, dans la mythologie grecque, jouait de la lyre et parvenait à émouvoir la nature. Sa femme, Eurydice, après s’être fait mordre par un serpent, est morte, mais Orphée est parvenu à la retrouver dans les Enfers. Il a su émouvoir le gardien des Enfers, le cerbère, chien à trois têtes, mais hélas, comme le lui avait interdit le dieu des Enfers, Hadès, il s’est retourné avant que sa femme ne soit totalement sortie des Enfers, et l’a donc perdue à jamais. La musique

pourtant un thème commun, celui de l'amour. Cependant, celui-ci est représenté de différentes formes. Les « Géorgiques IV » [485-503] de Virgile, est un poème antique, racontant la descente aux Enfers d'Orphée, afin de chercher son aimée Eurydice, morte. En effet, après la mort de celle-ci, le poète Orphée avait obtenu la permission d'aller la chercher dans le royaume des morts, à la seule condition qu'il ne se retourne pas et ne regarde jamais en arrière. Les « Géorgiques IV, est un poème de la

Nerval, on n'est pas seulement celui qui a perdu mais celui qui a perdu. On pourrait aussi se demander si les "ou" sont accumulatifs ou exclusifs. Les différentes identités qui sont ici convoquées, oscillent entre le mythologique ("amour, Phébus", "Orphée"), l'historique (vers 9 "Lusignan") et des figures qui trouvent leur origine dans le biographique (vers 6). Le mot "veuf" que les tirets encadrent, lui confère une place centrale (racine latine "vidus" = vide). Ce jeu de références mythologiques

père d'Orphée est le dieu du soleil et de la masculinité. Il dirige l'orchestre des neuf muses et joue de la lyre à sept cordes. On dit parfois que le père d'Orphée est le roi de tharse Oegre. Apollon enseigne l'usage de la lyre à sept cordes à Orphée . Celui-ci le surpasse vite et ajoute deux cordes supplémentaire à sa lyre, atteignant ainsi le chiffre de neuf correspondant au nombre des muses. Son chant qu'il accompagne à la lyre est d'une perfection telle qu'il enchante au sens fort du terme