Ouahigouya

peut reconnaître les efforts réalisés par cette Institution à travers sa participation au développement dans les domaines suivants : II .1 . La santé Construction des CSPS de Sarfalao (Bobo-Dioulasso) et de Ouahigouya. Les dispensaires de Samandin et Saaba (Ouagadougou) La maternité de Loango, le CSPS de Gombousgou. La chambre froide de la morgue de l’hôpital yalgadodeOuagadougou. II .2 . L’éducation L’Institution contribue à l’éducation

taille et de leur situation socio-économique, se partagent inégalement les 359 entreprises restantes. Tableau 2 : Répartition des entreprises ayant un chiffre d’affaire supérieur ou égal à 1 000 000 FCFA dans 12 villes du Burkina Faso Ouagadougou Ouahigouya Koudougou Tenkodogo Dédougou BoboDioulasso Villes TOTAL Banfora Gaoua Kaya Fada Dori Pô 1597 Nombre d’entreprises 637 62 52 20 43 20 61 126 65 13 23 2719 Des données plus récentes sont fournies dans une brochure présentant

administrative du pays. Bobo- Dioulasso, située à 360 km de la capitale, est la seconde ville et aussi la capitale économique du pays. Les autres villes importantes sont: Banfora, Dédougou, Dori, Fada N'Gourma, Gaoua, Kaya, Koudougou, Ouahigouya, Pô et Tenkodogo. ⇒ Ethnie Elle présente une extraordinaire diversité ethnique, assez exceptionnelle pour qu’on ait parlé de véritable « mosaïque ethnique », avec environ 70 ethnies dont les principales sont : les mossis 50%, les bobos 7%, les

des enseignants ont été réalisées et le recrutement des bénéficiaires va croissant. En outre, des collèges d’enseignement sont construits dans tous les chefs-lieux de département ; les universités de Ouaga 2, de Bobo, de Koudougou et bientôt de Ouahigouya sont une réalité. L’ouverture de centre permanant d’alphabétisation et de formation (CPAF), et de centre d’éducation de base non formelle (CEBNF), d’école satellite (ES), d’école bilingue(EB) permet également d’offrir d’autres opportunités à ceux

d’Orientation Professionnelle (SEOP). Sept (7) Antennes d’Evaluation, d’Information de Conseil de d’Appui à la Formation Professionnelle (AEICAF) lui sont rattachées. Il s’agit des AEICAF régionales de Dori, Kaya, Tougan, Koudougou, Fada, Tenkodogo et Ouahigouya. La mission principale du CEFP est de contribuer à l’adaptation des qualifications aux besoins de l’économie tout en cherchant une réponse appropriée à une forte demande sociale de formation. Le réseau des CEFP, malgré une situation en

production électrique locale en 2009 a été réalisée par 27 centrales thermiques et 4 centrales hydroélectriques. Le réseau national électrique comprend : trois (3) centres régionaux de consommation, à savoir ceux de Ouagadougou, Bobo-Dioulasso et Ouahigouya. Dix sept (17) centres dont l’approvisionnement électrique est assuré par de petites centrales thermiques fonctionnant au DDO1 (Distillant diesel oil). Entre 2006 et 2009, la production totale d’électricité a augmenté de 22,78%. Cette progression

trafic, le travail et l'exploitation sexuelle des enfants. Ensuite, début juillet, le gouvernement mettait en place des «comités de surveillance et de vigilance» dans les principales villes de transit des enfants : Ouagadougou, Bobo-Dioulasso, Ouahigouya, Koudougou, Dori. Pilotés par le ministère de l'action sociale, ces comités sont composé de gendarmes, de policiers et de leaders religieux et coutumiers ainsi que de responsables syndicaux de transporteurs et de chauffeurs routiers. Chaque comité

nécessaires ont été entreprises au fil du temps. La CNSS entreprend alors un processus de décentralisation et crée en 1975 le service provincial de Koudougou et en 1977, la Direction Régionale de Bobo-Dioulasso. Les Directions Régionales de Dédougou, de Ouahigouya et de Fada N’Gourma, étaient d’abord érigées en sections locales, avant d’être des Directions Régionales en 1987. SITUATION GEOGRAPHIQUE Le siège de la Caisse Nationale de Sécurité Sociale est situé au secteur 1. Elle est limitée

Affrontements avec le Mali Pendant la période révolutionnaire, le Burkina Faso fut impliqué dans la guerre de la Bande d'Agacher (ou guerre de Noël) entre les 14 et 30 décembre 1985[3]. L'épisode marquant de cette guerre fut le bombardement du marché de Ouahigouya, troisième ville du pays, par les forces aériennes maliennes et qui causa de nombreuses victimes civiles. Le résultat de cette guerre, qui causa de grave tensions à l'intérieur du régime burkinabé, fut une partition du territoire par un arrêt de

des écoles de Thiou et celles d’autres localités de la province manquent cruellement de maîtres alors que Ouahigouya, la grande capitale régionale, regorge d’une pléthore d’enseignants dits « suppléants », désœuvrés et qui attendent impatiemment « leurs fins de mois ». Pour confirmer la véracité de ses propos, il expose les exemples éloquents de deux (2) écoles de la commune de Ouahigouya qui disposent de vingt quatre(24) enseignants pour douze (12) classes, soit un ratio de deux (2) maîtres par