Oxymore

effet collatéral II. Utilisation de la religion pour couvrir des crimes, la rel cautionne la guerre Condamnation par des termes religieux ==> détournement de la religion, opposé des fondement religieux ! « exterminer son prochain » L.3 ==> OXYMORE car exterminer (tuer, anéantir) ==> on extermine toujours ce qui nous dégoute et son prochain = domaine religieux (tu aimera ton prochain) Supposition : langue inconnue à tous ceux qui ont combattu = Te Deum Le chef meurtrier fait appel à la religion

désert, les oiseaux, brouillard, marais, étangs., roseaux Champ lexical du céleste : Cieux, fumée, brouillard, brume, errante, azur. Mécanismes d'écriture Vers 1 : inversion de la sereine ironie qui se trouve en fin de vers. Il y a un léger oxymore dans « sereine ironie », en effet l’ironie ne se définit pas en premier lieu comme quelque chose de serein, car moqueur. L’azur est une métaphore de l’idéal du poète. Vers 2 : Allitération en l (accable, belle, indolemment) et en m (indolemment

rapports logiques), l’auteur fait éclater l’absurdité nocive du système autoritaire et obscurantiste : sottise / bénédiction Þ amalgame ignorance / gardienne des États bien policée Þ faux rapport heureuse / stupidité Þ oxymore&nb sp;; vertus / dangereuses Þ oxymore&nb sp;; palais / stupidité Þ amalgame nous garantir de la peste / attentat énorme Þ faux rapport logique imprimerie / pernicieux usage Þ faux rapport logique etc. Certains des faux rapports ou amalgames insérés ne

nouveau milieu "elle donnait le ton, de grandes dames l'imitaient" (ligne 17). Zola n'est pas qu'un simple observateur puisqu'il condamne esthétiquement Nana, il dit avec une oxymore qu'elle a "des audaces gâcheuse de la beauté". L'auteur condamne aussi son héroïne avec son lieu d'habitation, pour cela il utilise une oxymore. Il décrit l'hôtel en disant qu'il est d'une "splendeur criarde" (ligne 36), il lui fait une condamnation esthétique. Zola dit de son héroïne qu'elle est "rentière de la bêtise

personnages | Dégradation (au contact du sol, lorsqu'il rencontre les hommes): - qualificatifs dépréciatifs (« maladroit », « gauche », « veule », « laid »), jusqu'à la qualification monosyllabique. Synthèse des deux aspects de l'oiseau: - oxymore « infirme qui volait » infirme: dégradation, inadaptation volait: passé majestueux | | Horizontalité | Verticalité | Trivialité | Noblesse, majesté | Cruauté | Innocence | Communauté | Singulier

relations orageuses /………………………………………………………………………………………………… Oxymore (figure de style) Une oxymore, c’est une figure de style qui consiste à placer l'un à côté de l'autre deux mots de sens opposés (souvent des antonymes). On trouve des cas célèbres d'emploi de ce procédé : « Cette obscure clarté » (Corneille, Le Cid ), un silence éloquent, un mort-vivant etc.  Ce procédé crée un paradoxe, une image surprenante. Tentez de produire quelques oxymores… inspiration …prêts ? … partez ! - sur le thème

De plus, elles créent un rythme qui mime l’harmonie musicale des instruments évoqués. ( Indices d’un discours dévalorisant : ( Association de mots à valeur contradictoire : - « harmonie » est rapproché d’ « enfer » ( antithèse - oxymore « boucherie héroïque » - « canons » clôt l’énumération des instruments de musique. De plus, les ravages des canons sont présentés aussitôt après cette énumération. ( destruction aveugle et vaine puisque la guerre fait autant de

joue Claire x Idées-clefs Dominat° (impératif, phrases brèves, richesse...) ; Asservissmt (accuse la bonne, l'écrase avec ses paroles) ; contraste violence/poésie (oxymore, insultes...) Soumi° (3e pers du sing, positions...) ; Le propre est sale ; morbidité (fleurs, tenue, momificat°, miroir, allusion) x Figures de styles Oxymore : l.9 : « vous êtes hideuse, ma belle. » Litote : l.6 : « Avouez qu'il vous a séduite ! Que vous êtes grosse ! » → enceinte x x Ouvertures - La fin de la pièce (Claire

ironique repose sur l’implicite, il revient donc au lecteur de s’interroger sur les véritables intentions de l’auteur. Outre les antiphrases, on voit souvent des textes ironiques dont les figures de rhétorique dominantes sont, les antithèses et les oxymores.  Tragique : Il confronte le lecteur au destin (mort). Il est lié au genre théâtral de la tragédie, on peut toutefois le rencontrer dans le roman ou la poésie. La fatalité se traduit dans le registre tragique car elle représente ce contre quoi

Lorenzo : un personnage calme et un poète ⇒ tirade, trois répliques (disparaît très vite), langage soutenu, poétique 2. le duc, Giomo : agressifs, grossiers ⇒ jurons, impatience exclamation, argent/froid = le met sur le même plan que Giomo), + oxymores de Giomo 3. Maffio (par opposition) : représente le peuple, l’honneur (ce que Lorenzo devrait être) ⇒ monologue (longue réplique comme Lorenzo) + métaphore « forêt » Transition : AXE 3 : une présentation du cadre spatio-temporel et surtout