Oxymore

effet collatéral II. Utilisation de la religion pour couvrir des crimes, la rel cautionne la guerre Condamnation par des termes religieux ==> détournement de la religion, opposé des fondement religieux ! « exterminer son prochain » L.3 ==> OXYMORE car exterminer (tuer, anéantir) ==> on extermine toujours ce qui nous dégoute et son prochain = domaine religieux (tu aimera ton prochain) Supposition : langue inconnue à tous ceux qui ont combattu = Te Deum Le chef meurtrier fait appel à la religion

ce qu'on les laisse jaillir. Mille : grand nombre. Chrysalide : connote la naissance, cocon dans lequel il y a une larve qui deviendra papillon (éphémère). Funèbres : mort. Chrysalides funèbres : métaphore (compare les pensées aux chrysalides) et oxymore. Frémissant : petit mouvement imperceptible. Doucement : mouvement très léger. Les lourds ténèbres : le pluriel alourdit la pénombre (mort, funèbre, cercueil).   Lourd : s'oppose à la légèreté des papillons qui sortent en couleur d'un univers noir

nous l’avons déjà vu dans la construction binaire du poème les mots à la rime dans les quatrains sont dysphoriques, effectivement l’auteur s’exprime sur un ton plaintif, il est désespéré et regrette d’avoir cru en la poésie. Douce fureur est un oxymore qui évoque l’inspiration poétique et une passion destructive. Douce atténue ce terme : le poète ne maudit plus il regrette comme Pétrarque il semble regretter d’avoir cru en la poésie. Le lexique de l’erreur : « consumer, sans, vain, passe-temps

fait un mariage qui lui assure la tranquillité la garantie d’une vie sans souci. Un bonheur sans trouble l’attend. Le verbe modalisateur “semblait” introduit un doute MOUVEMENT 2 • V4 : personnification de la ville d’Athènes. Présence d’un oxymore “superbe ennemi”. L'adjectif “superbe” est synonyme de fier, plein de prestance et associé au mot “ennemi” qui lui évoque le thème du danger. • V5 : il y a une énumération en rythme ternaire qui vient mettre l’accent sur les actions rapides que

LA PUB JOUE AVEC LES MOTS Les publicités suivantes sont basées sur • des figures de style : métaphores, oxymores, antithèses, gradations, hyperboles • des jeux sur les sonorités : rimes, allitérations, assonances, paronomase • sur la polysémie • sur le rythme : rythme binaire ou ternaire • sur l’implicite recherchez ces procédés de style – il arrive que plusieurs soient associés dans un même énoncé. 1. Get 27, c’est l’enfer. 2. Du Pain, du Vin, du Boursin 3. L’enfer est plus vert

comparatifs ; découverte sensorielle (taille, toucher, aspect). Description extérieure assez négative : quasi laideur de l’huître ; allitération en G, en R ; comparaison avec un galet, à la faveur de ce dernier ; hostilité, adverbe « opiniâtrement » ; oxymore « brillament blanchâtre », qui insiste sur la dualité de l’huître + ironie, péjoratif. Si l’observateur n’insiste pas, seule perception = négative ; préjugé. 2. Mode d’emploi pour ouvrir l’huître => passage de lextérieur à l’intérieur

âge renforcement de l’illusion théâtrale et éloge de la médecine car elle conserve mais c’est ironique dans la bouche de Toinette. Rire exagéré de Toinette valeur hyperbolique, âge très avancé pour l’époque. (l.17)« un beau jeune vieillard » cet oxymore renforce l’illusion théâtrale. 2) Le langage Toinette imite le galimatias de la médecine de l’époque langage alambiqué et ridicule langage destiné à impressionner les malades par le soi-disant savoir et le peur (l.40)« Ce pouls là fait l’impertinent »

de suspensions, il indique une rupture ou ellipse et créé une dynamique confirmée par l’enjambement du vers 5. Le mot chant est repris mais on ne sait toujours pas d’où il vient, ce qui crée chez le lecteur un mystère qui est même renforcé par une oxymore : un chant mystérieux et funèbre « enterré ». Le vers 6, lui, commence par un tiret, cela montre de nouveau une rupture. Le pronom neutre ça se rapporte à l’origine du chant, il introduit un dialogue : un personnage en interpelle un autre

renforcement de l’illusion théâtrale et éloge de la médecine car elle conserve mais c’est ironique dans la bouche de Toinette. Rire exagéré de Toinette valeur hyperbolique, âge très avancé pour l’époque. (l.17)« un beau jeune vieillard » cet oxymore renforce l’illusion théâtrale. 2) Le langage Toinette imite le galimatias de la médecine de l’époque langage alambiqué et ridicule langage destiné à impressionner les malades par le soi-disant savoir et le peur (l.40)« Ce pouls là fait l’impertinent

L’huitre Surtout dans le premier paragraphe qui décrit l’extérieur de L’huitre : * Description complète : accumulation de comparatifs avec une découverte sensorielle dont la taille, le toucher et l’aspect. * Allitération en G, en R * oxymore « brillamment blanchâtre » ligne 3, qui insiste sur la dualité de l’huître + ironie, péjoratif. * Rendu non poétique par la répétition du titre « L’huitre » au risque d’être redondant dès le début du texte -> ressemblant à une vulgaire définition