Oxymore

“une passion”, éprouve un certain mal-être. Trouvez dans le quatrième paragraphe une expression qui réunit dans un oxymore ces deux aspects du porttrait. Que révèle-t-il?: Voice une expression qui réunit dans un oxymore ces deux aspects du portrait: “Elle possédait un sang-froid suprême, une apparente tranquilité qui cachait des emportements terribles.” -Ligne 21 Cet oxymore révèle que Thérèse Raquin est une femme à part entère avec toujours deux contraires qui se rencontrent: “le blanc et le

dans lequel le poète dit le soulagement qu'il trouve dans la poésie. 1er quatrain :  "Maintenant crée le lien, à la fois avec le "maintenant" du sonnet 6, et avec le second quatrain, qui reprend mot à mot la même formule. "Douce fureur" est un oxymore ; la fureur évoque l'inspiration poétique, mais en même temps une passion destructrice ; "douce" atténue ce terme ; désormais, le poète ne maudit plus (sonnet 12), il pardonne. Cette strophe évoque Pétrarque, Canzoniere I, 1,  1-4 : Voi ch'ascoltate

Nos intérêts personnels vont dans le même sens que nos intérêts communs», référence à Montesquieu. Il y a un autre exemple à la ligne 335-336 : «on demandait à Socrate d'où il était, il ne répondit pas d'Athènes mais du monde». Nous avons ici une oxymore entre Athènes et le monde. Montaigne invite à aller du général vers le particulier et non du particulier au général. Pour illustrer cela, nous avons un exemple historique avec Socrate : l'ouverture d'esprit du philosophe lui permet de mieux comprendre

blessure, voire mort (oxymore - brûler vif + vif/Enterré = le chant porteur de mort) - chant = bruit du crapaud (allitération en « r » + assonance en « oi » = « croa ») – métaphore = chant du poète. C° : champ lexical chant → (titre) chant du crapaud dévalorisé. qui est-il ? Le poète maudit ? 2. Le poète maudit : - pointe du sonnet → identité/nature crapaud → invitation relecture poème + reconsidération (mots à double sens : l'hénéasyllabe - poète se met en scène+ oxymore v.10) - crapaud = animal

la nature, celle-ci est d'une part repoussante et d'autre part adorable. En effet , l'utilisation d'opposition dans ce texte est dur, voir rude pour opposer la beauté de la nature à la misère des paysages, il utilise aussi des figure de style (oxymore) pour opposer ses éléments de nature, comme "d'informes haies d'arbousier" ou "une misère laborieuse." Dans le texte de Malraux, l'auteur utilise des mots dévalorisant qui fait que la nature est percue sous un angle hostile, défavorable. La vision

extrême : Hyperbole. Cette simplicité inhabituelle de la Belle St Yves laisse penser qu’elle se dévalorise. Elle se refuse de plaire. Elle est humiliée de honte.  « Elle voyait […] bienfaiteur « : dégout de sa propre personne » Funeste bienfaiteur : oxymore  « Elle avait laissé […] sans même les regarder » Les boucles de diamants ont été offertes par Saint-Pouange. Elle se refuse d’accepter ce cadeau. -Exagérations des sentiments  Lignes 16 à 17 « La belle Saint Yves […] l’autre rappela bientôt

blessure »,  « je palis, », vers 276 « je sentis mon corps et transir et brûler » contredit des sensations de chaleur et de froid, cette contradiction est un oxymore qui est renforcée par « et » qui montre des impressions physiques totalement incontrôlées. On retrouve aussi des changements soudains et puissants« je rougis, je palis », qui est un oxymore. Phèdre guide Oenone, vers 259 « de l’amour, j’ai toutes les fureurs », le mot « fureur » met en avant qu'elle s'accuse d'aimer, elle considère l'amour

permet de mieux comprendre le déroulement des vers. De plus, nous pouvons constater que l’auteur continue de pardonner la poésie mais il est de moins en moins intense dans ses pardons. Tel que le démontre ce deuxième oxymore : « Maintenant je pardonne à ce plaisant labeur. » (l.5) Cet oxymore nous permet de voir que l’auteur a aimé faire de la poésie et qu’il ne veut pas nécessairement arrêter d’en faire. Donc au début, il pardonne à la poésie en la décrivant de douce fureur et il termine en la décrivant

et de sensations peut se trouver dans un « état de bonheur » c'est-à-dire « être heureux ». Or il s’agit, ici, d’un paysage et c’est pourquoi il ne peut s’agir que d’une personnification « des rivages » évoqués dans le poème. Soleil monotone : oxymore Dans l’expression « soleil monotone » le terme monotone peut avoir le sens qu’il a généralement, à savoir quelque chose qui ne change pas, et de ce fait, ennuyant. Or, dans le texte, cette expression est en correspondance avec les expressions telles

c'est un être narquois. Dans cette extrait s'ajoute aussi de belles oxymores, pour exprime ce qui est inconcevable. Il crée donc une nouvelle réalité poétique, telque l'oxymore "le spectacle était épouvantable et charmant" qui représente bien la scène vécu par Gavroche. En effet, le coté épouvantable révelle la cruauté des gardes nationaux qui tirent, contrairement au coté charmant qui montre la beauté des actes de Gavroche, cette oxymore en elle meme est un contraste qui se répercute sur cette scène