Oxymore

vieilles » : allitération en « v » insistant sur l’idée de dénuement * Ajout de la « fatigue »v.24 : nuits passées dans les abris pour échapper aux bombardements * Tableau pathétique renforcé par champ lexical du malheur et de la faiblesse (v.22 oxymore « tremblant comme une étoile » …) II. Confiance du poète en Paris a) Le tutoiement affectueux * Tutoie Paris et engage un dialogue : v.16 « Paris ma belle ville ». Adjectif possessif à valeur hypocoristique et adjectif mélioratif

par une autre expression)  insiste sur son misérable sort • oxymore : alliance de mots contradictoires : « aimable tyrannie » B] L’opposition entre l’amour et l’honneur • Venger un père / perdre une maîtresse ; l’un m’anime le cœur / l’autre tient mon bras • Modalité interrogative : montre son incertitude • personnification (29, 30) : il apostrophe son épée en la désignant par sa matière, c’est une synecdoque • Périphrase + oxymore : «  digne ennemi de mon plus grand bonheur » III : L’auteur met

prochaine et inéluctable pour ensuite informer le public qu’il est revenu pour l’annoncer à sa famille. Extrait : Prologue de Louis, Juste la fin du monde, Jean-Luc Lagarce, 2007Commençons par analyser le titre de l’œuvre qui présente d’entrée une oxymore car « juste » est un adverbe d’atténuation tandis que « la fin du monde » est un terme apocalyptique et hyperbolique. Nous sommes donc sur une impossibilité logique c’est-à-dire comment peut-on aborder avec désinvolture quelque chose qui est de l’ordre

les hommes soient égaux ➢ Poète : inventeur pour tous, chargé de capturer vision et sensations pour les restituer aux hommes • Synesthésie / brouillard entre les sens par - « long et immense » : difficulté - « dérèglement de tous les sens : oxymore = il accepte l ‘excès de « toutes les formes d’amour » (morale/physique) qui le mènent vers la folie mais dans un but de création • « dérèglement en italique : importance C. Le poète est voyant grâce au rêve et au sacré • Italique : « inconnu

locuteur. * Discours témoigne d’une rigueur de construction : * Généralité, particulier *2. * Théorie, pratique. * Nombreux arguments sur le mode de la persuasion : * Saturer de subjectivité, impulsif. * Hyperboles. * Oxymores. * Ironies « belle chose de vouloir ». II- Les empreintes de la préciosité a) Un mouvement littéraire * XVIIe siècle : représenté par Mme de Rambouillet et Mme de Scudéry. * Elles animent chaque semaine un salon littéraire

conversion et l'evangelisation des noirs au catholicisme. Champs lexical de la religion avec : « festin catholique » montrant la conversion de masse des noirs d'afrique « hosties noires » oxymore qui fait ressortir le contraste entre religion des blanc et couleur des noirs « louanges de mépris » oxymore qui fait l'éloge et la critique des noirs. Le vers 6 montre son engagement dans la lutte contre le racisme et la discrimination présents en France Il fait une opposition entre passé (chantaient)

en trois étapes Entrée en matière, 1er paragraphe : L’auteur de l’édit désigné par « Joussouf-Chéribi » (l.1) initiale J-C. Ses titres « mouphti » (l.1) spécialiste droit religieux dans l’Islam. + Salutations à ses fidèles. Antithèse, oxymore « sottise et bénédiction » (l.2) ironie locuteur. Annonce son objectif ( décision interdire l’imprimerie. Avec l’accusation du prophète « Mahomet » (l.6). Edit constitué 6 paragraphes numérotées avec 6 motifs interdiction. 1- « Dissiper

dégout, la honte, l’indifférence de l’âme. * Ligne 44 : « enfin » signifie que l’âme va enfin réagir, répondre. C’est une personnification de l’âme sous forme de métaphore hyperbolique. * Ligne 44 : « sagement elle me crie ». c’est un oxymore Cet oxymore montre une preuve de sagesse, de calme de l’âme. L’explosion par les points d’exclamation. L’âme finie par une supplication (prière instante et soumise) Conclusion : Ce poème montre le désespoir de Charles Baudelaire (Spleen). Ouverture :

fable relatée par le brigand par l’intermédiaire du vieil arabe permet un effet une mise à distance et une analyse sur la polysémie. En effet, il n’a jamais été dit que pour devenir « diamant » il fallait commettre des crimes... 3. Paradoxes et oxymore : Voltaire joue sur des paradoxes qui servent à faire réfléchir le lecteur. Ainsi dans les chapitres précédents, Zadig a été mis en danger ou menacé de mort par des grands de ce monde, alors qu’ici c’est un voleur qui le protège. La figure du voleur

de négativité - Personnage marqué par le manque (blancheur qui habituellement est le symbole de la pureté devient une absence de couleur, une image de la mort - Lumière absente, disparaissant, peu vive, qui peine à ce manifesté (oxymore avec long éclair) fragile, mourante. - Le chant devient un cri - Manque de consistance - Transformer l’image traditionnelle du Pierrot pour accroître le contraste entre un passé joyeux et un présent lugubre - Pierrot