Oxymore

temps qui est aussi prolongé par les participes Présent "luisante et cassante". Élément un peu inquiétant du texte : personnification des arbres "arbres vêtu de givre...suer" = oxymore, "suer de la glace" = sueur froide caractéristique de quelqu'un d'angoissé. "Le soleil...miroir" = ciel en miroir : fantastique. Oxymore/soleil qui ne chauffe rien. Ça fait penser à une ambiance d'un monde après un désastre. B- L'évocation de valeur dégradée. Maupassant exprime une ironie par rapport à l'activité

guerre «  égorgées », «  coupés » , «  brûlées », «  éventrées »... Voltaire utilise également des figures de style : la litote «  des filles éventrées après avoir assouvi les besoins naturels de quelques héros » ( pour signifier le viol); les oxymores ironiques « boucherie héroïque »,  «  mamelles sanglantes »(vie et mort car les mamelles nourrissent les enfants); l'antithèse et le contraste entre l'harmonie et l'enfer , les instruments de musique et les cannons. Le rythme de cet extrait est

Puis mouvement inverse : élargissement cosmique (de l'individu au monde qui l'entoure) : l.4 « merveilleuse paix » (hyperbole méliorative) ; l.5 « été endormi » (la Nature ressemble à Meursault à cet instant), l.16 « tendre indifférence du monde » (oxymore) : communion extérieure avec la Nature. Réconciliation dans la révolte : la révolte de Meursault monte d'abord sourdement : les anaphores l.10 « là-bas, là-bas aussi » (avec insistance grâce à l'adverbe « aussi ») et l.12 « personne, personne » indiquent

plus. De plus, clocher tourné en dérision, religion n’a plus de sens (désigne pape, évêques…) – rocher: métaphore de l’Eglise (origine: St Pierre) → cf guerres de religion - présence uniquement de verbes d’action 2) Un monde renversé vie/ mort (oxymores, antithèses) - narrateur se demande s’il est vivant ou mort → se comprend quand on connaît vie de l’auteur (mouvementée, passe d’une religion à une autre…) - processus inversé: actions qu’on commet dans monde des vivants, on les subit dans ce

l'écrivain veux montrée que leurs rencontre et belle. Dans cette parti le poète décrie la jeune femme de façon éloigner sans vraiment la décrit parfaitement « tes yeux jaune » vers 11 «  immobile » vers 12 « merveille » vers 12 il utilise aussi l' oxymore pour la décrit comme une fille sombre, silencieuse mais belle car le cristal est un pierre prestigieuse «  Cristal du silence nocturne » vers 13. dans le vers 14 le poète dit qui brûle après avoir vue la créature nue «  je suis consumé  » dans

de phedre .il ya une vison manichéiste on remarque aussi un oxymore « superbe ennemi « employé ds une periphrase ( remplacer par une expresson ) on remarque une gradation qui fait monter les sentimlent de phedre ‘ je rougis je pale *juste terreur ; oxymore sur le plan moral ce son des chose qui sopose* sur le plan moral Pour bannir l'ennemi dont j'étais idolâtre, antithèse deu* chose qui *sopposent* * , une flamme si noire oxymore Ccl : *Cette scène est emblematike* de *loeuvre* de racine

"fanées" "mort" "fosse commune" "gît" "cimetière" est associé à "plaintifs" "insoucieux" "épouvante" "remords" Tout au long du poème, les meubles sont l'objet de figures de styles diverses : oxymores, métaphores, personnifications. deux oxymores sont remarquables : " lourds cheveux" "lourds flocons" ces oxymores donnent un aspect quelque peu irréel au poème. Cet effet est maintenu le long du texte : "fouillis" "brumeux" "farouche" "vague épouvante" "immortalité" Une autre opposition : "matière vivante"

effet collatéral II. Utilisation de la religion pour couvrir des crimes, la rel cautionne la guerre Condamnation par des termes religieux ==> détournement de la religion, opposé des fondement religieux ! « exterminer son prochain » L.3 ==> OXYMORE car exterminer (tuer, anéantir) ==> on extermine toujours ce qui nous dégoute et son prochain = domaine religieux (tu aimera ton prochain) Supposition : langue inconnue à tous ceux qui ont combattu = Te Deum Le chef meurtrier fait appel à la religion

pensée. La dynamique du passage serait-elle une mise en abyme  de tout le roman ? Comment est-elle (la mort)  utilisée littérairement ?  Esthétique du trépas. Grisaille, l’atmosphère. Le ton est clairement pathétique et le récit est émouvant.  Oxymore, oxymore,  la vie entière, le style serait-il binaire ? L’espace est clos et étouffant comme la bière.  Aucune  indication explicite sur le temps. Peut-être parce qu’il s’est arrêté pour la défunte et pour l’Ingénu. Mais le mot  « temps » est employé

Gradation : Protase => Acmé + Chute «  Il n'avait pas de gîte , pas de pain, pas de feu , pas d'amour ; mais il était joyeux parcequ'il était libre . » LIVRE 3 , L.1 Chp.13 Oxymore LIVRE 3, , L5 , excellence du malheur => Titre projeté : la belle et bonne misère Début ou fin des chapitre : Oxymore «  Tout le monarchie est dans le badaud . Toute l'anarchie est dans le gamin . » Binaire « Le gamin est une grâce pour la nation , et en même temps une maladie ». Allitérations