Oxymore

jeunesse, qu’il regrette quand il voit arriver la fin de sa vie, la nuit. Exclamation « Oh ! La dernière auberge » « Meurs, vieux lâche ! Il est trop tard ! L’auteur s’exclame de désespoir, il voit la fin et tente de lutter une dernière fois  Oxymore « Mortel folâtre » Le temps se réjouit de sa mort, il est exité à son approche , coté malsain de la relation temps/humain. Fatalité « Le gouffre à toujours soif » Rejoint l’idée qu’on ne peut pas lutter contre le temps. « Auguste Vertu » La vertu

fascination- Donc Vénus n’est pas rejeté elle est le support d’une beauté nouvelle : une beauté oxymorique- v.10-14 «  horrible étrangement » « Belle hideusement«  ( oxymores ). Ces oxymore caractérise Vénus - v.10 «  on remarque  » le «  je » lyrique que nous avons l’habitude de voir est remplacé par le pronom impersonne l » on » -

Les figures d’analogie Personnification: « Dans la désolation de l'hiver qui dure» Personnification : « Aux longues journées de solitude» Métaphore : «Forêts noires pleines » d) Les figures d’opposition Oxymore : «Plus glaciale que la nuit.» Oxymore : «Pour empêcher la mort totale du feu» IIII –ÉTUDE DES COURANT POÉTIQUES QUÉBECOIS A) TEXTE «Le Drapeau de Carillon» d’Octave Crémazie : 1- Mouvement patriotique 2- Exemple : «Wolfe, avait rencontré

comparatifs ; découverte sensorielle (taille, toucher, aspect). -Description extérieure assez négative : quasi laideur de l’huître ; allitération en G, en R ; comparaison avec un galet, à la faveur de ce dernier ; hostilité, adverbe " opiniâtrement " ; oxymore " brillament blanchâtre ", qui insiste sur la dualité de l’huître + ironie, péjoratif. -Si l’observateur n’insiste pas, seule perception = négative ; préjugé. *Mode d'emploi pour ouvrir l'huître . => passage de lextérieur à l’intérieur ;

voc péjoratif + hyperbole . Le poète est détaché de la rue ...La rue se referme sur lui. V2 Énumération adj épithète « longue,mince»=beauté moderne + en se rapprochant « en grand deuil »= habillé de noir +allitération en «d» = renforcement + oxymore «douleur majestueuse» il trouve de la beauté dans la douleur . Cela fait d'elle une fleur du mal. V3 Passé simple = action brève =temps ralentis le poète est dans une contemplation + Fascination du mouv de la main = synecdoque car sa main = le

vivant dans tes boucles dorées personnification je me noie de chagrin sans toi métaphore ton sourire et ton rire dorment en moi allitération et rime riche depuis plus d'un siècle je suis enfermé hyperbole je dort éveillé pour toi rien que toi oxymore sans toi j'ai terriblement froid si la liberté peut me libérer rime riche je peux enfin partir en paix sans pleurs rime je me rappellerais toujours de tes couleurs masculine Camille Ferronnière Liberté La liberté est souvent là pour nous

dans deux univers différents. On constate donc une antithèse dans ces deux notions. L'oxymore : est le rapprochement de deux termes normalement antithétiques, opposés, et pourtant présents dans un même groupe nominal ou même dans un même mot. Oxymore (masculin) : L’oxymore est une alliance de mots dont le rapprochement est inattendu. L’oxymore fait coexister deux termes de sens contraires à l’intérieur d’un même syntagme (Groupe de mots formant une unité par son sens et par sa fonction, à l’intérieur

Sensations étonnantes pour un tableau. Accentuent la réalité de la scène pour le lecteur *Scène de guerre : Champ lexical de la bataille « lance, bataille, boucliers, armures, mort, sang » *Nombreuses oppositions et oxymores > alimentent le paradoxe > Oxymores : « clameur sourde » (l.10) « Tumulte discipliné » (l.7) > Opposition entre la vie (énergie de la bataille) et la mort (chevaux agonisant), entre l’arrière plan et la bataille : « chien poursuivait

coquins qui infectaient la surface. La baïonnette fut aussi la raison suffisante de la mort de quelques milliers d’hommes. » (Lignes 3 à 5) qui adoucit le fait que des milliers de gens sont décédés et donne un aspect théâtral. On retrouve aussi deux oxymores« […] du théâtre de la guerre. » et l’énumération « beau, leste et brillant » à la ligne 1 pour décrire les deux armées. D’autre part, pour nous faire ressentir l’épouvante, Voltaire utilise un champ lexical relié au terme : « se cache » (ligne

la Beauté » poème formé de sept quatrains d’alexandrins à rimes croisées, publié en 1861 dans la section « Spleen et Idéal » . Les thèmes sont principalement la Beauté dont le poète cherche à trouver l'origine, et le Mal, où l'on peut trouver une oxymore entre l'enfer et le ciel. Ce poème allégorique fait état d'une double représentation de la femme, il mêle étrangement le beau et le laid, l’horrible et le sublime pour forger une image inédite de la Beauté. Le poète s'adresse à la Beauté, dans un