Oxymore

l'embellissant, le magnifiant. Le mot « poésie », vient du grec «  POIEN », qui veut dire «  créer », il y a donc, dans ce mot, un pouvoir de métamorphose. On peut remarquer dans beaucoup de poèmes, des oxymores qui prouvent cette métamorphose. Par exemple, dans les Fleurs du Mal, qui est déjà une oxymore ( Fleurs & Mal), «  Tu m'as donné ta boue et j'en ai fait de l'or ». On voit donc que grâce à la parole poétique, la souffrance et le mal-être du poète sont transformés en beauté, ce qui crée une

éviter/retrouver V. 293 : pour bannir l’ennemi dont j’étais idolâtre : antithèse V. 310 : Et derober au jour une flamme si noire : oxymore flamme/noire Phèdre utilise des périphrases pour ne pas nommer Thésée et H. car elle ne peut pas prononcer leur nom : elle a trop honte. + v.288 : elle dit elle-même qu’elle ne peut prononcer le mot Hyppolite. Les oxymores et antithèses sont des figures qui marquent l’opposition, et cela montre le « desordre » en Phèdre. THÈMES : Amour, mort et fatalité

« une charogne ». Historiquement, l’alchimiste avait le pouvoir de transformer des métaux sans valeurs (fer) en or grâce à la pierre philosophale. Le poète détient le pouvoir de modifier les éléments matériels. Le titre de ce parcours qui est un oxymore repose sur la contradiction Baudelerienne à l’image du poète qui oscille entre le Spleen et l’idéal. La boue et l’or expriment l’homme déchiré entre son inspiration pour l’idéal (élévation) et sa déchéance qui se traduit par le spleen. L’albatros

Emmanuel le démontre puisqu’il rappelle que la plus grande angoisse des tyrans réside dans la liberté divine « il y a dans les tyrans une angoisse fatale qui est dans la liberté effroyable de Dieu « au v18 et 19. « La liberté effroyable « est un oxymore qui rappelle que la liberté de Dieu est absolue, et que celui-ci peut juger les humains comme bon lui semble, selon le christianisme, ce qui justifie « l’angoisse fatale « des tyrans. II) Glorifie les Resistants tout en s’en proclamant un

« La Loreley » v.1 – v. 26 : proposition d’explication linéaireMouvement 1 : Le portrait d'une héroïne ambiguë (v1-2)v1-2 : Nous avons avec l'emploi de l'imparfait de l'indicatif la description de la situation initiale de l'héroïne de ce récit. Un portrait physique ambigu qui emprunte les codes du conte merveilleux :* La tournure impersonnelle «  Il y avait » : formule habituelle des contes souvent associée au fameux « Jadis/ autrefois... ». * Substitution du lieu au temps :

passion. Tout ce que nous savons c'est que pour le jeune homme, cette passion c'est sa vie aussi dangereuse qu'elle peut être. Ce mystère est aussi entretenu par la façon du comment a été rédigé le texte, l'auteur a volontairement beaucoup usé des oxymores et des antithèses qui seront étudiés dans les deux prochains développements de ce héros. B)Un côté angélique : Après le côté mystérieux du jeune homme, le narrateur veut nous présenter ce personnage comme un ange avec tout d'abord un champ lexical

chagrin du poète à partir des figures de style. III - LES CONNAISSANCES REQUISES Vous n'aviez pas besoin de connaître la biographie de Paul Eluard pour commenter son poème. Une connaissance minimale des figures de style (métaphores, antithèses, oxymore) vous permettait de mener à bien l'analyse. IV - UN TRAITEMENT POSSIBLE DU SUJET A - CE QUI DONNE AU POEME UN CARACTERE INTIME ET FAMILIER : · En s'adressant directement à Nush (occurrences du pronom personnel de deuxième personne du singulier)

rapportant aux phénomènes atmosphériques : « nuées » « orage » « clartés de vapeurs obstruées » (+ « flot ») -> allusion au caractère sublime de la nature à la fois refuge et source d’exaltation pour les Romantiques La Nature : un cycle sans fin - oxymore : « ridés et non vieillis » v10 -> la nature n’est pas touchée par le temps qui passe (« rides » = « plis » des montagnes et non marque de l’âge) - participe présent « rajeunissant » -> la nature est loin de vieillir - emploi d’adverbe « toujours

Gradation «Cracotte = je craque» : Allitération «Chaussez vous chou, chic et pas cher» : Allitération «Drakkar noir : la douce violence d'un parfum d'homme» : Oxymore «twixx deux doigts coupe faim» : Métaphore «L'intelligence a besoin d'espace, l'espace à besoin d'intelligence» : Chiasme «La petite géante de Volkswagen» : Oxymore «Le plus grand des petits déjeuners» : Antithèse «La passion a toujours de bonnes raisons» : Antithèse 3. Figures de pensée. a. Allégorie:

contraires. Exemple : Un géant accompagné d’un nain. * Oxymore : Figure d’opposition qui consiste à opposer deux caractéristiques contraires se rapportant à un même élément. Exemple : Le soleil noir. / Le petit Gavroche était grand. L’oxymore a pour effet de créer une petite surprise qui sert fréquemment en poésie ou bien en argumentation afin d’imposer une formule frappante. * Alliance de mots : Figure d’opposition : c’est un oxymore dont les deux expressions contraires se suivent immédiatement