Où Donc Est Le Bonheur Hugo

Victor Hugo, « Melancholia », extrait des Contemplations (1856) Introduction • Victor Hugo a été le chef de file du romantisme au XIXème siècle. Il a composé une oeuvre gigantesque qui témoigne de nombreux engagements personnels. Poète militant, il s’est préoccupé tout au long de sa vie du sort des misérables et à lutter contre toutes formes d’injustices sociales · Dans « Melancholia », extrait des Contemplations, recueil publié en 1856, il utilise le texte littéraire pour dénoncer

amène à observer chaque texte de façon détaillée, en vous attachant à relever précisément le dispositif visuel mis en place (qui regarde qui ?) et les relations qui s’instaurent ainsi entre les personnages. Mais votre réponse doit être comparative, donc faire des rapprochements entre les textes tout en dégageant à chaque fois les particularités de chacun. On peut partir du plus extérieur, le dispositif visuel (la position du « voyeur » et le choix des focalisations), pour voir ensuite ce qu’il peut

bonne connaissance de soi car « il nous appartient de découvrir notre bonheur en aidant au bonheur de l’autre » comme le précise Jacques Attali. Ces valeurs communes, qui fondent notre Fraternité, sont donc aussi l’affection, l’écoute, l’humilité, la charité, la bienveillance, la bonté, la justice, l’humanité, la solidarité, et j’en oublie encore beaucoup… Une vertu Selon Lamartine « la plus douce des vertus  mais aussi un bonheur » Pour moi, la Fraternité, ce n’est pas seulement donner ce que l’on

d'état du 2 décembre 1851, Victor Hugo se réfugie à Guernesey d'où il ne reviendra qu'après la chute du 2nd Empire, 20 ans après. Dans Les Châtiments, il proclame son admiration pour Napoléon Ier, pour mieux accabler de ses sarcasmes Napoléon III qu'il a surnommé "Napoléon le petit". Cette œuvre dont le premier texte s'intitule "Nox" (nuit) et le dernier "Lux" (Lumière) révèle un engagement qui jamais ne faiblira. La tonalité est d'ailleurs donnée par la préface ou Hugo écrit : "Si l'on met un bâillon

classique, qui n’avait rien produit de novateur mais de faire briller de nouveau le genre en créant une nouvelle esthétique théâtrale. Hernani, de Hugo est considéré comme le premier drame romantique, cependant il faut nuancer quelque peu en parlant plutôt d’œuvre intermédiaire puisqu’on retrouve encore un certain nombre de traits du théâtre classique. Hugo conserve en effet l’alexandrin, le sujet historique (même s’il y a une part d’invention), ou encore, la division en cinq actes, les fonctions de

qui sort de dessous la terre. C'est le pays du vrai. Il y a des cœurs humains sur la scène, des cœurs humains dans la coulisse, des cœurs humains dans la salle ». Victor Hugo En vous appuyant sur des exemples précis, issus des oeuvres que vous avez étudiées, lues ou vues, vous expliquerez et commenterez ce jugement de Victor Hugo sur le théâtre. NB : vous devrez citer comme exemple au moins une fois les textes du corpus dans votre devoir. Texte A Pour rester fidèle à son amour pour Roméo

Le roman Les Misérables a été écrit en 1862 par Victor Hugo, écrivain français très engagé dans la lutte pour une meilleure condition du peuple. Dans cet extrait, il s'attarde sur le cas de Fantine, femme du peuple qui se bat pour subsister et assurer un avenir à sa fille. Nous allons nous demander comment, à travers ce personnage féminin, l'auteur dénonce le sort des femmes du peuple au XIXe siècle. Il nous décrit tout d'abord la déchéance de Fantine puis se pose en juge de la société, responsable

Commentaire littéraire. Sujet : Vous commenterez le texte de Victor Hugo, des lignes 1 à 20 et 55 à 70. Vous pourrez montrer, par exemple, que le rire de Gwynplaine est omniprésent, puis que son aspect physique est en contradiction avec son caractère (aspect moral). Problématique : Comment l’auteur parvient-il à démontrer que le rire de Gwynplaine est malheureux ? Plan détaillé : 1. Un rire omniprésent. a) Un mal-être du quotidien. b) Un aspect physique en contradiction avec son caractère…

se les enfonça dans la poitrine. La lame était courte, la poitrine était profonde. Il y fouilla longtemps et à plus de vingt reprises en criant : « Cœur de damné, je ne te trouverai donc pas ! » et enfin il tomba baigné dans son sang, évanoui sur le mort. Lequel des deux était la victime de l'autre ?   Victor Hugo, Claude Gueux (1834)   1 Par amitié, Albin, qui était de faible constitution, avait pris l’habitude de donner une part de sa ration à Claude Gueux, homme robuste, de gros appétit

de lettres qui au 18e qui n'ont pas les moyens de vivre de leur plumes : ils sont donc dépendants d'une protection, d'une pension, et de diverses gratifications dispensée par le roi directement et par l'académie qui décerne des prix aux auteurs (éloquence et poésie pour éloges du rois) et choisit ses membres parmi des auteurs bien nés ou fortunés ou ceux qui se sont illustrés dans les grands genres. Il s'agit donc de continuer à promouvoir le classicisme, l'idéal classique en littérature : cela constitue