Pacifisme

l’enseignement en France de 1800 à 1967) Ouvrage : 1977, Gallimard Collection Archives (dirigée par Pierre Nora et Jacques Revel) Poche, 240p. Organisation générale : 1 – Le souvenir 2 – Le mouvement combattant 3 – Antimilitarisme et pacifisme 4 – La politique des combattants : rhétorique et morale 6 – La politique des combattants : les classes moyennes et le régime Préface à Vichy et à la Quatrième République Etude des AC comme témoins et non comme acteurs. Révèle les mentalités

par Erich Maria Remarque[1]. Le roman décrit la Première Guerre mondiale vue par un jeune soldat volontaire allemand sur le front ouest. Symbole du pacifisme allemand, le roman devient rapidement un best-seller et est suivi par d'autres romans de la même veine  : Après, Trois camarades, etc. L'auteur, pourchassé dès 1930 par les nazis pour son pacifisme, émigre en Suisse, puis aux États-Unis ; son livre subit un autodafé nazi le 10 mai 1933[2]. Ça se passe dans les tranchées allemandes pendant la guerre

lorsque le gymnaste lui demande s’il faut suivre le Moine dans son déchaînement contre les ennemis. La vision de la guerre de Rabelais, incarnée par Gargantua, se situe ainsi à mi-chemin entre le pacifisme radical d’Érasme (fondateur du pacifisme, repris par un grand nombre d’humanistes) et la tradition guerrière de la noblesse d’épée, qui implique le respect de l’adversaire et un code d’honneur strict (“Selon l’authentique discipline militaire”)

CONCLUSION La Guerre d’Otto DIX est une œuvre que l’on peut qualifier d’engagée, c’est en quelque sorte un acte politique par lequel l’artiste énonce très clairement son dégoût de la guerre et le pacifisme qui en est la conséquence. Mais son intention ne se limite pas à cette « déclaration de pacifisme » car il souhaite également nous convaincre, nous spectateurs, de l’horreur et de la bêtise de la guerre. C’est certainement pour cela qu’il se représente en sauveur : il est celui qui nous met

sous forme de chroniques hebdomadaires. Devenu professeur de Khâgne au lycée Henri IV en 1909, il exerce une influence profonde sur ses élèves (Raymond Aron, Simone Weil, Georges Canguilhem...). A l'approche de la guerre, Alain milite pour le pacifisme. Lorsque celle-ci est déclarée, sans renier ses idées, et bien que non mobilisable, il s'engage pour satisfaire ses devoirs de citoyen. Brigadier de l'artillerie, il est démobilisé en 1917 avec un pied broyé. Ayant vu de près les atrocités de

l'homme peut-elle se dispenser d'une action efficace et donc parfois guerrière? Il faut donc poser la question : peut-on faire la guerre au nom des droits de l'homme ? Plan : I/ On ne peut pas faire la guerre au nom des droit de l'homme. Le pacifisme est le seul moyen légitime. 1) Dans les faits, la référence au droits de l'homme pour mener une guerre est souvent un prétexte. 2) Un moyen en contradiction avec la fin recherchée. 3) Un moyen à l'efficacité incalculable II/ La guerre est

fr/files/2010/09/3e-Otto-Dix-Pragerstrasse.pdf La Guerre d’Otto DIX est une œuvre que l’on peut qualifier d’engagée, c’est en quelque sorte un acte politique par lequel l’artiste énonce très clairement son dégoût de la guerre et le pacifisme qui en est la conséquence. Mais son intention ne se limite pas à cette « déclaration de pacifisme » car il souhaite également nous convaincre, nous spectateurs, de l’horreur et de la bêtise de la guerre. C’est certainement pour cela qu’il se représente en sauveur : il est celui qui nous met en

de la Renaissance allemande (ex : Grünewald) et l'avant-garde de "Die Brücke" (le pont) et "der Blaue Reiter" (le cavalier bleu). Engagé volontaire et nationaliste en 1914, Otto Dix sort bouleversé par la guerre qui le convertit définitivement au pacifisme et à l'antimilitarisme. Avec le peintre G. Grosz, il anime le mouvement artistique de la "Nouvelle Objectivité" qui entend montrer de manière réaliste la société injuste engendrée par la guerre. Avant "der krieg", le thème de la guerre est omniprésent

Blum parlera ensuite d'une « non intervention relâchée », les français vont notamment fermer les yeux sur le trafic d'armes autour de Barcelone. Un désir de conciliation. Un refus catégorique de la guerre. À cette période, il y a un fort pacifisme de l'opinion publique qui a encore en mémoire la 1ère Guerre mondiale. Léon Blum ne veut, en aucun cas, de guerre et n'admet pas le fait qu'on puisse croire que la situation actuelle débouchera inéluctablement sur une guerre : « je ne crois pas,

sous forme de chroniques hebdomadaires. Devenu professeur de Khâgne au lycée Henri IV en 1909, il exerce une influence profonde sur ses élèves (Raymond Aron, Simone Weil, Georges Canguilhem...). A l'approche de la guerre, Alain milite pour le pacifisme. Lorsque celle-ci est déclarée, sans renier ses idées, et bien que non mobilisable, il s'engage pour satisfaire ses devoirs de citoyen. Brigadier de l'artillerie, il est démobilisé en 1917 avec un pied broyé. Ayant vu de près les atrocités de la