Pacte de stabilité et de croissance

juin 1978, et mis en place quelques mois plus tard à Bruxelles. Le premier objectif recherché était la constitution d’une «zone de stabilité monétaire en Europe». En effet, à la fin des années 1970, le dollar américain ne paraissait plus totalement crédible en tant que monnaie internationale. Le serpent monétaire était apparu capable d’assurer une certaine stabilité. Cependant, celle-ci restait encore imparfaite, puisque deux des principaux pays européens, la France et l’Italie, n’y avaient participé

leurs efforts en vue de renforcer une intégration et une stabilité monétaire. Le système monétaire européen (SME) voit ainsi le jour. Le SME constitue un système dans lequel les taux de changes sont stables, tout en pouvant être ajustés par rapport à l’écu (European currency unit), qui est une moyenne pondérée des monnaies participantes.1 Au cours de son existence, le SME a réussi à répondre à son principal objectif qui est d’instaurer une stabilité des taux de change à long terme. Le traité de Maastricht

tandis que la Banque Centrale maintient des taux d’intérêt relativement bas (moins élevés qu’aux Etats-Unis ou au Royaume-Uni). La lutte contre l’inflation a également permis de protéger les épargnants contre la fonte de leur épargne et accru la stabilité macro-économique, propice aux investissements et à l’accession à la propriété. De même, l’impact de l’euro fort est contrasté ; le cas de l’Allemagne, premier exportateur mondial, illustre bien l’importance de la qualité et de la valeur ajoutée

Une bonne stabilité politique. Le Maroc est une monarchie constitutionnelle, démocratique et sociale. Le système institutionnel est bicaméral avec deux chambres : une chambre parlementaire et une chambre de conseillers. Il existe au Maroc trois courants politiques : les conservateurs formés par le parti de droite, les socialistes formés par les partis de gauches et les islamistes modérés. D’après Ducroire le risque politique est très faible. Le Maroc jouit donc d'une stabilité politique, lui

L’union Européenne est la première zone économique mondial. a) Son PIB Elle possède un PIB supérieur à celui des Etats-Unis (16 218 milliards de dollars en 2010) et un PIB par habitants de 31 197 dollars (48 665 dollars pour les Etats-Unis). La croissance du PIB était de 1,7 % en 2010.L’ UE a le PIB le plus élevé dans le monde mais est 34 ème pour le PIB par habitants. Son PIB représentait en 2010 25,85 % du PIB mondial. b) Les échanges L’UE est la première puissance commercial au monde. Ses

Les raisons de la hausse tiennent au développement de l’intervention de l’État et des collectivités locales dans les domaines économiques, sociaux, éducatifs … et à l’instauration d’une protection sociale de plus en plus complète. Le niveau de croissance relativement bas en France, comparé à celui d’autres pays développés, conduit à s’interroger. Le niveau des prélèvements n’est-il pas trop élevé en France ? Une baisse des prélèvements obligatoires entraîne des conséquences économiques positives

plus bas. Le salaire est calculé de façon très précise. En 1850 dans les familles =1 seul travaille Keynes est contemporain de la crise de 1929. L’état peu régulé le capitalisme Quand nous sommes dans un cas de croissance proche de 0 il ne faut pas penser qu’une E relance la croissance et qui d’autre que l’état peu impulser cette relance 2nd guerre mondiale : 30 ans de politique Keynésienne. Quel est le déséquilibre qui ne s’est pas résolu est le chômage. CHAPITRE 1 : INSTITUTION INTERNATIONALE

est alors présenté comme le garant d’une plus grande stabilité et d’une prospérité accrue pour le vieux continent. Aujourd’hui, l’enthousiasme qui a suivi le passage à la monnaie unique a fait place à la déception : nombre d’européens ont la nostalgie de leur monnaie nationale. Les politiques s’en prennent régulièrement à la force de l’euro qui est portée en bouc émissaire de maux dont souffrent plusieurs économies européennes en mal de croissance. Il convient néanmoins de modérer ce constat alarmiste

l’existence de déficits trop importants peut entraîner des effets récessifs si le poids de l’endettement est financé par un emprunt ralentisse la croissance de l’activité économique à long terme. Depuis le Conseil européen d’Amsterdam de juin 1997 et le traité de Maastricht en 1992 qui ont défini les conditions du Pacte de stabilité et de croissance (PSC), c’est-à-dire le respect d’un ensemble de critères budgétaires témoignant d’une saine gestion des finances publiques (le déficit ne doit pas dépasser

1- Contexte économique international 1-1. Les variables économiques Après une année de reprise fragile et inégale, la croissance économique mondiale a commencé à ralentir à la mi-2010. Cette décélération devrait se poursuivre en 2011 et 2012 étant donné que les faiblesses dans les grands pays développés s’accentuent, la reprise mondiale risque de menacer la stabilité économique mondiale dans les années venir. Nous avons décidé de parler, outre du contexte économique mondial et européen,