Paire de bases

réplication Réplication bidirectionnelle de réplicons circulaire et linéaire Figure 11 6 Origine de réplication chez les bactéries Figure 12 Les origines de réplication sont riches en paires de bases A/T Rappel : a) Courbe de fusion de l’ADN b) Influence du pourcentage en paires de bases G/C sur le Tm Figure 13 7 Initiation de la réplication au niveau du site oriC d’Escherichia coli Protéines SSB :Single Strand Binding protein Figure 14 Origine de la réplication chez les

thymine Sucre : désoxyribose « d » Acide : acide phosphorique « p » « A » est associé a « t » et « c »est associé a « g » « d » est sur les base azoté et « p » sur les montant Les 2 fragments d’Adn de levure sont différents par la paire de base 662 la paire gc des levures rouges a été remplacé par la pair ta ce qui a créée des levures blanche .ce phénomène s’appelle la mutation .la partie touché par cette mutation est appelé le gène. Un gène est un fragment de molécule d’Adn porté par un

d) C’est la succession des sucres et acides phosphoriques le long de l’ADN qui détermine l’information génétique FAUX C’est la succession (séquence) de bases azotées (nucléiques) qui la détermine. II) Exercice d’application ( 6 pts) : Voici la séquence partielle de 3 allèles (seules les bases azotées d'un brin sont représentées): position N° 17 20 23 26 29 32 35 allèle 1 (référence)

synthétisé et relié les 273 871 paires de base d’ADN sur les 316 6673 de cette levure. Dans les faits, certaines paires de bases étaient redondantes ou n’étaient pas essentiel à la reproduction ni à la croissance de cette levure. Ils ont ainsi construit à partir de cette séquence simplifiée et raccourcie le chromosome III en reliant entre elles les centaines de milliers d’unités de bases de l’ADN, ( les nucléotides Adénine, Guanine, Thymine et Cytosine). De plus cette équipe scientifique a aussi inséré

chaînes formant la double hélice. La complémentarité A-T et G-C fait que l'on parle alors de "paires de bases". Figure 1: Conformation de la double hélice de l'ADN dans sa conformation usuelle (ADN-B). Rouge: le brin phosphodiester. Bleu: Guanine. Jaune: Cytosine. Cette figure est de Anne Lebrun et Richard Lavery. La structure primaire de l'ADN correspond donc à la séquence des paires de bases le long de la molécule. Différents mécanismes moléculaires et cellulaires sont alors spécialisés dans

taille variant de 30 000 à 150 000 bases et dont le nombre peut aller de 1 à 35 000 chez les eucaryotes. La vitesse de synthèse va jusqu’à 50 000 pdb/min pour les eucaryotes et encore plus rapide pour les procaryotes ne présentant pas de chromatine. L’origine de réplication n’est pas localisée au hasard sur la molécule d’ADN, en effet elle est présente entre petite séquence répétée reconnue par des protéines. Elle mesure environ 200 paires de bases (pdb) pour les procaryotes et 2000 pdb

d’initiation on trouve : « TTGACA » [pic] La force (ou efficacité) intrinsèque d’un promoteur est définie par le nombre relatif d’initiation par unité de temps (vitesse de la transcription). Elle dépend de la proportion des paires de bases A-T par rapport aux paires de bases C-G, de la position des séquences en -35 et en -10, en effet plus les séquences consensus sont proches du site d’initiation plus le promoteur sera fort et finalement de la force d’interaction de l’ARN-polymérase avec le promoteur

assemblés. 5. Deux nucléotides sont assemblés entre eux. Pour chacune des questions suivantes, proposez une réponse brève. Si nécessaire, la réponse peut être accompagnée d'un schéma simple. 6. Quelles sont, dans une molécule d'ADN, les paires de bases possibles? 7. Pourquoi dit-on que les deux brins constituant une molécule d'ADN sont complémentaires? Dans la séquence suivante, certains nucléotides de deux brins complémentaires ont été effacés. 8. Reconstituez la séquence complète. AAT _ CG _

9 : ADN du clone pUC-L2 coupé par Hind III et EcoR1 Piste 10 : M, marqueurs de tailles moléculaires (Mettre la figure 1 : gel d’électrophorèse d’ADN) La distance de migration est proportionnelle au logarithme (décimal) du nombre de paires de bases (pb). Il est possible de déterminer la taille des fragments de restriction obtenus en comparant leur mobilité électrophorètique à celle de fragments d’ADN de taille déterminée appelés marqueur de poids moléculaire (ici, le marqueur utilisé est le

Exercice 1 1) Identifier les bases présentes dans les structures suivantes : A = adénosine et guanine, B = uracile, C = cytosine, D = thymine 2) Parmi ces bases, lesquelles : a) contiennent du ribose. b) contiennent du désoxyribose. c) contiennent une purine. d) contiennent une pyrimidine e) contiennent de la guanine. f) sont des nucléosides. g) sont des nucléotides. h) se trouvent dans l’ARN. i) se trouvent dans l’ADN. 3) indiquer les extrémités 5’ et 3’ de la molécule A B A, C A B, C, D