Paix de Callias

la politique de Cimon41. De cette période complexe, l'existence de la paix de Callias, traité qui aurait mis fin aux hostilités entre les Grecs et les Perses, est vivement contestée et ses détails et sa négociation sont tout aussi ambigus42. L'historien Ernst Badian écrit qu'une paix entre Athènes et la Perse a été ratifiée en 463 av. J.-C. (faisant des interventions athéniennes en Égypte et à Chypre des violations de cette paix) et a été renégociée à la fin de la campagne à Chypre, en prenant à nouveau

451, une trève de 5 ans est décidée entre Sparte et Athènes qui ont besoin de reprendre des forces. Cimon est rappelé par Athènes, car il faut quelqu'un de compétent pour les aider. Athènes en profite pour mettre en place une paix avec les perses en 449 : la paix de Callias (nom de l'athénien qui l'a négociée). La négociation a lieu à Suse en Mésopotamie. Elle déclare le statut d'autonomie des cités grecques d'Asie mineure vis à vis des perses. Elles doivent s'administrer elles-mêmes, et les perses

pour qu’elle mène les guerres à la place de ces cités. Cependant, c’est une notion qui est devenue relativement obsolète du fait de la paix de Callias, mis en place en 449 av. J.-C. entre les athéniens et les Perses. En effet, suite à l’échec de l’expédition athénienne en Egypte, ces derniers envoyèrent Callias en mission à Suze, afin de signer un traité de paix : les perses s’engageait à ne plus attaquer l’Egée et les cités d’Asie mineure, tandis que les athéniens promettait de ne plus lancer d’expédition

fois de plus les grecs sont divisés, certains sont prêts à accepter la soumission (Béotie, Thessalie) mais Sparte et Athènes refusent. Athènes prend la tête de la résistance (crainte de représailles de Marathon). En 481 Sparte et Argos signent une paix de même que Athènes et Egine. En 480 : alliance de tous les grecs (31 cités) au congrès de l'Isthme de Corinthe. Symmachie : Traité pour faire la guerre ensemble. Sparte est choisie pour exercer le commandement. Hégémonie de Sparte (Hégémonie : celui

j’étais encore enfant lors de son premier séjour ici. Mais tout le monde, Socrate, fait l’éloge du personnage, et on le donne pour le plus éloquent des hommes. Rendons-nous vite chez lui, afin de le trouver au logis ; il est descendu, dit-on, chez Callias, fils d’Hipponicos ; allons-y. — Pas encore, mon bon ami, c’est trop matin ; restons ici, levons-nous et allons dans la cour pour nous promener et passer le temps jusqu’à ce qu’il fasse jour ; nous irons alors. Protagoras ne sort guère ; ainsi n’aie

favorable à une intervention athénienne en Sicile. Dans l'extrait, Nicias semble donc s'adresser aux athéniens qui sont favorable à l'expédition et souhaitent y participer. Son seul et unique but est de les en dissuader, pour faire en sorte que la paix s'instaure à nouveau à Athènes. Qui est Nicias ? (~ 470 env.-~ 413) Général et homme politique athénien. Souvent élu stratège entre ~ 429 et ~ 413, Nicias est, pendant la guerre du Péloponnèse, un personnage important. Nicias est l’héritier de

résultant de la notion de contrariété. (332a - 333b)! 32 3 Rapports de la sagesse avec la justice: le bon et l'utile. (333c 334c)! 35 III. Épisode: 1. Socrate menace de rompre l'entretien. (334c 335c)! 36 2. Interventions successives: A) de Callias; (335c - 336b)! 37 B) d'Alcibiade et de Critias; (336b - e)! 38 C) de Prodicos; (337a - c)! 39 D) et d'Hippias. (337c - 338b)! 39 Intermède. I. Socrate assume le rôle de répondant. (338b - e)! 40 1. Le commentaire critique

argent mais révolte de Thasos, écrasée en 463 et de nombreuses tribus ne reconnaissent pas l’autorité athénienne) et vers les îles et l’Asie mineure. -la rupture avec Sparte (la paix dite de Trente Ans entre Athènes exerçant une hégémonie sur l’Egée et Sparte une hégémonie sur le continent) et la conclusion de la paix de Callias qui met fin aux guerres médiques -le soulèvement de Samos qui est une des trois cités à statut particulier dans la ligue de Délos car contribue par sa flotte et ne paye pas

guerre n’aurait pas été le même. Ou si une prochaine situation semblable se présente, il faut se méfier de ce qu’il pourrait advenir. De plus, la bataille est certes gagnée, mais pas la guerre, il ne faut pas se reposer sur cette victoire. La paix de Callias en 449-448 marquera définitivement la fin des guerres médiques, après les batailles de Platées et du cap Mycale qui rendront victorieux les Grecs. Cette bataille est une réussite : c’est grâce aux aptitudes d’un seul homme, Thémistocle, que

citoyens tirés au sort. Ce décret décide du sort réservé à la cité Eubéenne de Chalcis, après que cette dernière se soit rebellée contre Athènes à l’été 446 avant J.C. Ces documents s’inscrivent dans un contexte de révolte. En effet, en 449/8, la paix de Callias met fin aux guerres médiques après la victoire athénienne à Salamine de Chypre et bannit les Perses de la ville Egée. La guerre contre le roi étant terminée, la ligue de Délos, dont Chalcis fait partie, n’a plus lieu d’exister. Mais la ligue de