Palais de Dioclétien

structure juridique de l’Empire ne suffit plus à le contrôler, son unité n’est plus possible et la division entre orient et occident s’effectue en 286 après JC, sous le règne de l’Empereur Dioclétien. Le partage du pouvoir s’effectue sous une unité de façade, de la manière suivante : l’orient revient à Dioclétien, l’occident à Maximien. Ce partage du pouvoir pour mieux régner, pour mieux tenir l’Empire, est une tentative pour redresser le modèle romain qui commence à vieillir. Les faiblesses du modèle

civilisation apparait donc dans ces deux modèles. En Europe, la civilisation s’est elle aussi développé sur le modèle de ces civilisations impériales c’est-à-dire qu’on a reproduit exactement la même organisation (administration, prêtre, pouvoir royale, palais). Par contre, il n’y a plus le fleuve, ni l’étendue aussi importante. Il va y avoir deux civilisations qui vont se développer : * la civilisation Minoenne qui tire son nom du roi Minos. Découverte tardivement vers 1910-1920 avt JC. La civilisation

Mais on ne connaissait pas encore, en 532 avec le nombre 0… Le calendrier Julien à l’origine Romaine (arrivée sur le trône d'empereur de Dioclétien) était fort implanté, à tel point que la France, puisque cela nous concerne directement, adopta cette manière de compter uniquement vers le VIIIème siècle (datation des capitulaires de Carloman et de Pépin, Maires du Palais). L'Angleterre ne datera ainsi ses documents qu'au VIIème siècle et l'Église elle-même n'y aura recourt qu'au début du IXème. L'Espagne

inévitablement, vont échapper à ce droit centralisateur. L’unité de l'Empire est de plus en plus difficile et la division entre l'Orient et l'Occident est inéluctable. En 286, sous le règne de l'empereur Dioclétien, le partage de pouvoir va s'effectuer dans un Empire divisé entre l'Orient qui revient à Dioclétien et l'Occident, qui revient à Maximien. Ce partage qui commence en 286, marque une tentative pour redresser le modèle romain, qui commence sérieusement à fléchir. Les faiblesses sont d'autant plus

), ne parlait pas l’anglais. Il esseya vainement, quelques semaines, de communiquer en latin avec ses ministres, mais il n’y réussit pas. Il renonça à assister aux réunions du Cabinet. Les ministres continuèrent à se réunir dans la petite salle du palais toyal où se tenait le conseil du roi, qui portait le nom de cabinet. Mais les ministres délibérèrent à l’avenir en l’absence du souverain. Au XIXème siècle, les progrès du suffrage universel donnèrent au parlement une légitimité démocratique, et le

voisines et offrant un site naturellement protégé. Pendant l’époque préhistorique et l’Âge du Bronze, l’occupation de l’Acropole d’Athènes est attestée comme lieu d’habitat, sans doute pour les souverains locaux. Le tyran Pisistrate y avait établi son palais fortifié, pour se mettre à l’abri de ses propres sujets. C’est au début du ve s. av. J.-C. que l’Acropole devint à Athènes une « colline sacrée » plus particulièrement dédiée aux cultes de la cité et à Athéna. On pénètre sur l’Acropole par les

affaiblis par les premières invasions barbares. Et donc l'Empire se divise mais il se réorganise dès la fin du IIIème siècle : on passe de 48 à 104 provinces etc. Cet organigramme administratif culmine dans un gouvernement à 4 têtes : à partir de 285, Dioclétien, élabore un régime pour répondre à la problématique de la gestion de ce vaste Empire, il partage le pouvoir impérial entre l'Orient et l'Occident avec chacune à sa tête un Empereur accompagné d'un adjoint. Ce gouvernement amorce le partage définitif

se situe réellement à la fin du IIIème siècle après Jésus-Christ (en 212), ce déclin s'explique par des raisons internes et externes. En 293, les divisions politiques vont se traduire par une partition de l'empire, sur la décision de l'empereur Dioclétien. Cette partition devait permettre de mieux faire face aux invasions barbares. Il y a aussi une remise en cause de la religion romaine par les chrétiens, le christianisme va être considéré comme un facteur de division de l'empire au départ. L'empereur

la secte dominante n'en a pour l'exterminer. Il faut, ou qu'ils soient écrasés, ou qu'ils écrasent. C'est ce qui arriva après la persécution excitée en 303 par le césar Galérius, les deux dernières années de l'empire de Dioclétien. Les chrétiens, ayant été favorisés par Dioclétien pendant dix-huit années entières, étaient devenus trop nombreux et trop riches pour être exterminés: ils se donnèrent à Constance Chlore; ils combattirent pour Constantin son fils, et il y eut une révolution entière dans

serons plus méchantes que vous; je veux que dans un mois nous maniions le pistolet comme un éventail : je tirai ces jours passés sur un perroquet, moi qui vous parle. ARTHÉNICE — Il n’y a que de l’habitude à tout. M A D A M E SO R B I N — De même qu’au Palais à tenir audience, à être présidente, conseillère, intendante, capitaine ou avocate. UN HOMME — Des femmes avocates ? MADAME SORBIN — Tenez donc, c’est que nous n’avons pas la langue assez bien pendue, n’est-ce pas ? ARTHÉNICE — Je pense qu’on ne nous