Palais royal de Bruxelles

peintre de Napoléon Bonaparte, pendant son règne. Il naît en 1748 à Paris, dans une famille de la petite bourgeoisie. Ayant des prédispositions certaines pour le dessin, David suit une formation artistique près du peintre Joseph-Marie Vien, à l’Académie Royale. Là-bas, il reçoit un enseignement dit académique, c’est-à-dire centré sur l’étude du dessin, la perspective, l’anatomie et la copie des grands maîtres. Sa carrière artistique prend un tournant en 1774, lorsqu’il remporte pour la première fois le

variété de formes architecturale de la Renaissance (contresens sur l’ « alae » de Vitruve, générateur du dispositif du vestibule du Palais Farnèse). Malgré les apparences, le retour à l’antique ne signifie par une imitation des modèles antiques par une copie servile mais un dépassement du modèle. D’ailleurs, les programmes architecturaux de la Renaissance (église, palais, hôtel de ville) ne connaissent aucun correspondant dans l’architecture antique. L’examen des œuvres de la Renaissance le révèle.

Recherche : MORT DE MARAT 1/ Présentation générale de l'oeuvre : -Titre : « Marat assassiné » -artiste : Jacques-Louis David (1748-1825) -Date de création : 1793 -Dimensions :165 × 128 cm -Lieu d'exposition : Musées royaux des beaux-arts de Belgique, Bruxelles -Catégorie : Arts du visuel -Arts, ruptures, continuités Repèrage chhronologique : 1748 1793 1825 Naissance de Création de l'oeuvre

beauté. Pendant l'Occupation, Colette séjourne quelques mois chez sa fille en Corrèze dans le village de Curemonte puis revient à Paris, avec Maurice Goudeket (qu'elle sauva de la Gestapo), passer toute la durée de la guerre dans son appartement du Palais-Royal au de la rue de Beaujolais. Immobilisée dans sa « solitude en hauteur » dans son « lit-radeau » (offert par la Princesse de Polignac) par une arthrite de la hanche, elle continue d'écrire à partir des fenêtres, véritables portes ouvertes sur le

[pic] [pic] Gros, Bonaparte au Pont d'Arcole le 15 novembre, David, Marat assassiné, 1796. Musée de Versailles 1793. Musées royaux des Beaux-Arts de Bruxelles Néo-classicisme : tendance artistique de la seconde moitié du XVIIIe siècle et du début du XIXe siècle caractérisée par le retour aux formes gréco-romaines. Plus qu'un simple regain d'intérêt pour l'Antiquité classique, le néoclassicisme

l’académie royale. Ensuite, Jacques Louis, devient le protégé de Michel-Jean Sedaine, auteur de théâtre et secrétaire de l’académie d’architecture. En 1771, il obtient le second prix grâce a son œuvre « le combat de mars contre minerve », mais cela ne sera pas la seule fois qu’il manque le premier prix. Il lui échappera et ces échecs consécutifs le font sombrer dans une période de désespoir, jusqu’en 1774 où il obtient le prix de Rome qui lui permet de séjourner pendant 4 ans au palais Mancini, en

Biographie: Paul Delvaux né le 23 Septembre 1897 de Laure Jamotte et de Jean Delvaux, avocat à la Cour d'appel à Bruxelles, à Antheit prés de Huy dans la maison de ses grands parents maternel, Agnés Boxus et François Jamotte. Il a un frére cadet qui s'appelle André. Il passe ses vacances à Antheit et à Wanze. Le bâptème célébré juste après la naissance, fût précédé par le grand-père paternel, Jean Delvaux, meunier à Wanze. Le bâpteme de cet enfant, attendu par tous avec beaucoup d'amour, est un

VILLAGE L’insecte dans l’art Jan Fabre est un artiste belge qui utilise des carapaces de coléoptères comme matière pour réaliser ses sculptures, robes, mappe-mondes, ou parer le plafond du palais royal de Bruxelles. Jan Fabre, Le Bousier, installation, Musée du Louvre, 2001 Jan Fabre, Palais royal de Bruxelles, 2002

1898 à Lessines[1] en Belgique, dans le Hainaut, et mort à Bruxelles le 15 août 1967, était un peintre surréaliste belge. Enfance René Magritte est le fils de Léopold Magritte, tailleur, et d'Adeline BERTINCHAMPS dans la Rétrospective de Magritte, Bruxelles, Palais des Beaux-Arts, 1978 et Paris, Centre Georges Pompidou, 1979 (p. 287) ; « Régine », selon Suzi Gablik, Magritte, traduit de l'anglais par Evelyne De Knop-Kornelis, Bruxelles, Cosmos Monographies, 1978, p. 22 ; « Régina », selon Martine

Gillot, qui lui communique son goût pour la commedia dell’arte italienne, pour le mensonge des masques et la gaieté triste des mascarades. Vers 1708, Watteau se met à travailler pour le peintre décoratif Claude Audran, conservateur des collections du palais du Luxembourg. Il a ainsi la possibilité d’étudier toute une série de toiles baroques de Rubens. En 1709, Watteau remporte le second prix de Rome. Il est agréé par l’Académie de peinture française en 1712, avant d’en être élu membre, en 1717. Watteau