Pale

sur une cellule » l. 6 « Au début un homme […]. Un autre homme […] ». « Au contraire » l. 12, « Deux autres ecclésiastiques » l. 15 Opposition des thèses qui s’exprime au travers du physique des deux hommes : Sepulveda est austère « au teint pâle » (l. 9) et érudit « homme de cabinet » (l. 10) ; Sa vision des choses est théorique et biblique. Tandis que Las Casas est un homme de terrain et d’expérience (60 ans ?) « homme d’action, au visage basané » (l.12). Il connaît les indiens pour avoir

au 6ième Nord, fraîchement opérée, après deux heures de post-op, elle était pâle, elle perdait beaucoup de sang, On décide donc de lui faire une ponction veineuse pour détecter sont hémoglobine. À 15 heures quarante, on reçoit le résultat du laboratoire avec un taux d’hémoglobine à 90 mmol/L. Le médecin voyant son résultat, lui prescrit du fer en comprimé. Vers 18 heures 30, la patient se sent faible, elle à le teint pâle, sa tension artérielle diminue, son pouls accélère, je regarde son drain, je

les clochers, ces mâts de la cité, Et les grands ciels qui font rêver d'éternité. II est doux, à travers les brumes, de voir naître L'étoile dans l'azur, la lampe à la fenêtre Les fleuves de charbon monter au firmament Et la lune verser son pâle enchantement. Je verrai les printemps, les étés, les automnes; Et quand viendra l'hiver aux neiges monotones, Je fermerai partout portières et volets Pour bâtir dans la nuit mes féeriques palais. Alors je rêverai des horizons bleuâtres, Des jardins

comme l'enfance, la folie, la musique, l'amour et la mort. L’image de la femme est au cœur de l’œuvre du poète. La femme est quelquefois idéalisée et, d’autres fois, présentée comme un être froid dans les poèmes « Rêve d’artiste » et « Gretchen la pâle ». Paragraphe 1 : Dans le sonnet intitulé « Rêve d’artiste », Émile Nelligan évoque l’image d’une sœur angélique qu’il présente aussi comme une muse inspiratrice. En effet, le portrait de la femme est présenté par Émile Nelligan sous l’angle d’une

découvre. Tout en lui évoque la force : " grand, fort ", | |" d'allure un peu lourde ", la sérénité : " l'air tranquille " (à opposer à la nature inquiète de Camille, à sa | |faiblesse), la santé : " le visage frais " (à opposer au visage pâle, blafard et verdâtre de Camille). | |L'aplomb que donne la force est également rendu par le rythme des phrases. Les appositions s’accumulent et certaines se | |répondent, comme dans la description du cou, partie la plus fascinante

décharné, dans une position étrange. Ses bras sont tordus, on dirait un pantin désarticulé se mouvant sur un fond jaune blanc . On remarque aussi la disproportion des bras par rapport au reste du corps. Le cou du personnage est crispé. La chair est pâle, le corps est nu, extrêmement maigre. Les os sont pointus. Sur certaines zones il y a une forte concentration de traits qui donne l’impression de le voir en transparence avec ses tissus et ses muscles. .

du jeune soldat, vers huit. Nous retrouvons une sorte de cliché du paradis, la nature, le chant de la rivière, les nuages (vers sept « nue »), un être couché sur l’herbe. L’adjectif « pâle » peut connoter la beauté, telle au XVIème ou XVIIème siècle, mais aussi la maladie. Un être malade ou mort est forcément pâle. Le premier tercet nous parle toujours de la nature. L’auteur nous parle des glaïeuls, fleurs que l’on met sur les tombes, les feuilles des glaïeuls symbolisent la mort. Rimbaud fait

deux chandeliers qui brûlaient. Emma, le menton contre sa poitrine, ouvrait démesurément les paupières ; et ses pauvres mains se traînaient sur les draps, avec ce geste hideux et doux des agonisants qui semblent vouloir déjà se recouvrir du suaire. Pâle comme une statue, et les yeux rouges comme des charbons, Charles, sans pleurer, se tenait en face d’elle, au pied du lit, tandis que le prêtre, appuyé sur un genou, marmottait des paroles basses.Elle tourna sa figure lentement, et parut saisie de

plonge directement dans une atmosphère oppressante où la nuit joue un role primordial.  Dans ce passage, la lumière connote la vie « seule lumière (..) comme pour accentuer (..) la vie»  et l’obscurité  connote la mort.  Le «rectangle de lumiere pale» nous projette dans une ambiance obscure, presque terrifiante. Cette idée est accentuée par l’expression « immobile dans cette nuit où le temps n’existait plus».    Grace a une focalisation interne, Les événements sont vécus par le lecteur en meme

une prostituée. Vincent explique: il veut exprimer la tranquillité et faire ressortir la simplicité de sa chambre au moyen du symbolisme des couleurs. Pour cela, il décrit : "les murs lilas pâle, le sol d'un rouge rompu et fané, les chaises et lit jaune de chrome, les oreillers et le drap citron vert très pâle, la couverture rouge sang, la table à toilette orangée, la cuvette bleue, la fenêtre verte", affirmant : "J'avais voulu exprimer un repos absolu par tous ces tons divers". Un certain isolement