Pancrace

le corps huilé enduit de poussières. Les lutteurs se battent debout et doivent faire toucher terre à l'adversaire trois fois sur les épaules. Le pugilat est les avant-bras et les mains entourés de lanières de cuir hérissées de boules de plomb. Le pancrace la plus meurtrière. Elle combine la lutte et la boxe, tous les coups étant permis. Il n'existe pas de catégories de poids. La course de char: le dirigeur de la course de char s'appelle l'aurige. La course en arme: longue de deux stades

boxe française, le kickboxing, la Boxe khmère,la boxe birmane, la boxe thaï, le Chauss'fight et le sanda, Boxe • Toutes les parties du corps sauf la gorge, la colonne vertébrale et les parties génitales dans le combat libre (free-fight), MMA, pancrace et d’autres sports de combats de percussion et préhension à la fois. 2 Les armes Les moyens mis en œuvre pour atteindre ces cibles sont définis par les « armes » corporelles utilisées : • • • • Poings dans la boxe anglaise, Poings et pieds

pieds-poings ou tous les coups sont portés au-dessus de la ceinture, Boxe khmère ou kun-khmer (B.K) Boxe thai ou muay thai(B.T). Vidéo: boxe thai Kick boxing américain (K.B) et le kick boxing japonais (oriental rules), Pancrace et combat libre (en anglais « free-fight » ou MMA) (F.F) qui mélangent grappling et boxes pieds-poings . 2 Histoire La boxe anglaise a été admise aux Jeux Olympiques lors de la session du CIO tenue à Paris en 1901. Les premières épreuves

les esclaves et les barbares et une seule femme, la prêtresse de Déméter. Les jeux s’accompagnaient de cérémonies religieuses (sacrifices, cortèges appelés théories). Les jeux duraient de 5 à 6 jours : course à pieds ; pentathlon ; course ; lutte ; pancrace et course de chars. Mais à cotés des épreuves sportives, il y avait une effervescence intellectuelle, mais pas sous forme de concours à Olympie. Les Nazis ont eu cette idée de récupérer les jeux, et que le physique compte beaucoup pour avoir une

en prenant les meilleurs. - Le pentathle : concours de 5 disciplines ; course, saut, lancer du disque, lancer du javelot et lutte - Le pugilat, les athlètes enroulaient autour de leurs mains des lanières en cuir avec de piques, 688 av JC - Le pancrace qui signifie tout et force, combinaison de lutte et de pugilat - La danse (pyrrhique) ; faites par les soldats est présente lors e Olympiades surtout pratiqué à Sparthe , avec un javelot et un bouclier - Course de chevaux et char, montrer la force

que le mot sport n’existe que depuis tout au plus trois siècles en Angleterre et s’origine dans l’ancien français « desport » (amusement, distraction). Dans l’Antiquité, grecque ou romaine on parle de gymnastica, d’athlética, de pila, de globus, de pancrace, de ceste... mais jamais de sport... Le sport, au départ, dans l’Aristocratie terrienne puis la grande bourgeoisie, ce sont des paris sur les chevaux puis les hommes, en Grande-Bretagne. Il s’origine aussi dans la plupart des jeux paysans traditionnels

Malgré la flamme qui s’éteint, promesse est ainsi faite de se retrouver dans quatre ans. 15 QU’EST-CE-QU’UN SPORT OLYMPIQUE ? La course, le lancer du disque, le lancer du javelot, le saut en longueur, les sports de combat (lutte, pugilat, pancrace) et les concours équestres (courses de char et de cheval monté) figuraient au programme des Jeux Olympiques de l’Antiquité. Si la majorité des sports antiques se retrouvent au programme des Jeux Olympiques modernes, celui-ci a connu, en un peu plus

la boxe anglaise du XVIIIe siècle. Elle consiste à mettre KO l'adversaire (ou à le faire abandonner) en un round unique ; les coups sont portés presque uniquement à la tête, ce qui favorise la garde haute, bras tendu80. La dernière épreuve est le pancrace (παγκράτιον / pankrátion), un sport très brutal qui recherche également la mise hors de combat de l'adversaire, sans autre interdiction que de mettre les doigts dans les yeux de l'adversaire81. La course en armes (ὁπλίτης δρόμος / hoplítês drómos)

prévoyaient un accouchement difficile, mais c’est Sainte Cunégonde qui était la patronne des enfants et des femmes enceintes. Jusqu’au siècle dernier, les femmes enceintes se rendaient en pèlerinage à Eschbach (ou dans les églises consacrées à Saint Pancrace) pour prier afin que l’accouchement se passe au mieux et que l’enfant naisse sain. (1)"Venir au Monde", Lise Bartoli, Payot. (2)"France, terre de sorciers" de Marie-Odile Mergnac, Anne-Claire Dejean, Max Déjean, et Jacques Lambert, éditions broché

“mois” peut sembler condescendant, et le qualificatif “pré-moderne” n’est pas sans relents évolutionnistes. L’abondance de ce qu’on pourrait appeler des ana-topismes (parler, dans un contexte amazonien, de “pintes de bière”, de “cantilènes”, de “pancrace”, d’”encre d’or”, de “dandy” ou de “pot-aufeu”, par exemple) fera certes sourire les connaisseurs, mais risque de conforter l’ethnocentrisme du grand public, de même que les évocations (entre autres) de la Joconde ou de l’épiphanie! Enfin, et peut-être