Panique bancaire américaine de 1907

p.4 a) Rappel historiques. b) Quelques généralités. II. Atouts et Spécificités du système bancaire suisse. p.12 a) Présentation du système bancaire suisse. b) Les avantages du système bancaire suisse sur le système français. c) La Suisse est-elle un paradis fiscal ? III. Faiblesses et limites du système bancaire suisse. p.21 a) Le secret bancaire et ses fondements. b) Les faiblesses par rapport à la France. c) Le cas UBS. Conclusion.

dévaluations de monnaie et les décisions de politique économique unilatérales avaient aggravé les tensions internationales. Le nouvel ordre économique proposé par le représentant américain Harry Dexter White reposait sur trois règles : • Chaque État devait définir sa monnaie par rapport à l’or, ou au dollar américain lui-même convertible en or. Il en découlait pour chaque monnaie une parité officielle en or ou en dollar (système dit d’« étalon de change-or » ou « gold exchange standard »).

banques commerciales dans le cadre de la politique monétaire, de surveiller et gérer les systèmes de paiement liés en particulier à la compensation des chèques et des virements interbancaires et, dans certains pays, de surveiller la solidité du système bancaire et financier. Les banques les plus anciennes, Banque d’Angleterre (1694), Banque de Suède (1666) ou plus récemment la Banque de France (1800) n’avaient pas été conçues comme des institutions centrales mais seulement comme des instituts d’émission

ont des impacts marqués, voire douloureux. Par exemple, la dernière crise en date, celle dite des « subprimes », a fait disparaître trois banques d’investissement américaines (Bear Stearns, Merrill Lynch et Lehman Brothers) sur cinq, les deux qui restent ne sont plus vraiment des banques d’investissement et le secteur bancaire subit C o m p r e n d r e l e s c r i s e s f i n a n c i è r e s 14 © Eyrolles Pratique d’importants licenciements. L'effet des crises ne reste pas cantonné au secteur

commentaires suscités par ces évolutions témoignent des espoirs et des craintes qu'inspirent les banques centrales, ces « banques au second degré» (Rivoire, 1986, 5) chargées de l'émission des billets, de la garantie en dernier ressort du système bancaire ainsi que, souvent, de la stabilité de la monnaie!. On pourrait illustrer ces attitudes opposées d'espoirs et de craintes avec deux citations chères à l'un des meilleurs connaisseurs de ces institutions, JeanPierre Patat (1972, 1; Lévy-Leboyer, 1995

de 5 ans et phase de dépression de 7 ans. 2) Le cycle 1832-1842 et la crise financière de 1836 Dans cette phase d’expansion, le chemin de fer se développe rapidement (boom qui entraîne les secteurs de la sidérurgie et du charbon) ; le système bancaire se développe et les sociétés par actions se multiplient. L’expansion se traduit alors par une hausse des exportations (GB surtout). Mais la situation va se retourner en 1837 : l’activité s’est sensiblement ralentie à partir de 1836. Tout d’abord

rivalités coloniales. Exemple : * En 1895 : les cubains se révoltent contre l’Espagne, c’est pourquoi les Etats-Unis entrent en guerre contre les espagnols. Ainsi en 1898 ; les espagnols doivent céder cuba, Porto Riccio et les Philippines aux américains. * Entre 1899 et 1902 : la guerre des boers oppose l’armée britannique aux descendants des Colomb hollandais installés en Afrique du Sud depuis le XVIIème. Dans ces deux exemples, les espagnols et les britanniques vont installer des camps

la boule des NTIC en 2000) Spéculation se répercute sur l'économie : ◦ mouvement de hausse des taux d'intérêt (résultant du besoin de monnaie et de politiques restrictives des autorités monétaires) ◦ krach entraîne des difficultés en liquidité bancaires et industrielles qui freinent l'investissement Crise permet alors de "purger" les excès spéculatifs (une réponse aux perturbations) La spéculation toujours renouvelée : Reinhart et Rogoff (Cette fois ce sera différent, 2009) Kindleberger – Manias

Document produit par: HARRIZI Meryem HALIMI Zineb HADDOUT Ilyass Introduction : Chaque crise financière met en cause de rôle, réel ou supposé, des agences de notations. A l'origine de ces institutions : un Krash, déjà. C'est après la panique bancaire de 1907 qui a poussé son entreprise de « diagnostic crédit » à la faillite, que l'Américain John Moody crée, en 1909, la notation de la dette. Dès la seconde moitié du 19ème siècle, des analystes évaluent les risques pris par les créanciers et indiquent

comprend la bourse des capitaux et des actions mais également la banque, c'est-à-dire que les britanniques ont su au fil du temps inventé la banque moderne mais également implanté des réseaux bancaires très efficaces. Ces réseaux bénéficient des dernières technologies. Les britanniques récoltent l’information bancaire et financière partout, pour être informé avant les autres de ce qu’il se passe dans le monde, c'est-à-dire de tous les événements susceptibles d’influencer la demande et l’offre. Ce réseau