Pansement compressif

doit être comblée. De même, elle est contre indiquée sur les lésions tumorales (risque d’évolution de la masse tumorale), les fistules non explorées, les vaisseaux ou organes exposés (susceptibles de ne pas supporter la dépression exercée par le pansement) et les ostéomyélites non traitées. Elle doit être mise en place avec précaution et sous surveillance si la plaie saigne (risque hémorragique), si le patient présente des troubles de la coagulation, ou s’il y a infection et/ou présence de fragments

si je connais son pansement. Je lui répond que oui je connais monsieur X et que j'ai fais il y a 2 jours son pansement, un peu étonnée de la question je me demande pourquoi il me la pose, quand il me dit « Si vous pouviez venir voir, on dirait qu'il n'a pas été refait depuis puisque il est très sale » Encore plus surprise en voyant l'heure, je vais dans la chambre accompagné des enfants de monsieur X, il avait un ulcère a la jambe droite. Effectivement en regardant le pansement je constate qu'il

l'infirmière (2) et préparé la perfusion: j'ai retiré l'emballage de la perfusion sans le jeter ce qui m'a permis de garder un champs propre. J'ai regardé sur la perfusion la date de péremption, la limpidité du liquide. J'ai ouvert les emballages du pansement, du cathéter et de la compresse sans les toucher. J'ai mis également de l'alcool sur la compresse pour désinfecter la peau de la patiente avant l’implantation du cathéter. Pour préparer la poche de NaCl, il a fallu ouvrir l'opercule situé en bas

PROTOCOLE EN VIGUEUR Un plateau décontaminé avec : - des gants (non stériles) - un corps de pompe - des aiguilles spécifiques (deux) - un garrot décontaminé - compresses non stérile: 1 sèche, 1 avec de l’antiseptique - sparadrap ou pansement - tubes récepteurs Technique : lavage hygienique des mains Respecter le triangle d'hygiène, de sécurité et d'ergonomie : Propre (matériel) – Patient – Sale (poubelles). Mettre le garrot 10 cm au-dessus du point de ponction et vérifier la

eau sur le savon antiseptique afin de le diluer), le sérum physiologique, l’antiseptique dermique, laisser un paquet de compresses sèches. Ouvrir le sachet des gants stériles. Déposer dans le champ stérile des gants, le cathéter (cathlon), le pansement transparent occlusif stérile, la poche pour perfusion, la tubulure stérile. Choisir et vérifier l’état cutané de la zone de ponction : Régions latérales de l’abdomen. Face antéro-latérale des cuisses. Si besoin, dépiler la zone à perfuser avec

 Analyse de pratique professionnelle Le soin que j' ai choisi de présenter pour mon analyse de pratique est un pansement d'escarre au niveau du sacrum par V.A.C thérapie ou par pression négative réalisé lors de mon stage dans un cabinet d' infirmières libérales à Sassenay en Saône et Loire. Le patient concerné est âgée de 81 ans, de corpulence et de taille moyenne, il est tétraplégique ( paralysie des quatre membres ) depuis 2009 suite à une

par contre il veut bien que je lui fasse son pansement. Je prend cette avancée comme un encouragement et je lui explique comment se déroulera le pansement. ( protocole bétadine 4 temps+bétadine gel+bétadine tulle+compresses+bande) A mon grand étonnement il me demande même des conseils par rapport à la propreté du bandage, je suis agréablement surpris de voir qu'il adhère et qu'il s'investit dans son soin, je le quitte après avoir fait son pansement et lui avoir donner rendez-vous le lendemain,

l'aiguille. J'attrape le pansement transparent occlusif stérile, je retire la moitié de sa protection, pour le coller sur la peau de Mme C. et pour permettre de laisser l'aiguille bien en place. En faisant attention de ne pas faire de plis sur la peau je dépose l'autre moitié du pansement en le guidant la paume de ma main. Je garde toujours un œil sur le débit de la perfusion, car si le pansement est mal placé ou trop serré, le débit s'arrêterait et il faudrait à nouveau faire le pansement. J'observe que le

dans un sac poubelle qu’elle a préparé au préalable. Elle prend ensuite le pansement qu’elle ouvre puis le cathéter,toujours sans mettre de gants, fait un pli cutané et pique la jambe de la patiente. Pendant qu’elle piquait celle-ci a laissé l’emballage du cathéter sur le lit de la patiente et collé le pansement sur la barrière du lit pour le prendre plus facilement. Elle place une compresse sous le cathéter, prends le pansement et le fixe. Pour finir, elle vérifie que la perfusion coule, prends l’emballage

afficher, près de l'armoire à pharmacie et du téléphone les numéros d'urgence : celui du Samu (15 ou 112), les pompiers (18 ou 112), le numéro du centre anti-poison le plus proche de votre domicile et celui de votre médecin traitant. Antalgiques, pansements... Ce qu'il faut avoir L'armoire à pharmacie familiale est destinée à soigner seul, de façon responsable évidemment, les petits maux du quotidien : mal de tête, douleurs musculaires, mal de gorge, etc. Attention : si l'automédication peut