Pantagruel

 GARGANTUA : • 2ème roman de Rabelais sur le gigantisme (le 1er étant Pantagruel, c le père de Gargantua.) écrit en 1534 • Il conte les années d’apprentissage et les exploits guerriers du ccc géant Gargantua

jours Séquence 1 – Séance 1 Thème : portraits de héros Œuvre : Gargantua Auteur : F. Rabelais (1494-1553) Date de parution : 1534 Courant littéraire : humaniste Support : Document Introduction : François Rabelais (1494-1553) Œuvres principales : Pantagruel 1532 Gargantua 1534 Il fut également moine et médecin au cours de sa vie Il représente à lui seul l’esprit humaniste Extrait de Gargantua Dans cet extrait on voit frère Jean des Entommeures, un des moines de l’abbaye de Seuilly, combattre les guerriers

Le comique dans Gargantua de François Rabelais : En 1534, François de Rabelais écrit Gargantua Pantagruel, une œuvre drôle et satirique parodiant les diverses personnalités de l'époque, qu'elles soient politique ou religieuse. Rabelais les critiques de façon implicite et toujours avec la vision ironique de ses personnages. En quoi Gargantua Pantagruel, relève t-il du comique ? Une comédie scatophile : Rabelais toujours en essayant de faire rire ses lecteurs, leurs propose de suivre

évangélique, médecin et écrivain humaniste français de la Renaissance, né à La Devinière à Seuilly, près de Chinon (dans l’ancienne province de Touraine), à une date indéterminée entre 1483 et 1494, et mort à Paris le 9 avril 1553. Ses œuvres, comme Pantagruel (1532) et Gargantua (1534), qui tiennent à la fois du conte avec leurs personnages de géants, de la parodie héroï-comique de l'épopée et du roman de chevalerie mais qui préfigurent aussi le roman réaliste et satirique, sont considérées comme une

on a perçu des idées humanistes. Rabelais a notamment l'envie de faire rire. C'est oeuvres sont en effet moins sérieuses qu'elles n'y paraissent ( et moins que celles de Montaigne). On y retrouve du comique, du grotesque et un aspect farcesque. Pantagruel ( le fils), écrit avant Gargantua ( le père); Il écrit un discours à son fils Pentagruel qu'il a envoyé à Paris pour étudier.Dans cette lettre il écrit un long discours d'exhortation pour le convaincre des formidables apports intellectuels du siècle

alors Pantagruel, sous le pseudonyme d’Alcofribas Nasier, 1 ans après , Pantagruel est condamné par la Sorbonne, faculté de théologie de Paris. Sa réputation de médecin lui vaut la protection de l’évêque de Paris, Jean Du Bellay, futur cardinal. Il décide donc de se réfugier à Rome et de commencer des recherches en botanique, en pharmaceutique et en archéologie. De retour en France, il reprend ses fonctions à l’hôtel Dieu et publia, La Vie très horrifique du grand Gargantua, père de Pantagruel. L’ouvrage

évangélique, médecin et écrivain humaniste français de la Renaissance, né à La Devinière à Seuilly, près de Chinon (dans l’ancienne province de Touraine), à une date indéterminée entre 1483 et 1495, et mort à Paris le 9 avril 1553. Ses œuvres, comme Pantagruel (1532) et Gargantua (1534), qui tiennent à la fois du conte avec leurs personnages de géants, de la parodie héroï-comique de l'épopée et du roman de chevalerie mais qui préfigurent aussi le roman réaliste et satirique, sont considérées comme une

protection royale qui lui servira lors de son procès à cause de son livre, Quart Livre.    La présentation assez différente de son œuvre romanesque comme un ouvrage en cinq livres : le Gargantua, qui est le « Premier Livre », a été écrit après le Pantagruel et onze années séparent sa composition de celle du Tiers Livre. Si la lettre qu'il reçoit de Gargantua semble en proposer la solution aux méthodes de l'humanisme moderne, demandant à son fils de devenir un scientifique tout en continuant à craindre

valeurs antiques. Il appartient au courant de l’humanisme qui se développe en Europe au XVème siècle et se réfère aux œuvres des grecs et des romains anciens. Cet extrait est inscrit dans l’œuvre Gargantua publié en 1534 qui est l’histoire du père de Pantagruel écrit en 1532.Ainsi dans le chapitre 57 qui constitue l’épilogue de Gargantua, Rabelais décrit un lieu merveilleux, idéal et utopique : L’abbaye de Thélème. En quoi cette Abbaye est une utopie qui illustre les valeurs de la Renaissance ? L’étude

la chasse aux impies. Dans une masure près du château de son protecteur, vit Rabelais qui soigne les pauvres et malades, étudie et raconte sa vie à son jeune disciple. Ses amis Jean du Bellay et Philibert de l’Orme le pousse à écrire la suite de Pantagruel, ce qu’il finit par faire. Mais cela entrainera « sa fin » car le cardinal Jean du Bellay le trahit. Rabelais finira sa vie seul sans le sou dans une petite chambre qu’il loue, pour les derniers jours de savie il ne peut compter que sur la fidélité