Pantoufle

((Diurétique de l’anse)Il est utilisé dans le traitement de l'hypertension artérielle et des œdèmes.) Caractéristiques physique et psychologique : Dame de 87 ans avec une obésité sévère. Porte des robes ainsi que un pantalon avec 3 gilets et des pantoufles. Incontinente urinaire Mme pour une protection ainsi qu’une petite serviette (bambinette) a l’intérieur. Mme L se déplace très difficilement avec un déambulateur et ses cannes. Elle ne sort pas du tout, elle passe ses journées chez elle. Néanmoins

homme grigou qui profitait de la richesse des autres et une personne mesquine. Pour remplacer le beau linge qu’il portait plus jeune, il acheta quelques calicots qui valent que quelques écus. Il devait quitter tout son costume cossu pour porter des pantoufles grimacées. Il portait encore un gilet blanc mais qui était sale et son jabot de grosse mousseline qui était recroquevillé. Il n’avait plus la force de se changer, et portait encore les mêmes vêtements qu’auparavant. Enfin, cet homme semblait avoir

vite de la clientèle pressée. En retournant vers l’entrée de son magasin, une odeur écœurante lui parvient aux narines. Madame Smith repère instantanément d’où vient la puanteur. Un petit homme aux yeux plissés, vêtu d’un pyjama sale, et d’une pantoufle déchirée marche en pleine route, la tête baissée. Le regard de madame Smith croise un court instant celui de l’étranger, avant que celui-ci ne déguerpisse. La vieille femme se remet vite au travail. Elle remplit plusieurs pots de terre, et veille

précisément dans ce passage. En effet, le récit revêt une forme de gigantisme. Tout d'abord dans la prolifiération du langage qui se manifeste par des énumérations et des accumulations de termes. Ainsi, la grande variété d'objets ( "couvrechef, oreiller, pantoufle..." ), d'animaux ( une poule, un coq, un lièvre, un poulet...), de matière ( velouté, taffetassé, satinisé...) établit un rapport étroit de l'enfant avec son environnement qu'il badigeonne d'excréments ( comme un animal marquerait son territoire

Théophile Gautier lui-même) en témoigne d’ailleurs par ce parallélisme: «Le soir il ne se fût pas regardé dans une glace pour un empire, de peur d’y voir autre chose que sa propre figure; il n’eût pas fourré sa main sous son lit pour y prendre ses pantoufles ou quelque autre ustensile, parce qu’il craignait qu’une main froide et moite ne vînt au-devant de la sienne, […]» (p. 23). En somme, Onuphrius est tellement impressionnable qu’il deviendrait susceptible d’évoluer vers un état de folie, cela

remet en question les fausses promesses du rêve américain. Description de l’œuvre : La structure représente une femme qui est moulée en grandeur réelle. Celle-ci pousse un caddie. -Elle est enrobée (opulence alimentaire), elle est chaussée de pantoufles pour la maison montrant la mollesse, elle porte une jupe bleue et un haut jaune. Elle a une cigarette aux lèvres (la cigarette est un produit de consommation de masse comme un autre à cette époque), elle porte des bigoudis dans les cheveux, elle

lorsqu’il voulut savoir d’où elle venait, rentra chez elle, retira ses habits et fit comme de rien n’était. Le même manège se répéta trois fois mais la troisième fois, elle perdit l’une de ses chaussures en or. Le prince la ramassa et fit essayer la pantoufle aux belles-sœurs. La première, le pied étant trop grand, se coupa l’orteil et du sang coula dans la chaussure. L’autre sœur essaya la chaussure et se coupa le talon, le sang coula. Le prince le remarqua les deux fois grâce aux oiseaux et demanda

précieuses = instrument naturel, cour du roi = âne d’or. - Cendrillon ou la petite pantoufle de verre  : Passe la soirée au bal, y retourne le lendemain et cette fois elle part à 00h. Epouse le prince et pardonne à ses demi-sœurs. ✎ Merveilleux : baguette magiq, métamorphoses. Rêve de j f. Cendres = symbole de deuil et de foyer paternel. Pantoufle de verre = symbole érotq. Jeu ac le merveilleux par correspondances comiq ex : lézards > laquais, réputés

Adolf Dassler (plus connu sous le nom d'Adi Dassler) est le fils d'un savetier bavarois qui se spécialise dans les pantoufles, lequel fabrique des chaussures de sport depuis les années 1920. Les frères Adolf et Rudolf Dassler étaient propriétaires, chacun pour moitié, de l'entreprise Schuhfabrik Gebrueder Dassler (fabrique de chaussures des frères Dassler) à Herzogenaurach près de Nuremberg, qu'ils géraient ensemble. Adolf créait les chaussures et organisait leur fabrication ; Rudolf les vendait

découvrons un portrait physique, de la maîtresse des lieux, qui est aussi précis que la salle à manger dans laquelle elle se trouve. En effet, nous sommes en premier lieu en présence de détails vestimentaires « affiné de son bonnet de tulle », « ses pantoufles grimacées », puis l’auteur s’attarde durant quelques lignes sur le développement corporel de Mme Vauquer, néanmoins très péjoratif « dodue », ainsi que sur les expressions du visage «  dont l’expression passe du sourire prescrit aux danseuses à