Pantoufle

                    Inventaire :                    La Barbe bleue : deux soeurs et deux frères                    Le Maître Chat ou le Chat botté : trois frères                    Les Fées : deux soeurs                    Cendrillon ou la petite pantoufle de verre : deux soeurs et une demi-soeur.                    Riquet à la houppe : deux soeurs                    Le Petit Poucet : sept frères ( et sept soeurs)                    Des soeurs et des frères différents     Le merveilleux dans les contes

Contes du temps passé (1697). Ce volume contient les huit contes en prose suivants : * La Belle au bois dormant * Le Petit Chaperon rouge * La Barbe bleue * Le Maître chat ou le Chat botté * Les Fées * Cendrillon ou la Petite Pantoufle de verre (« verre » étant la graphie exacte utilisée dans l'édition originale de 1697)[8] Cendrillon * Riquet à la houppe * Le Petit Poucet Ce recueil subit deux contrefaçons la même année : l'édition de Jacques Desbordes, à Amsterdam

Perrault retranscrit et donne les premiers contes de fées. Son volume comporte donc huit titres en prose de : La Belle au Bois Dormant, Le Petit Chaperon rouge, La Barbe bleue, Le Maître chat ou Le Chat botté, Les Fées, Cendrillon ou la Petite Pantoufle de verre, Riquet à la houppe, et Le Petit Poucet. Il existe trois autres contes en vers qui ont été rédigés antérieurement, mais qui sont cependant rattachés à ce volume. Nous trouvons : La Marquise de Salusses ou la Patience de Griselidis (1691)

vouloir la tuer. Le plaisir est ainsi la motivation principale des contes des Mille et Une nuits. Dans Aladin, le surnaturel se présente sous la forme du génie qui sort de la lampe. Le surnaturel est également présent dans Cendrillon ou La petite pantoufle de verre de Charles Perrault lorsque sa marraine la fée use de ses pouvoirs magiques pour lui faire une robe de bal, transformer une citrouille en carrosse, les souris en chevaux et le cheval de la ferme en cochet. Le plaisir engendré par ces contes

sous-marin, fascine le lecteur puisqu’il s’agit d’un monde inconnu. Ses descriptions superbes et ce voyage à la fois passionnant et étonnant transporte le lecteur et le plonge dans des aventures extraordinaires. Enfin, « Cendrillon ou la Petite Pantoufle de verre » de Charles Perrault qui est un conte de fée, raconte l’histoire d’une jeune fille esclave de sa belle-mère, elle-même jalouse, et qui un jour se rend à un bal, puis rencontre le prince et tombent tous deux amoureux et se marient. La féerie

doré, les souris ont été changées en six beaux chevaux, le rat a été transformé en un gros cocher et les six lézards sont devenus six laquais. Finalement la marraine transforma les habits de Cendrillon en des habits magnifiques avec une paire de pantoufles de verre. Seule une conseille a été dite à Cendrillon. Elle dut retourner avant minuit parce que toute la magie disparaîtra et tous les éléments que la marraine a changés reprendraient leurs formes originales. Cendrillon passa un temps magnifique

elle ne peut s’empêcher d’être triste, aussi, sa marraine la fée, lui offre-t-elle la possibilité d’assister au bal (citrouille= carrosse ; souris = chevaux ; rat= cocher ; lézards = laquais ; hardes = riches vêtements ; + en cadeau : une paire de pantoufles de verre, toutefois elle donne une condition, elle ne doit pas rester à la fête au-delà de minuit, sinon les prodigieuses transformations prendront fin. Au bal, elle fait sensation, elle est admirée de tous, même de ses sœurs qui ne peuvent pas

que j'irai comme cela avec mes vilains habits? Sa Marraine ne fit que la toucher avec sa baguette, et en même temps ses habits furent changés en des habits de drap d'or et d'argent tout chamarrés de pierreries ; elle lui donna ensuite une paire de pantoufles de verre, les plus jolies du monde. Quand elle fut ainsi parée, elle monta en carrosse; mais sa Marraine lui recommanda sur toutes choses de ne pas passer minuit, l'avertissant que si elle demeurait au Bal un moment davantage, son carrosse redeviendrait

« Caprices », V. TEXTE : Monsieur Prudhomme Il est grave : il est maire et père de famille. Son faux col engloutit son oreille. Ses yeux Dans un rêve sans fin flottent, insoucieux, Et le printemps en fleurs sur ses pantoufles brille. 5 Que lui fait l'astre d'or, que lui fait la charmille Où l'oiseau chante à l'ombre, et que lui font les cieux, Et les prés verts et les gazons silencieux ? Monsieur Prudhomme songe à marier sa fille Avec

du personnage. Les attributs vestimentaires sont exagérés, le faux col est démesuré, il engloutit l'oreille >personnification > faute de goût. Rejet externe «  ses yeux » >le rythme laisse penser qu’il est aveuglé par soucis apparence. Il est en pantoufles >qui brillent >accentue le caractère ridicule du bourgeois. Ainsi que La diérèse de Monsi/eur (i-eu) au vers 8 accentue le caractère pompeux et ridicule du personnage. *Attitude trop sérieuse :Jeux de mots « maire et père » > pas de différenciation