Paon bleu

une orange) - fiche individuel d’une boite de crayon de couleur Etape Durée Modalité Consignes / Tâches Remarques 1 Collectif 10’ Réactivation des connaissances Les couleur vues précédemment sont notées au tableau: rouge, jaune, vert, bleu, blanc, noir, gris, violet, marron et beige. Afficher six images en couleur : le soleil, le ciel, une rose rouge, l'herbe, la neige et une orange au tableau. Relié la couleur des objets au mot anglais correspondant et noter la traduction. Ecrire

personnes : la grand-mère, la mère avec un bébé et trois enfants. Hagards, visiblement épuisés, maigres, blafards, ils traînent quelques objets : deux sacs et une poupée (symboliquement la tête en bas). Les couleurs sont froides (blanc, gris, vert, bleu).- Tout à gauche, devant, un bras anonyme, armé d'un fusil leur barre la route : c'est un SS. On le devine droit, raide, inflexible, déterminé et sans pitié. IL représente le Mal absolu, celui qui donne la Mort.- En arrière-plan, à droite, tout au

de l’instant fugitif. Il empreinte aux impressionnistes la palette de couleurs et le jeu des complémentaires. Ici, le bleu et le jaune orangé pour le personnage mais aussi le vert et rouge, le jaune et violet pour les paysages et les figures Japonaises. Primitivisme. Van Gogh croit à l’importance de la couleur pour traduire l’état d’esprit du modèle représenté. Le veston bleu est aussi composé de jaune. Les stridences d’une palette sauvage viennent ébranler l’art nuancé de la tradition française

principal. Ses souliers à talon sont noirs, elle porte des perles aux oreilles, un chapeau en fourrure, une robe grise cintrée, un sac à main noir Chanel et des lunettes de soleil Rayban. Lui, porte une veste de complet bleu marine, une chemise blanche, une cravate rayée rouge et bleu, un pantalon cintré gris avec une ceinture et ainsi qu’un manteau qu’il tient aux bras. Ils sont tout les deux très chics malgré le faite qu’ils n’aient pas de revenu, de moyens personnels. C’est parce qu’ils vivent

mes parents. Tout ceci se trouve à la fin d’un corridor. Aussitôt qu’on entre dans la pièce, la première impression qu’on a c’est la tranquillité, car c’est propre. On remarque que tous mes meubles sont d’un teint beige et s’y trouve des taches de bleu pâle. La pièce est de forme carré et l’entrée se trouve dans le coin droit de la chambre. À gauche, on aperçoit une grande fenêtre. Au fond, s’y trouve un miroir de forme ovale sur la hauteur. Juste à côté, on découvre une grande commode large avec

Les objets et l’espace de la chambre: Le mobilier est simple et sobre, Van Gogh a peu d’argent et ne possède que l’indispensable: Un lit, deux chaises, une table avec une cuvette et une cruche d’eau pour la toilette, une serviette suspendue à un clou, à côté d’un miroir. Les tableaux accrochés aux murs sont de lui: Un paysage sur le mur du fond, deux portraits (dont un autoportrait) et deux dessins sur papier. "C'est cette fois-ci ma chambre à coucher, seulement la couleur doit ici faire la chose

d’une grande aisance de substituer le « T » au moulin. Ensuite, le mot « Ville » possède une forme d’écriture digitale, semblable aux écrans des nouveaux outils informatiques qui sont synonymes de progrès et de modernité. Le mot « Ville » est écrit en bleu, qui transmet une image de propreté, de fraîcheur et d’espace à la ville. Avec, tous ces éléments en main, une étudiante du lycée Raymond Loewy de la Souterraine spécialisée dans le design nous a aidé à mettre en forme le futur logo. Le slogan : « Le

fond. Je me sens bien. Je m'imprègne de ce qui m'entoure. J'entrouvre un œil, comme pour juste me délecter de chaque petit morceau de paysage. Levant mon regard vers le ciel étoilé, j'ai l'impression de ne plus être complètement moi. Dans mon regard bleu nuit doit se refléter chaque étoile. La lune, pour ses sujets, s'est majestueusement parée, se montrant dans son plus bel habit. Et pour mieux impressionner, nous permet de la contempler une seconde fois. J'incline ma tête en direction du lac, où se

une inversion de leur perspective. Les tableaux datant de cette période sont difficilement lisibles car les peintres représentent toutes les facettes de l’objet en fragments. La couleur est presque inexistante, seul le gris, le brun, le vert et le bleu terne sont utilisés mais la lumière occupe une place très importante dans ces tableaux. Les artistes analysent les éléments pour par après les disloquer et les recomposer selon des lois vraiment loin de celles de la vraisemblance. Durant cette phase

Description de l'oeuvre: «Je me promenais sur un sentier avec deux amis — le soleil se couchait. Tout d'un coup le ciel devint rouge sang. Je m'arrêtais, fatigué, et m'appuyais sur une clôture. Il y avait du sang et des langues de feu au-dessus du fjord bleu-noir et de la ville. Mes amis continuèrent, et j'y restais, tremblant d'anxiété. Je sentais un cri infini qui se passait à travers l'univers et déchirait la Nature.» Au premier plan, nous voyons un homme déformé qui ce serre les tempes avec ces deux