Parabase

coryphée. Or, ce dernier parle aux spectateurs. "je ne suis plus dans le jeu" : => 2 sens 1- il n’a plus rien à faire. 2- il n’est pas dans la pièce, il est au devant du rideau. La situation est intermédiaire, comme la parabase des comédies antiques. Il joue donc le rôle de la parabase. "ce que la pièce ne pourra pas vous dire" : Le lamento est une réflexion de Giraudoux sur le genre théâtral, et sur la relecture qu’il présente en particulier. Comment a-t-il modernisé le mythe ? Quelle est la nouvelle

toi. Ainsi, tout ce que tu diras sur son compte quel chenapan il fut de son vivant, quel délateur et quelle grande gueule quelle baratte à brasser la pagaille et tout et tout… »[21] Plus loin, dans le moment très particulier que constitue la parabase (l'intermède selon la traduction de Victor-Henri Debidour), le coryphée, parlant au nom du dramaturge, se livre à un tableau joyeusement insultant : -7Cercle de Réflexion Universitaire du lycée Chateaubriand de Rennes Yves Touchefeu : "Enjeux

I/ Le lamento, tradition et modernité - La didascalie initiale =c'est l'entracte. = "je ne suis plus dans le jeu". -Le jardinier s'adresse aux spectateurs = apostrophes. -Pas si c'est le personnage ou l'acteur qui parle = tradition = la parabase. -S'est inspiré tragédie grecque pr créer le lamento. le jardinier = du Coryphée. -ellipse théâtrale + l’ellipse de la nuit. = modernité theatraleplace du lamenteau. -Le jardinier = ambiguë entre fiction / réalité. =Rappel qon es ds le tragédie=

trompé, il guette Suzanne qui a donné rendez-vous au Comte. C'est l'occasion pour lui d'exprimer toute son amertume dans un monologue demeuré célèbre. I- Le monologue : 1- Définition Convention purement artificielle; origine grecque (la parabase); Les discours sont satiriques, l'intérêt dramaturgique échappe à Figaro, il est naturel ; Il y a des quiproquos => le spectateur sait ce que l'acteur ne sait pas. 2- Les procédés dramaturgiques a) Les didascalies "Il s'assied sur un

octets) Le désir de Marceline a failli engendrer un inceste. arrow32.gif (570 octets) Le long monologue de Figaro, par son contenu, sa tonalité pathétique sied mal à une comédie légère. Beaucoup s'accordent à dire que ce monologue est proche de la parabase de la tragédie antique et si Figaro nous a beaucoup amusé jusqu'à la fin de l'acte IV, force est de constater que le lecteur/spectateur est enclin à plaindre ce valet qui ne sait lus qui il est et où il va. arrow32.gif (570 octets) Enfin, si la

à une parabase : dans la comédie antique, illustrée par Cratinos ou Aristophane au Ve siècle avant notre ère, l’action s’interrompait au milieu de la pièce. Le coryphée, ou l’un des personnages, s’avançait sur la scène, et s’adressait directement aux spectateurs, pour commenter et vanter le spectacle en cours, et exprimer les souhaits de l’auteur, ou ses exhortations à ses concitoyens. Puis l’action reprenait. À remarquer ici encore le mélange des genres, puisque le procédé de la parabase est propre

l'antiquité, la dignité et les droits de leur race qui devrait régner sur les dieux comme sur les hommes. Par cette stratégie, les deux amis sont adoptés par les oiseaux et ils les consentent à les prendre pour des chefs et pour des conseillers. 1. Parabase : Après avoir nommé la cité comme « Coucouville-les-Nuées », Ralliecopain prend plus en plus le rôle du dirigeant qui ordonne les tâches, même à son compagnon Belespoir. Il suit une série d'obstacles, pour ainsi une série des petits sketchs dans

: ● Le prologue ou l’exposition du sujet de la pièce, du héros ● Le parodos, l’entrée du chœur en fanfare, qui chante et qui danse ● L’agôn, combat verbal entre chœurs et acteurs, affrontement burlesque qui s’achève sur le triomphe du héros, ● La parabase, où le chœur exprime la pensée de l’auteur, le coryphée rompt l’illusion théâtrale pour s’adresser aux spectateurs avec bien souvent un discours politique ou prosaïque pour faire la publicité de l’auteur, ● L’exodos, ou la fin de la pièce et sortie

guette Suzanne qui a donné rendez-vous au Comte. C'est l'occasion pour lui d'exprimer toute son amertume dans un monologue demeuré célèbre. 


Lecture analytique

I- Le monologue :  1- Définition

Convention purement artificielle; origine grecque (la parabase);
Les discours sont satiriques, l'intérêt dramaturgique échappe à Figaro, il est naturel ;
Il y a des quiproquos => le spectateur sait ce que l'acteur ne sait pas.

 2- Les procédés dramaturgiques

  a) Les didascalies

"Il s'assied sur un banc"

costumes sont époustouflants, il y a des chants hilarants 3. L’agôn (la bataille) : « le combat de gueules » entre le chœur et les acteurs, il y a des gags, des péripéties. En suite a lieu le « pnigos » (la suffocation) c’est une longue tirade 4. La parabase : le chœur se démasque et dévoile la pensée de l’auteur 5. L’exode : les ridicules sont fustigés (sorte de « revue ») puis le chœur sort. DIFFÉRENTS TYPES DE COMÉDIE  Comédie d’intrigue : La comédie d’intrigue repose sur une succession