Parabase

comédie : -le prologue, dit par un esclave, occasion de développer un discours métalittéraire, le public est apostrophé-le parodos : entrée du chœur composé de 24 + 1 choryphée : fait partie de l’action : image de zizanie par la confusion du nombre-parabase : entracte avec les choreutes qui expliquent scène par scène ce que l’auteur a voulu dire, ses doléances et critiques personnelles -exodos : sorties du chœur en chanson burlesque : prend une dimension politique car les périodes de carnaval sont assorties

les Thébains approuvent la jeune fille. 9 Commentaire: Remplacer le op. cit. dans la note par Ibid. si la note 10 se réfère bien à la note 9 ? ANTIGONE SUR LA SCÈNE CONTEMPORAINE 61 et le public est directement pris à partie dans la parabase finale où un policier explique, statistiques à l’appui, que « dans ce théâtre, il y aura au moins une personne qui se retrouvera dans la rue d’ici peu »14. Les trois auteurs semblent suggérer que, dans une société réglée (ou déréglée) par l’économie

interdictions. Effectivement, même si l'auteur s'est montré parfois plus modéré, son œuvre présente des critiques et des revendications d'une grande violence. C'est le cas dans la scène 3 de l'Acte V qui nous présente un monologue dramatique, véritable "parabase" (arrêt dans l'action) particulièrement long et difficile à jouer. Nous montrerons comment le long discours de Figaro, véritable performance d'acteur, permet à Beaumarchais d'introduire sur un ton très emphatique et parfois comique, après

ni l’un ni l’autre. De manière symbolique, on peut, comme Schlegel, avancer que « [l]’ironie est une parabase permanente » (Schoentjes, 2001, p.109 ), qui fait appel au lecteur, comme un personnage ou un chœur le faisaient dans l’ancien théâtre grec, sortant du récit pour attirer l’attention plus consciente, plus réfléchie et plus sceptique sur lui. Mimèse et diégèse s’entremêlent alors, la parabase métaphorique qu’est l’ironie coupant donc par instants ce que le récit a jusqu’ici tenté de montrer

un prologue, une parados (entrée), une scène principale, l’agôn tenant de la lutte physique et du débat verbal = le héros ayant défini un projet finit par triompher des opposants. C’est alors que le chœur abandonnant costume et masque fait un pas (parabase) vers les spectateurs et que son chef (coryphée) donne l’avis du poète sur une question d’actualité lui tenant à cœur. Les Guêpes d’Aristophane se situent dans cette perspective = athénien contemporain de la guerre du Péloponnèse et d’une forte

1757.� Pantomime : Spectacle compos� des seuls gestes du com�dien. Se distingue du mime en ce qu'elle vise plus souvent � amuser et qu'elle tient lieu de r�cit, avec force gestes, figuratifs et m�me r�alistes, rempla�ant une s�rie de phrases.� Parabase : D�signe, dans le th��tre grec, une avanc�e du ch?ur vers le public en vue de permettre au coryph�e de lui transmette les opinions et les recommandations de l'auteur.� Parade : Forme d'intervention th��trale qui se fait � la porte des salles

est dit que les Thébains approuvent la jeune fille. Commentaire: Remplacer le op. cit. dans la note par Ibid. si la note 10 se réfère bien à la note 9 ? ANTIGONE SUR LA SCÈNE CONTEMPORAINE 61 et le public est directement pris à partie dans la parabase finale où un policier explique, statistiques à l’appui, que « dans ce théâtre, il y aura au moins une personne qui se retrouvera dans la rue d’ici peu »14. Les trois auteurs semblent suggérer que, dans une société réglée (ou déréglée) par l’économie

expose le sujet - 2 eme partie : le parodosse : entree du choeur (24) souvent un coeur animalié. -3 eme partie : Agon : le combat de mots, d’agressions, geules... entre le choeur et les acteurs. -4 eme partie : parabase : ce qui est proche a precipité l’épilogue, exodos, qui correspond a la sortie du coeur. Malheureusement comme pour les tragédies et les drames le pourcentage des comedies anciennes est faible , nous avons retrouvé que 11 comedies sur les 42

Marche ; pourquoi lanterner devant la porte ? LE CHŒUR . Va gaiement, en raison de ton ouvrage. Bonne chance à ce vieillard, que son âge avancé n’empêche pas de prendre une teinture des nouveautés à la mode, et qui s’exerce à la sagesse. PARABASE DU CHŒUR . Spectateurs, je vous dirai librement la vérité, j’en atteste Dionysos, dont je suis le nourrisson. Puissé-je être vainqueur et réputé sage, moi qui, vous regardant comme des spectateurs intelligents, et pensant que cette pièce est

changement temporaire de sujet dans le cours d’un récit ou d’un discours pour évoquer une action parallèle ou pour faire intervenir le narrateur. (Si la digression se prolonge et fait connaître les opinions personnels de l’auteur, elle devient une parabase). Elle permet de dilater le récit, de ménager des pauses, de divertir ou d’ironiser, ou d’insérer un commentaire d’auteur pour interroger le lecteur. A une fin explicative ou métadiscursif (réflexion sur le discours lui-même). « Et lors s’ouvrent