Paradoxe temporel

laisser en dehors du champ d’investigation : on veut comprendre l’Être, c’est-à-dire tout ce qui est, ou le Tout, et on est forcément amené à s’interroger sur les principes ultimes qui permettent d’embrasser ce Tout, voire qui l’engendreraient. Le paradoxe qui frappe toutes ces solutions, où on aura reconnu l’Être, cher aux Grecs, Dieu, tel qu’il a été privilégié par les penseurs du Moyen Âge, ou le sujet, mis en avant à la période moderne avec Descartes, c’est que ce sont des réponses à la question

plusieurs types de références : ▪ L’actualité. Parler d’un événement d’actualité, d’un fait historique ou de données statistiques en lien avec le sujet. ▪ Un problème. Vous posez un problème, un paradoxe, un dilemme concernant le thème abordé. ▪ Le retour aux sources. Partez de la genèse du problème à étudier pour introduire progressivement le sujet : de l’origine du problème jusqu’à son évolution récente.

sont également indiqués. Enfin, il convient, dans une 3ème partie, de prendre du recul par rapport à la mission réalisée. Le travail effectué par le stagiaire peut en effet être mis en perspective selon différentes optiques (sectorielle, spatiale, temporelle, méthodologique, opérationnelle, analytique, théorique, …) Mais, il s'agit surtout pour l'étudiant de parvenir à situer la mission accomplie dans le contexte des connaissances acquises durant ses études supérieures, des enseignements qu'il a reçus

il indique déjà que la torture est je cite: « plutôt un essai de patience que de vérité». Ainsi, sans se montrer sous la forme d'une négation l'auteur a subtilement montré la contradiction qui nourrit la torture. Après avoir illustré les paradoxes de la torture, l'auteur s'engage dans l'histoire même de celle-ci pour montrer que de tout temps la torture a engendré de l'injustice. D'ailleurs l'hyperbole :» Mille et mille en ont chargé leur tête de fausses confessions» insiste sur l'aspect

contre tous, de se lancer contre l’ennemi pour sauver son petit coin de vigne. Il est emblématique de son siècle jusque dans ses paradoxes Il faut se référer ici au paradoxe d’un Eudémon qui fait montre des bienfaits de l’éducation de Ponocrates en élaborant un discours qui donne à voir - ou à entendre - un art de la rhétorique tout sophistique... Ainsi qu’au paradoxe d’un Grandgousier qui présente la guerre comme le pire des maux mais assume que la guerre puisse être une décision sage, conforme

pourtant formulé de l’endormissement. ¤ Une pensée paradoxale : l’esprit jouet de l’inconscient La troisième phrase s’ouvre de nouveau sur un complément de temps : « une demi-heure après », gravissant un échelon de plus dans la formulation du paradoxe : une demi-heure après… que je me sois endormi ! C’est donc la demi-conscience du sommeil (du demi-sommeil ?) qui vient à avoir « une pensée » : « qu’il [est] temps de chercher le sommeil » ; et cette considération le réveille… A travers cette dialectique

COMMENT VOLTAIRE AMENE T IL LE LECTEUR A CHERCHER LA VOIE DU BONHEUR ? PLAN : I / Un apologue oriental A / une situation fictive et symbolique B / des personnages emblématiques II / Une réflexion sur la quête du bonheur A / le paradoxe lié à la connaissance B / le message de l'apologue C / une conclusion ouverte CONCLU : Cet apologue nous montre un débat très présent chez les Lumières, Raison ou Bonheur ? Voltaire montre ici que la réponse n'est pas évidente. En effet le

assauts que le malheur me livre, Garde mon souvenir, et je croirai revivre. Qui prononce ce monologue ? Dans quelles circonstances ? Qui est interpellé ? S’attend-on à ce type de scène dans une tragi-comédie ? (justifiez votre réponse) Relevez un paradoxe (que vous expliquerez), une synecdoque, une hyperbole, un parallélisme. Notes pour la correction du contrôle de lecture I. Les personnages Matamore : personnage-type  miles gloriosus, soldat fanfaron, vantard… « capitan »  personnage de la

De même, les valeurs négatives véhiculaient par le personnage, son ton inapproprié en pleine tuerie et l'emploi de l'ironie (« Continuez colonel, vous êtes sur la bonne voie ! » l.12-13) traduisent l'humour noir utilisé par l'auteur. Cette humour, paradoxe à la barbarie de la guerre, creuse encore plus cette distance « choquante ». • Une réflexion du narrateur Dans cet extrait, la description du combat est substituée à une réflexion sur l'inhumanité de la guerre. C'est ainsi que le pronom « on »

trouve de tels paradoxes, y compris chez les plus rigoureux d’entre eux. Ainsi, chez Descartes, entre la troisième et la sixième partie, le discours semble avoir changé du tout au tout : si dans la troisième partie, Descartes recommande de changer ses désirs plutôt que l’ordre du monde, dans la sixième, il annonce au contraire que l’homme doit devenir « comme maître et possesseur de la nature ». Ce n’est là que la matérialisation à l’intérieur d’une seule et même pensée du paradoxe qu’on évoquait