Paradoxe

justement semble s’adresser Oberman à travers ces apostrophes directes. LECTURE PLAN : Ce passage peut s’appréhender à travers 3 mouvements : - 1er : ligne 1à 17 révèle toute son insatisfaction - 2ème ligne 18 à 23 révèle un être rongé de paradoxe et d’inquiétude - 3ème ligne 23 à 30 esquisse sa philosophie de vie teintée d’une certaine fatalité PROBLEMATIQUE On verra alors comment ce récit qui peut au premier regard s’intégrer parfaitement aux confessions douloureuses de l’époque romantique

pas un héros = satire de la vanité. b- morale explicite . Présence dans les deux derniers vers “les gens sans bruits sont dangereux/Il n’en est pas ainsi des autres” (v.24-25) “gens sans bruits” = Rivière paradoxe ; dangereux” Les gens qui font du bruit = Torrent paradoxe, absence du danger . Sens de la morale ; ne pas se fiez aux apparences apparence X réalité Texte nº3 – Les Animaux Malades de la Peste de la FONTAINE Reprise d’une tragédie grecque “ Oedipe et Roi “ parodié

nous suffit de jeter un regard sur l'histoire pour comprendre l'enjeu même de ce questionnement. En effet, il semble que l'on fasse à un paradoxe propre à la démocratie : elle suppose la prise de décision en commun, et l'on doit obéir à la majorité pourtant comment faire si elle est dans l'erreur. Il semble que l'on soit face à une aporie ou au moins face à un paradoxe. Dès lors s'il apparaît que la majorité doit être comprise comme ayant toujours raison en vue du maintien de la cité et en

surviennent en temps de guerre. Marjane, la protagoniste principale, mets en lumière les paradoxes de la guerre par son ignorance des raisons d’évènements sociaux causés par la révolte et démontre, par son regard enfantin, que la guerre occasionne des conflits entre l’individualité et la société. Dans le tome I de Persepolis, l’incompréhension de l’enfant quant aux évènements occasionnés par la révolution soulève les paradoxes de celle-ci. On peut constater que, dès le début du récit, puisque Marjane ne saisit

dernier. On joue donc sur les mots en faisant la distinction entre la classe des chiens et les objets chiens. On peut aussi retrouver certains paradoxes dans la double contrainte de palo alto. En effet cette contrainte a été trouvé par des philosophes de l'école de palo alto, entre autre Bateson qui étudiait la schizophrénie. Effectivement dans le paradoxe pragmatique avec l'exemple des deux chemises différentes qu'une femme offre à son mari, on peut arriver à son extrême limite à la schizophrénie

? ». « Ça », ce qu’il s’est passé, serait ce « rien... », presqu’un oxymore silencieux : « rien » à côté de ces points de suspension apparaît comme le silence qui se nie lui-même, et « pourquoi ? », ce « rien... » qui se chercherait lui-même. Un paradoxe déjà posé, qu’il va s’agir de dénouer : comment peut-il y avoir « rien... », si là, devant nous, sur scène ou dans le texte, mais toujours dans le langage, il se passe quelque chose qu’on nous présente, il s’est passé quelque chose dont l’élucidation

mouvement de la femme. 3.Une femme troublante et paradoxale. -Une femme définit par le paradoxe : « douleur majestueuse », « La douceur qui fascine et le plaisir qui tue ». -Le poète focalise sur les détails du corps de la femme : « main fastueuse », « dans son œil », cependant on remarque des antithèses dans ses descriptions : « agile et noble avec sa jambe de statue ». -cela renforce le paradoxe Mouvement/Statue, et Vie /Mort … -Le décalage entre elle et lui est aussi souligné par

- liberté de rimes : le plus souvent associations en distiques ; rimes pauvres (1/2, 5/6, 9-10, 11-12) suffisantes (3/4), assonances (10-11, 16-17). ( Donc impression de liberté et de modernité formelle. Le refus de la tradition ▪ Paradoxe des premiers mots en début de poème « à la fin » : poème qui se revendique comme une rupture, la fin d’une époque et d’un monde (monde ancien, antiquité grecque et romaine = références du monde classique). ▪ Revendication ferme : « tu es las »

classiques ; liberté de rimes : le plus souvent associations en distiques ; rimes pauvres (1/2, 5/6, 9-10, 11-12) suffisantes (3/4), assonances (10-11, 16-17).  Donc impression de liberté et de modernité formelle. b) Le refus de la tradition Paradoxe des premiers mots en début de poème « à la fin » : poème qui se revendique comme une rupture, la fin d’une époque et d’un monde (monde ancien, antiquité grecque et romaine = références du monde classique). Revendication ferme : « tu es las », formulation

l’allégorie de la beauté. Baudelaire idéalise et sublime le personnage qui devient la représentation de la beauté elle-même. On retrouve le paradoxe du spleen et de l’idéal, toujours tendre vers l’idéal mais ne jamais y accéder. Dans les deux tercets, on retrouve le thème déjà vu de la rencontre. Les jeux d’antithèses permettent à Baudelaire de traduire les paradoxes et les inquiétudes. On peut constater deux termes antithétiques, « éclair » et « nuit », renforcés par les oppositions, « regard », « renaître